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 don't give up your ghost — rowen#2

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Rowan Harries
Rowan Harries
Date d'inscription : 17/10/2020
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Multicompte : layla (alexa d.) brett (dacre m.) & eugenia (madelaine p.)
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Âge : vingt-neuf ans.
Pouvoir : lycane esseulée à la recherche de ses origines.
Allégeance : elle-même, parce que si elle n'est pas loyale à sa cause, personne ne l'est.
Métier : réceptionniste de nuit au roadkill motel, photographe.
Adresse : harries plantation, thunderbolt
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moonchild
MessageSujet: don't give up your ghost — rowen#2   don't give up your ghost — rowen#2 EmptyMar 20 Oct - 10:33


don't give up your ghost

Where'd you learn how to hate yourself ? I'll wager it was somebody else. You're on tilt from the pain you've felt, ready to fold the hand you've been dealt — But there's a beauty I believe you can find under the grief, under the compromise, An ember that remains to ignite Desperate to breathe, desperate to stay alive @Benjamín Díaz


Le réveil est cuisant, ça pique comme une gueule de bois, retour de bâton d’une soirée agitée, à s’engueuler avec quelqu’un dans une allée sombre et suite logique d’un cauchemar bien trop réaliste – de quoi revivre partiellement la nuit où tout a basculé. Regard hagard, bouche pâteuse, elle passe une main devant son visage en soupirant pour faire passer le léger vertige qui la tourmente parce qu’elle s’est redressée trop vite. Assise dans ses draps, à peine réveillée, Rowan serre les dents et pince l’arrête de son nez, la sonnerie de son téléphone ne faisant qu’amplifier, cacophonie désagréable sur mal de crâne évident. Quelque part dans les draps, le portable s’emballe et elle n’a pas besoin de regarder l’heure pour savoir qu’elle a trop trainé. Cassée par les travaux, plus encore ceci dit par l’esclandre de la veille, elle aurait bien voulu trainer au lit mais ce n’est pas exactement possible. Le type de l’agence de travaux lui fait déjà une fleur en envoyant quelqu’un au black, elle ne peut pas en plus faire la difficile et râler sur les horaires, quand bien même elle a l’impression qu’ils déboulent à l’aube.
« I’ll be at the gate in a minute, sorry » lance-t-elle dans le téléphone avant de se lever, dégringolant de son lit, dévalant les marches. Elle enfile à la va-vite une paire de basket, évite consciencieusement de croiser son reflet dans le miroir et aussi vite que possible, elle s’élance dans l’allée qui mène de la vieille bâtisse au portail. Tant pis pour la tenue, quelque part entre le pyjama et l’ensemble de travaux et tant pis pour ses cheveux blonds relevés dans un chignon un peu douteux. Elle se souciera de tout ça après avoir ouvert la grille, donné des consignes et surtout, après avoir ingéré un demi-litre de café, de quoi diluer l’incartade avec Ben. Parce qu’elle a beau jouer les indifférentes, les retrouvailles lui laisse un goût amer dans la bouche. Quelque part, naïvement, elle espérait que les années aient réussi à atténuer les choses, faisant d’eux des étrangers, des inconnus, capables de cohabiter dans la même ville. Il n’aura fallut qu’une poignée de minute, que Ben en train de lui hurler dessus, pour que ses certitudes s’envolent en fumée. Trop d’amertume, trop de rancoeur, de non-dits aussi et puis de l’incompréhension à ne plus savoir qu’en foutre. Coincée dans son envie de lui balancer tout ce que le problème lupin a pu lui faire subir, Rowan n’est pas exactement à même de voir les dégâts qu’elle a pu causer chez lui. Après tout, avoir fait éclater sa famille, c’est assez de responsabilités pour elle, pas besoin d’en rajouter. « Oh for fuck’s sake » siffle-t-elle alors, en arrivant à l’épaisse grille en fer forgé, qui aurait bien besoin de TLC. Hasard grandiose ou coïncidence cruelle, Ben est derrière la barrière. Elle s’arrête net, ses souffles reprenant le pas sur le crissement des graviers sous ses pompes. «  You gotta be kidding me, » c’est plus un soupire désabusé qu’autre chose. Trop longtemps loin de Savannah, elle a un peu oublié que malgré ses cent quarante milles habitant, la ville ressemble parfois à un petit village où tout le monde se connaît et où il n’est pas possible de se planquer.
Prise d’un relent de paranoïa, elle hésite à lui dire qu’elle va appeler les flics, « Are you like, stalking me or something ? » car entre la haine évidente qu’il lui porte et les coups bas de Blanche, pas difficile d’imaginer une manigance sordide. Ben pourrait être le pion parfait pour la mère indigne, de quoi enfin en finir avec Rowan. Mais les outils qui dépassent du pickup estampillé avec le logo de l’agence de travaux donnent un peu trop de légitimité à sa présence. Il n’est pas là pour terminer l’engueulade de la veille au soir, il est là pour bosser. Pour elle. Dans la vieille demeure qu’elle n’a pas les moyens d’entretenir. Elle est soudain si tendue qu’elle ne sent même pas la clé de l’antivol qui ferme le portail. Le metal entaille pourtant sa paume, à moins que ça ne soit ses ongles.


