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 come near me.

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Quinn Farrow
Quinn Farrow
Date d'inscription : 03/04/2020
Messages : 203
Pseudo : raph
Avatar : pattinson
Crédit : tplrs/me
Multicompte : riley, alec
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Âge : trente-trois
Allégeance : farrow
Métier : armurier, reprise du flambeau paternel depuis l'incarcération de ce dernier.
Adresse : same old shithole. west savannah, fief des farrow depuis des générations. thunderbolt, dans les sous-sols de l'armurerie la plupart du temps.
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flesh and bones
MessageSujet: come near me.   come near me. EmptyDim 5 Avr - 11:44



Quinn Farrow
< could it be a strong case of fight or flight ?>
< Nom complet > Un patronyme baignant dans la fange, connu pour n’engendrer que des insultes à la bienséance ; Farrow, un fardeau qui vous colle au train jusqu’à la fin de vos jours, qu’on transmet malgré soi aux générations suivantes avec l’infamie inhérente à leur lignée. On ne naît pas dans cette famille sans le sceau de la honte et de l'opprobre marquée au fer rouge. Quinn ne se fend d’aucun diminutif affectueux. Car d’affection, il n’y en a pas, pour ces rejetons d’une dynastie besogneuse et puritaine.  < Âge, date et lieu de naissance > Trente-trois ans et Quinn n’a, semble-t-il, jamais quitté les quartiers malfamés de Savannah. Né un vingt novembre 1986. < Race et pouvoirs > Lie de l’humanité. L’étendard d’une trivialité crasseuse dressé fièrement face aux aberrations génétiques que sont les autres. < Nationalité et Origines > White trash à l’américaine, le sud raciste et intolérant lesté aux chevilles. < Situation familiale > On lui rabâche l’histoire glorieuse de ses ancêtres depuis qu’il est en âge de marcher, à Quinn. Les exploits passés d’une bande d’illustres inconnus dont le prestige s’est manifestement perdu dans la misère crasse qu’il connaît, bien loin des prétendues fortunes colossales amassées par l’exploitation des champs de coton, des esclaves et, plus tard, par la chasse au lycan à l’époque de la Régence Rouge. Nul doute que les Farrow ont su tirer leur épingle du jeu de cette façon, une faille darwinienne qui a assuré la perpétuité d’une lignée dont on se serait bien passée. Une belle connerie, pour ce qu’il en pense aujourd’hui, Quinn. Pas une seule preuve n’est jamais venue étayer les fables que Callum se sentait le devoir de leur raconter tous les soirs, transporté par un absurde sentiment de devoir de transmission. Faut dire que personne n’est jamais allé les chercher non plus. Les Farrow hantent Savannah depuis des générations et c’est la seule certitude qu’il ait. La dernière les a recraché à l’air libre comme des glaviots : Sid d’abord, puis Kitty, lui, et Nickie. < Statut civil et orientation sexuelle > Chez les Farrow, t’es straight ou tu dégages. Quinn n’a jamais eu la malchance de mettre cette règle tacite à l’épreuve, enchaînant les histoires sans lendemain. < Occupation(s) > C’est du commerce familial qu’il a hérité, Quinn. Les armes légales qui ornent habituellement les présentoirs des armureries américaines masquent péniblement la malversation d’outils destinés à dézinguer ces saloperies de crawlers. Callum parlait de ce vulgaire comptoir comme d’une “entreprise” quand le tout tient entre quatre murs en tôle rouillée et ne se targue d’autre renommée que celle qu’on veut bien lui donner. < Situation financière > Ça n’a jamais roulé sur l’or, et c’est pourtant pas faute d’en avoir rêvé. < À Savannah depuis > Toujours qu’il dit, même s’il a disparu quelques années pour démarrer un semblant de fortune à Charleston avant d’y revenir à l’annonce de l’incarcération du pater. Parce qu’on y revient toujours, à Savannah, quand on est un Farrow. < Quartier de résidence > West Savannah et si le quartier est majoritairement occupé par les lycans, ces foutus Farrow ne dégagent pas de leurs prétendues “terres”, dernier fief d’une haine vieille comme le monde à l’encontre de leurs voisins. Les passages y sont rares, sporadiques. Il passe plus de temps à pioncer dans les sous-sols du magasin, récemment aménagés en studio miteux, à Thunderbolt. < Caractère > Les reproches glissent sur lui comme de l’huile sur une plaque  brûlante. C’est pas qu’il a toujours raison, c’est seulement qu’il en a rien à foutre, Quinn, de l’avis des autres. Avec son air de branleur et ses vieilles sneakers qui baillent contre le macadam, c’est comme s’il se moquait de vous, quoi que vous disiez, quoi que vous pensiez, avec cet air désabusé que plus d’un a eu envie de frapper (un plaisir dont on se prive rarement et, à dire vrai, il n’est pas rare qu’il provoque l’esclandre de lui-même). Modèle presque caricatural de masculinité toxique bâtie sur des directives paternelles bonnes à jeter aux chiottes. Dur de se défaire de cette certitude selon laquelle un mec, un vrai, exprime ses sentiments avec ses poings et refoule ses états d’âme au risque de se faire, légitimement, traiter de tafiole. Alors il s’exprime peu, écoute sans en avoir l’air, absorbe et recrache ce qui mijote sous sa caboche que beaucoup considèrent vide, à tort. Loin d’être idiot, Quinn est avant tout un connard désabusé. Pessimiste dans l’âme et rarement content, s’en serait sûrement mieux sorti s’il n’avait pas été convaincu trop tôt de l’inertie de son existence crasse. Loyal à crever lorsqu’on touche à sa famille, quand bien même serait-il le premier à leur cracher à la gueule dès lors qu’ils s'immiscent dans sa vie privée (une habitude insupportable chez ses soeurs). Ambivalent quant aux anomalies génétiques qui hantent les rues de Savannah ; tiraillé entre la peur et les préjugés familiaux. Et des préjugés, il en a à la pelle, les trimballe comme des casseroles sans parvenir (ni chercher) à s’en détacher.