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Benjamín Díaz
Benjamín Díaz
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flesh and bones
MessageSujet: Re: don't give up your ghost — rowen#2   don't give up your ghost — rowen#2 EmptyLun 26 Oct - 18:18

Sa voiture est encore chez le technicien, mais heureusement que Drake lui en fait une belle en lui permettant d'emprunter celle de sa petite entreprise: même si Ben n'est pas sur quelconque fiche de paye, au moins, il peut se targuer de porter l'uniforme et d'avoir l'air d'un employé bien sous tous les aspects, pendant quelques heures au moins. Bon, évidemment, fumer la moitié d'un joint avant de prendre la voiture et de se rendre aux aurores à la résidence du jour n'est pas très responsable, et sans doute l'une des nombreuses raisons pour lesquelles il semble incapable de garder un travail stable - mais peu importe, tant qu'il se fait quelques dizaines de dollars d'ici la fin de la journée, et peut payer sa note qui ne fait que s'allonger chez le mécano (il a peur que ce dernier finisse par ne pas lui rendre son truck).

C'est qu'il est sur les nerfs, Ben, et qu'il aurait bien passé toute la semaine dans le fond de son lit si il n'avait pas peur que sa mère finisse par l'en tirer en l'insultant de toutes les injures de son vocabulaire. Revoir un fantôme du passé, dans cette ville qui a parfois des allures de village tant il est probable de croiser quelqu'un qu'on connait en allant acheter un café, est terriblement, horriblement, traumatiquement désagréable. Il ressent encore partout sur lui son indifférence, sa cruauté, son dédain; et dans le fond de son ventre, il sent se tordre ses entrailles alors qu'il se rejoue en boucle, dans l'oeil de son esprit, cette fameuse nuit  d'il y a des années qui a défini sa vie et qui a fait de lui qui il est aujourd'hui.

Garé devant la propriété qui tombe en ruines, Ben appelle la propriétaire - Drake l'a prévenu que c'était un peu une bitch, mais que vu l'état des lieux, au moins ils étaient garantis d'avoir du boulot pendant quelques semaines, et qu'il serait ravi de le renvoyer bosser pour elle au besoin, quand il avait personne d'autre sous la main, comme aujourd'hui. Quand Madame répond enfin au téléphone avant de raccrocher aussi sec, Ben sort de la bagnole pour s'allumer une cigarette et s'asseoir à moitié sur le capot, regrettant un peu de ne pas avoir bu un deuxième café ce matin. « Oh for fuck’s sake. » La voix n'est plu déformée par le réveil difficile et la communication téléphonique, et Ben n'a pas besoin de lever les yeux pour reconnaitre la personne qui lui fait face, derrière la grille de fer noir. "Jesus fucking Christ," marmonne-t-il sous sa respiration, en fronçant les sourcils.

La colère se réveille, omniprésente et violente. Il s'approche d'elle avec un air mauvais. «  You gotta be kidding me. » Le petit sourire mesquin qui s'installe sur ses lèvres ne lui va pas: il préfère encore sa rage froide et blême, qu'elle lui a offert hier soir, vrillant encore entre ses deux oreilles. « Are you like, stalking me or something ? - You wish." Ses yeux coulent sur elle puis vers la maison, qui n'a effectivement pas bonne allure. Il a envie de sauter dans sa voiture et de retourner à l'agence, s'excuser auprès de Drake et le laisser l'engueuler avant de lui demander si il a pas un autre boulot pour lui. Sauf qu'il sait déjà que son vieux pote ne lui fera pas confiance, qu'il le foutre à la porte, et qu'il n'aura plus personne vers qui se tourner pour payer les factures qui s'amoncellent et autres créances qu'il doit à environ cinquante personnes à travers la ville.