we appreciate power
< La commère du quartier, elle aurait quoi à raconter à ton sujet ? > La commère du quartier s’appelle certainement Kitty, Nickie ou Jean Farrow. De sa mère ou de ses soeurs, difficile de savoir qui des trois a la langue la mieux pendue, l’insulte au bord des lèvres et la critique facile quand tout ce que murmurent les autres, le reste du monde, tout ce qui n’est pas une ordure portant le nom de leur clan de dégénérés n’évoquent rien d’autre que les cris entendus derrière les portes branlantes de leur bicoque décatie, les bruits de verres brisés, les coups qui se perdent contre les murs à défaut de s’abattre sur la peau blafarde de la marmaille indisciplinée. Quinn n'est qu'un mollard de plus entachant la belle ville de Savannah, bien connu de la flicaille locale à l'époque où on l'arrêtait régulièrement en soirée pour avoir couché un touriste qui aurait eu le malheur de regarder sa copine d'un peu trop près. La relève de l'armurerie de Cal Farrow, une raclure tout juste plus respectable que le frangin.

< Tu penses que Savannah mérite quelle note sur TripAdvisor ? > Sa ville, son fief, sa tombe, probablement. Il a essayé de s’en tirer, a passé trois ans à Charleston derrière le comptoir d’une armurerie destinée à la chasse (pas la chasse aux canards, comprenez). Est revenu il y a cinq ans et n’en a pas décollé depuis. Il l’aime autant qu’il la déteste, sa ville.