C'est quasiment une question de vie ou de mort, à ce stade, qui repose entre les mains de Rowan Harries, of all fucking people. "Just looking for work. Trust me, if I knew I'd be working for you, I would have said no." Il essaye de gommer autant d'acidité et d'amertume que possible de sa voix, sans franc succès - peu importe, au final, il doit juste faire en sorte de ne pas laisser le ton monter trop fort. "You gonna let me in or what?" Il a déjà navigué la dure tâche de se faire soigner par une sorcière, alors bosser pour un chien, il peut... right?
Il a vraiment besoin de ces cinquante dollars, putain.
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Rowan Harries
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MessageSujet: Re: don't give up your ghost — rowen#2   don't give up your ghost — rowen#2 EmptyMer 4 Nov - 17:52


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Il ne faut qu’une seconde pour que Ben rétorque un « you wish, » tout aussi agréable que le ton qu’elle a pu employer avec lui. Le timbre de sa voix la fait pourtant tiquer et elle serre un peu plus les doigts, sentant alors l’incision dans sa paume. Brièvement, elle jette un regard vers les dégâts, marmonnant un ‘shit’ qui s’égare quelque part entre elle et le lourd portail. « Just looking for work. Trust me, if I knew I'd be working for you, I would have said no, » lance-t-il et elle sent ses dents grincer. Elle a beau se dire que ça tient la route, que handyman c’est un job logique pour quelqu’un comme lui, elle a beau se répéter que les outils, le truck, le rendez-vous fixé par le patron de la boite, c’est assez d’assurance pour ne pas vriller, des années de fuite l’ont rendu prudente. Non, parano. Les préjugés qu’elle peut avoir sur Ben et ce qu’il a ou non pu faire de sa vie ne suffisent pas à justifier ce qu’il fout là et quand il demande « you gonna let me in or what? » elle retrousse les lèvres comme pour grogner. Il y a de l’hésitation dans ses gestes, de la méfiance. Hier soir, elle était bien trop assurée pour son propre bien parce que face à la haine qu’il lui voue encore, elle ne peut que rester sur la défensive. Si après tant de temps, il en faut si peu pour qu’il vrille, qu’est-ce qui l’empêche d’agir ? Qu’est-ce qui le retient de se venger, trop aveuglé par sa rancoeur pour comprendre qu’elle n’a pas fait exprès et qu’en dépit des apparences, ça la hante autant qu’elle s’en veut.

Le conseil. Voilà ce qui l’arrête. C’est pour ça qu’elle est revenue ici, non ? Qu’elle a daigné remettre les pieds en ville. Ce n’est pas juste pour la maison, c’est aussi parce qu’elle sait qu’ici, en théorie elle est safe. Savannah et ses promesses de sureté, d’égalité. Un havre de paix pour ne plus avoir à courir, à fuir, à regarder par-dessus son épaule constamment. « Do you have enough braincells left to remember that the council will come for you ass if you try anything or did you smoke them all up ? » siffle-t-elle, sur un ton accusateur. Aussi bêcheuse qu’insolente, elle ne balance ça que pour la forme, déjà en train de déverrouiller l’antivol, allant fourrer le cadenas dans la poche arrière du short enfilé à la va-vite, essuyant au passage le sang qui macule sa paume d’avoir trop planté ses ongles dans sa peau. « Listen, about last night, I — » commence-t-elle, avant de se raviser. Non, elle a déjà essayé. Fiasco total, encore cuisant, il est campé sur ses positions, planté dans sa hargne et il a été clair, entre deux ‘fuck you’, il n’en a rien à faire de ce qu’elle peut bien lui dire. Alors elle fait un pas de côté, se pousse du passage, lâche un « Nevermind, whatever, » qu’elle accompagne d’un geste expéditif. Ce n’est qu’un mauvais moment à passer, sans doute. « I’m not sure I want you inside the house so you can just start working on the porch for now, » qu’elle annonce, ne réalisant même pas la pique alors qu’elle pointe les marches en bois endommagées menant à l’entrée.