< Niveau intégration des races, t’es plutôt peace and love ou chacun pour soi ? > Quand Quinn emploie le terme “crawlers” pour désigner les créatures, ça n’a rien d’affectueux. C’est chargé de tout ce que les créatures détestent, la répugnance ignorante de quelqu’un qui porte en lui les hantises familiales. Les lycans sont, historiquement, leurs premiers rivaux ; les vampires sont ignorés, tenus le plus loin possible, abjections dont l’existence même relève du blasphème ; quant aux sorcières, well. C’est un matriarcat, ça suffit pour les rendre détestables. Mais d’aucun dirait que l’hostilité ne se résume pas seulement aux crawlers ; elle s’étend jusqu’aux élites humaines, ceux qui coulent vers eux des regards chargés de dégoût, le mépris pour toute considération. Alors avec Quinn, c’est chacun pour soi et ça l’a toujours été.

< Selon toi, le conseil c'est plus nations unies ou gestapo ? > Une vaste farce, voilà ce que c’est. Pour avoir brièvement quitté la ville et écouté ce que l’on en pensait, dehors, de ce bled dirigé par des crawlers, Quinn s’aligne sur l’avis du monde en général : ça ne devrait pas exister et on pourra bientôt rebaptiser la ville Freaktown, à ce rythme là.

Imminent annihilation sounds so dope

01. Cancre, bon à rien, tire-au-flanc. Aux abonnés absents à tant de reprises que c’en est devenu une habitude, Quinn n’a jamais brillé sur les bancs de l’école et a fini par lâcher l’affaire à la veille de son senior year, après avoir redoublé son freshman year et frôlé l’expulsion à deux reprises. Des ambitions inexistantes, un avenir dénué de succès - faut dire que l’ambiance, chez les Farrow, n’était pas tellement aux cahiers de vacances. Et ces connards d’enseignants qui se croyaient tout permis, à mettre leur nez dans des affaires qui les regardait pas. Un mépris à l’égard du corps enseignant aussi profondément ancré en lui que sa haine pour les crawlers, avec cette conviction teintée d’ennui : à quoi bon. 02. Ça partait sûrement d’un bon sentiment, d’un idéalisme à gerber, si ses profs s’intéressaient de si près à ce qu’il se passait chez lui. How’s it going, at home ? Les regards faussement inquiets par dessus des lunettes sans monture lui collent encore à la peau. Le décors piteux du bureau de la direction, les longs silences que des réponses monosyllabiques brisaient parfois en réponse aux inquiétudes quant à son environnement familial. Il disait jamais rien, Quinn. N’excusait pas les bleus et les nez cassés qui lui valaient toujours ces allers simples pour le bureau du directeur, suivis d'inévitables avertissements, ou suspensions provisoires. Mais sa famille, c’est bien la seule chose pour laquelle ça valait la peine de se battre - littéralement. Une belle bande de cinglés qui ne savaient pas se parler autrement qu’en s’invectivant, mais plutôt crever que d'admettre que tant que des petites frappes demanderaient à ses soeurs de leur tailler des pipes à la sortie des classes en les traitant de salopes, il continuerait des leur refaire le portrait, et qu’importe la menace d’exclusion définitive qui oscillait au dessus de sa tête comme une épée de Damoclès. 03. Il avait huit ans quand Sid lui a appris à tirer. Des bouteilles et des canettes alignées sur un tronc d’arbre dont les racines jaillissaient du sol comme des tentacules desséchés. Il avait les mains qui tremblent et Sid n’arrêtait pas de l’engueuler - tiens-le des deux mains, arrête de bouger, mais vise putain, et tu veux te dévisser l’épaule ou quoi ? Cette époque lointaine, une autre vie, presque, où il ne connaissait pas encore le maniement des armes sur le bout des doigts, n’était pas encore capable de recracher au détail près les particularités de chacune. 04. C’est un petit miracle qu’il n’ait pas fait de taule, Quinn, quand on sait que la moitié de la famille y est passée. Son frère d’abord, et puis son père. La disparition inexpliquée d’un cousin, la certitude profonde qu’un truc pas net se planquait sous l’indifférence honteuse du Conseil. Personne s’est bougé le cul pour le retrouver, fallait pas s’étonner de voir Callum sortir la carabine pour se faire justice lui-même et descendre celui qu’il prenait pour responsable. Il a jamais su : si son père avait la moindre certitude que c’était lui le fautif, s’il en avait quelque chose à foutre, d’ailleurs, avant de se faire passer les menottes aux poings. On parle de remise de peine, la justice ayant cette tendance obscène à protéger l’humanité pour les crimes commis à l’encontre des créatures. 05. Sa vieille Bronco ne paye vraiment pas de mine. Elle lui coûte plus cher que n’importe quoi d’autre, mais il n’en démord pas, la retape toutes les trois semaines, limite les frais en faisant tout lui-même en continuant de pester contre ce vieux tas de tôle pourrissant, convaincu qu’il finira par crever dedans. Les sièges sont imprégnés d’une tenace odeur de tabac froid, grêlés de trous de clopes, la banquette arrière a vu passer trop de culs pour les compter et l’autoradio pend au bout de ses fils. Et il faut se lever tôt pour retrouver quoi que ce soit dans l’amas de détritus qui salope le plancher de la caisse, que Quinn a l’air de considérer comme une décharge. Pour un peu, on y retrouverait presque des tickets de caisse du Taco Bell datant du lycée. 06. Tous les Farrow ont été baptisés, sous le sceau du blasphème et de l’abjection. Quinn se souvient des dimanches à l’église, leurs silhouettes tassées alignées sur les bancs du fond comme des corbeaux sur une ligne téléphonique. Leur présence moquée, les murmures qui se disséminaient sur le passage de sa mère, parée d’une dévotion postiche, convaincue que les robes puritaines qu’elle sortait avec une régularité risible à toutes les messes auxquelles elle les forçait à assister ferait d’elle la chrétienne qu’elle croyait sincèrement être. Jusqu’à ses dix ans, il se souvient que sa mère apportait encore les événements caritatifs de la ville sans en comprendre la finalité, les mains chargées de cookies ou autres inventions de son fait que de toute façon, personne ne mangeait jamais. Pestiférée jusque dans les rangs de ces grenouilles de bénitiers, elle a un jour cessé d’y aller, et personne n’a jamais pensé à lui demander pourquoi. Quinn doute qu’elle ait jamais lu la Bible, sa mère, quand bien même en dictait-elle des citations qui pourrait tout aussi bien être sorties de son imagination, pour ce qu’il en sait : il n’a jamais lu la Bible non plus, ne réfute ni ne croit en l’existence d’un Dieu tout puissant qui, s’il les regarde bel et bien du haut de son Ciel, se fout bien de leur gueule, de toute façon. L’existence des Farrow à elle seule prouve bien que Sa Bonté n’est qu’un tissus de mensonge. 07. Les raves, le whisky bon marché dilué dans le coca de leurs gobelets du McDo, les interminables gueules de bois, les aquariums sur les parkings déserts des stations essence aux heures où seule la lumière chiche des lampadaires soulignaient encore leurs traits défaits au milieu de toute cette fumée, les vols de nains de jardin dans les beaux quartiers de Savannah, alignés comme des trophées sur les étagères de leurs chambres désordonnées, les insultes et les bravades lancées sur cette toile de fond qu’a été son adolescence : un joyeux bordel dont il doute d’être jamais sorti. Le passé est là, à portée de main, et pourtant si loin que l’ivresse qui accompagne chaque souvenir lui écorche le coeur de regrets. Il se souvient avoir été heureux, alors même qu’il n’en avait pas conscience. C’est triste, de constater que les plus beaux moments de votre vie sont déjà loin derrière vous. Tout, aujourd’hui, semble n’être qu’une pâle copie de cette époque bénie. 08. Il reçoit encore son courrier au #393 West Savannah. Bien pratique lorsqu’il faut ignorer les factures qu’il oublie ou ne peut payer, puisqu’il hante les sous-sols de l’armurerie depuis des mois maintenant, fuyant l’ambiance étouffante de la propriété familiale. Rien de plus qu’une cave où s’entassent ici ses vinyles gondolés, là des caisses de bière où tout le monde tape dès qu’on met un pied dans sa garçonnière - à commencer par son frère. Le convertible est un lit de fortune qui lui suffit bien, et à l’inconfort pallie au moins la tranquillité des lieux. Car il ne supporte plus la vision déplorable de sa mère, trop seule depuis l’incarcération de Callum, ni les fréquentes allées et venues des derniers coups de Nickie. Il ne sait pas comment Sid supporte ça - s’il le supporte seulement. 09. Ne comprendra probablement jamais rien aux filles et ce n’est pas le fait d’avoir grandi sous le même toit que ses soeurs, ces folles, qui allait l’aider. Retorses, manipulatrices, elles frôlent quasiment l’espèce à part aux yeux de Quinn, une branche étrange de l’évolution créée spécialement pour leur compliquer la vie. Il se méfie comme de la peste de leurs humeurs bizarres et de leurs attentes incompréhensibles, réagit toujours à l’inverse de ce qu’il faudrait, et les paroles déplacées ne sont jamais loin. Malgré lui, conserve cette vision archaïque de la vierge et de la putain, sans se départir d’une fascination morbide à leur égard. 10. misc // N’a jamais compris l’intérêt des réseaux sociaux. N’aime ni raconter sa vie,  ni se faire prendre en photo. Mange quand il y pense, se nourrit principalement de clopes et de bières bon marché en attendant patiemment la cirrhose qui l’emportera, si sa connerie ne le tue pas avant. Se contrefout de la mode, éprouve au contraire un plaisir particulier à se balader dans les beaux quartiers accoutrés de ses éternels sweat-shirts délavés sous le nez des chemises-polo gominés. Vulgaire, grossier, s’exprime rarement sans placer un “fuck, fucking, fucker” à chaque mot. Une guitare désaccordée traîne dans un coin de sa piaule. Il n’y a pas touché depuis des années. Trouve qu’il n’y a rien de plus glauque qu’un terrain de jeu pour enfant désert. Sans parler des poupées. Heureusement que ses soeurs n’en ont jamais vraiment eu. N’a pas la mémoire des dates et possède sa propre définition de la ponctualité. Pas la moindre conscience écologique, jette ses mégots partout et ne fait pas le tri. Et please, ne lui parlez pas de féminisme.