Elle tire sur le bas de son t-shirt avant de tordre ses doigts. Elle déteste chaque seconde de cette nouvelle rencontre, trop vulnérable au saut du lit sans doute. A moins que ça ne soit le décor, qui joue. L’immense maison, bien loin de son ancienne gloire, qui se tient derrière elle fut après tout le théâtre de trucs bien traumatiques et le combo formé avec la présence de Ben, c’est peut-être un peu trop. Il faut qu’elle bouge, alors elle commence à remonter l’allée. « You can park the truck next to my van » indique-t-elle, sur un nouveau geste, espérant qu’il ne décide pas de lui rouler dessus. « I need coffee, want some ? » la question vole par-dessus son épaule et elle ne lui fait pas l’affront de jurer, avec un sourire aigre, qu’elle ne va pas cracher dedans. Elle ne veut pas s’abaisser à ça, déjà et puis il ne la croirait pas. Et puis la tentation de dire qu’à tout prendre, elle serait plus du genre à agrémenter la boisson d’arsenic ou de cyanure serait trop grande, alors autant se taire plutôt que de s’aventurer vers des remarques douteuses, qui pourraient lui porter préjudices. Les choses sont bien assez tendues comme ça.


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MessageSujet: Re: don't give up your ghost — rowen#2   don't give up your ghost — rowen#2 EmptyMar 24 Nov - 9:33

« Do you have enough braincells left to remember that the council will come for you ass if you try anything or did you smoke them all up ? » Ben lèves les yeux au ciel, agacé et piqué à vif, et grogne légèrement. "I'm not fucking dumb, Rowan, I'm not here to kill you." Le sifflement est autant destiné à lui-même qu'à elle. Cette vie est derrière lui, de toutes façons, et si elle pense vraiment qu'un quelconque chasseur se risquerait à aller à l'encontre de la loi du Conseil, elle a tort. D'autant plus qu'aucun ne l'appelerait pour la prévenir de sa venue... bon, il se rend bien compte qu'elle essaye juste de l'exaspérer, et il se rend tout aussi compte que ça fonctionne beaucoup trop et qu'il la déteste pour ça. Ugh, fucking bitch...

Rowan s'approche de la grille, commence à la déverrouiller et Ben s'approche, comme pour vérifier qu'elle ne lui tend pas un piège. « Listen, about last night, I — » Ses yeux sombres volent jusqu'aux siens, incompréhensifs. « Nevermind, whatever. » Ce serait trop beau que d'espérer qu'elle s'excuse et qu'il lui rende la pareille, alors Ben se contente de ça et grince les dents. "Yeah, whatever," ponctue-t-il même à son adresse, let's be adults about this. Il préfère ne même pas penser à la veille, il a du boulot à faire et une loup-garou qu'il n'a pas le droit d'étriper. « I’m not sure I want you inside the house so you can just start working on the porch for now. - Bitch," souffle-t-il sous sa respiration, pas assez fort pour être entendu, la pique se glissant sous sa peau sans grand mal. Elle a toujours su quoi dire, et comment, pour le déranger au plus au moins.

« You can park the truck next to my van. I need coffee, want some ? » Les yeux de Ben passent de sa bagnole à son visage, et il fronce les sourcils. "For sure, don't spit in it though." Maintenant qu'il lui a donné l'idée, il est persuadé de se retrouver empoisonné ou un truc du genre. Ben grimace et se détourne, ouvre le portail en grand avant de retourner dans son truck pour l'avancer dans la propriété. Une fois au volant, il a une rapide conversation avec lui-même pour s'assurer qu'il a véritablement envie de faire ça, de s'imposer la présence de Rowan, ses piques et ses méchancetés. Il a besoin de ces cinquante dollars, il n'a pas vraiment le choix, alors il s'avance dans l'allée en grognant entre ses dents serrées, se garant à côté du van de Rowan (c'est une hippie, maintenant? weirdo) avant d'attraper sa malette à outils et de sortir s'approcher du porche.

Elle a disparu à l'intérieur de la maison, et il n'a pas le droit d'y entrer, alors il fait un peu le tour pour voir son état après avoir posé ses outils sur les marches. Ça va pas être facile du tout mais qu'importe. Il repère les planches les plus endommagées, les clous qui ont pourri le bois, les trucs les plus dangereux à réparer. Quand Rowan réapparaît de nouveau, il se tourne vers elle. "You been living here long? Shit, this place's falling apart, it's dangerous." Il s'approche d'elle en voyant les deux tasses de café dans ses mains, son regard sombre toujours réhaussé de deux sourcils froncés. "Your folks still around?" demande-t-il ensuite, se demandant ce qui est arrivé au reste des Harries, et pourquoi ils ne sont pas là aujourd'hui avec elle.
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