< Pseudo/Prénom > alhazen. < Âge > plait-il ?  eyes  < Région > toujours à l'ouest hé. < briefing > pause café !  drunk trop collée à spotify pour mon propre bien, fan absolue de massive attack et archive, peanut butter addict, et si la dgse vient frapper à ma porte un jour, c'est à cause de mes recherches pour le rp. < Autre compte > nope, imma good gurl' < Comment as-tu découvert le forum ? > corruption 2.0, et j'ai pas de regret. < Avatar > robert pattinson (non j'ai pas osé le vamp > MAIS J'AI BCP HÉSITÉ  gnia ) < type de personnage > inventé. < Crédits > shadows pour l'avatar / massive attack pour les lyrics.

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<re>Robert Pattinson <i class="fas fa-angle-right"></i></re> <na>Quinn Farrow</na>



Dernière édition par Quinn Farrow le Mer 29 Avr - 13:25, édité 13 fois
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MessageSujet: Re: come near me.   come near me. EmptyDim 5 Avr - 11:45



keep the wolves away
< Cold and the grip of death stinging pain, he fought like hell to keep the wolves away >
Juin 2016. Des trombes d’eau s’abattaient sur la ville depuis des heures. L’air était saturé d’humidité et ils avaient beau avoir perdu quelques degrés depuis le début de l’orage, ils baignaient dans une apathie moite, suffocante, dont Quinn ne décollait pas. Un bras sous la tête, une clope dans l’autre main, il détaillait les tâches et les zébrures sombres qui scindaient le plafond comme des continents de moisissure. Une mappemonde familière, ni plus ni moins que le paysage désolé de son adolescence, le seul ciel étoilé qu’il était capable d’offrir à ses copines de passage. De la pluie s’écoulait des battants de la fenêtre et gouttait sur son t-shirt sans qu’il parut le remarquer. Rien n’avait changé. Strictement rien.

Kitty, assise sur les marches pourries du perron, tire une tête d’enterrement et, à mesure qu’il approche de la baraque en contournant les bidons vides qui traînent dans la cour depuis si longtemps qu’ils font partie du paysage, Quinn comprend qu’elle a pleuré. « Sid’s gone. » Ses pas s’immobilisent à deux mètres d’elle et, un sourire con creusant sa joue, Quinn la regarde sans comprendre. Elle étend ses jambes maigrichonnes et s’allume une clope d’une main tremblante. « What do you mean he’s gone ?He enlisted. » La stupeur lui scie les jambes et il ne comprend toujours pas ce qu’elle lui dit.
Ce n’est que la semaine suivante, quand il ne verra toujours pas Sid revenir, qu’il pigera vraiment que son frère s’est barré sans un regard en arrière, chargé de l’espoir brillant de se tirer de ce trou à rat dans lequel il les a tous laissés.


Au rez-de-chaussée, le son d’une claque brisa le silence comme un coup de feu dans la nuit. « Get outta my house, you motherfuckin’ bastard ! » Entendre rire aurait été plus choquant, dans cette baraque où les échanges prenaient toujours des allures de règlement de compte. Par les fenêtres ouvertes lui parvint le bruit de la moustiquaire battant sur ses gonds, puis des pas précipités traversèrent le terrain vague qui s’étalait devant la baraque, au son des flaques qu’ils rencontraient. D’autres gravirent l’escalier branlant, de plus en plus audibles à mesure que les hurlements de Nickie s’intensifiaient jusqu’à éclater dans sa piaule au moment où elle y faisait irruption. « What the fuck, Nick ? » Une babiole se cassa la gueule d’une commode lorsqu’elle referma derrière elle avec sa délicatesse habituelle. Toute notion de décence ou de classe s’évanouissait à la vue de sa soeur ; le cul serré dans un short ras les fesses, dont on voyait dépasser le haut de son string rose, elle se mit à vomir une flopée d’injure dont Quinn perdit le fil tout en en saisissant l’essentiel. Rien de plus qu’une énième échauffourée entre la benjamine et un des larbins qui se traînaient à ses pieds, des promesses plein la bouche et pas la moindre intention de s’y tenir. À chaque fois c’était pareil. Elle enchaînait les déceptions, finissait par vandaliser leurs caisses ou insulter leurs mères et se retrouvait à écouler des jours de TIG, un repentir factice vissé aux lèvres, jusqu’à la fois suivante. Sa joue gauche gardait la marque de la gifle, imprimée au rouge soutenu sur sa peau blafarde; ses cheveux s’égaraient d’un chignon désordonné et collaient à sa nuque. Il lui jeta un regard méfiant alors qu’elle redressait le t-shirt qui avait glissé de son épaule osseuse, avec la vague intention de rattraper ce connard et les poings crispés. Un vagissement ordurier résonna dans le jardin (un bien grand mot), suivi d’un crissement de pneus et d’un bruit de moteur hurlant. « GO FUCK YOURSELF NICKIE !Who’s-Oh shut your face. He’s nobody, so don’t ask. Got a smoke ? » Il lui jeta le paquet tandis qu’elle s’effondrait au bout de son lit, le souffle court. Ses mains tremblaient quand elle alluma sa clope. « I need your help. » Quinn se redressa et écrasa le mégot dans un cendrier noirci, résigné à devoir se saigner avant même qu’elle lui ait rien demandé. Aider Nickie, à l’instar des autres branleurs qui lui tenaient lieu de frère et soeur, consistait rarement à aller lui acheter un vulgaire paquet de clopes au coin de la rue. Mais comme pour eux tous, Quinn se saignerait, quoi qu’elle lui demande. « What’s that again.I need a grand. » Elle lâcha la bombe en exhalant sa fumée avec une désinvolture presque insultante. Un sourcil pâle se réhaussa sur son front tandis qu’un rire sans joie le secouait. « Oh you need a grand. That’s perfect because I was just asking myself what I was gonna do with the one I found under my bed this morning.I need a grand to get an abortion. This shit costs an arm.You’re fucking kidding me. » Nickie coula vers lui un regard assassin. « Ask Kitty. Or Sid.I’m asking you, bastard.I don’t have a goddamn grand, Nickie !Then I’m fucked. Quinn, he’s a- » Sa voix ripa dans les aigus avant de s’étrangler. Lorsque son mascara se mit à dessiner des coulées noirâtres sous ses yeux pâles, Quinn sentit un vent de panique souffler sous son crâne. Rares avaient été les larmes versées depuis qu’ils étaient devenus assez grands pour piger que cet aveu de faiblesse ne leur éviterait pas les crises de nerfs parentales et l’envie de se barrer en courant le prit à la gorge en même temps qu’il demandait, sans avoir envie d’en connaître la réponse : « A what, Nickie ?A werewolf. » Le murmure fut à peine audible, lui arracha néanmoins une flopée de jurons larguée à mi-ton, étouffée par la clope qu’il s’alluma, saisi d’un inavouable sentiment de peur -et de déjà vu. « Jesus Christ. You have truly lost the way.Because you’re so well placed to say that, aren’t you, with Maura and everything.Don’t you dare saying her name again. »

Juillet 2005. Le colt est posé sur la table où un flic de la BCC noircit d’encre un document d’allure officielle, thermos et Marlboro à portée de main pour traverser son nightshift interminable. Une fête d’adolescents trop cuits tourne mal et il sait qu’il verra le jour se lever, le temps d’avoir fini de remplir la paperasse et lancé les recherches pour retrouver le loup-garou non déclaré qui s’est transformé sous les yeux de cette troupe d’imbéciles trop cuits pour piger quoi que ce soit.
Quinn ne savait pas. Ne se serait jamais douté. Ne sait pas quoi faire du gouffre qui s’est ouvert quelque part dans ses tripes et lui donne salement envie de gerber. Ça se bouscule, là-haut, ça cogne contre ses tempes alors qu’il fait de son mieux pour chasser l’horreur qui le saisit au souvenir de la transformation qui a eu lieu sous on regard vitreux. Et puis le coup de feu. Une déchirure qui tinte encore à ses oreilles. Son épaule le lance - le recul l’a pris par surprise, comme tout le reste; dans la panique, il n’a pas fait gaffe, et ça lui fait un mal de chien. « You should be careful with this, kid. You could’ve seriously injured someone back there. » Il n’a pas vu le flic se lever, déverrouiller la porte de la cellule et lui tendre son colt, les lèvres si pincées qu’elles en sont réduites à une mince ligne désapprobatrice. Si ça ne tenait qu’à lui, il ne laisserait pas des gosses posséder autre chose que des pistolets à eau. Mais Quinn Farrow a dix-huit ans, il n’a rien dire, ce qui ne l’empêche pas de maugréer quelque chose à propos de l’irresponsabilité des parents - mais il connaît aussi les Farrow plus qu’il ne le voudrait et ce gamin là, c’est triste, ne deviendra rien d’autre qu’une pâle copie de son taré de père. Alors il lui rend l’arme, redemande une dernière fois d’identifier le loup-garou qu’ils sont censés retrouver il ne sait où : « Tell me her name again. » Quinn chancelle et quelque chose s’étrangle dans sa voix. « Pace. Maura.Did you know she was a werewolf ? » The hell not he didn’t. S’il avait su… Il ne sait pas ce qu’il aurait fait. Il secoue la tête avant de filer sans demander son reste sous le regard sceptique du bonhomme, le froid du colt contre sa hanche. « Oh and, you’ll receive a summons from the Council in a few days, kid ! »


Ils avaient fait rouler le tacot de Quinn jusqu’à Atlanta quand Nickie avait refusé de foutre un pied dans une clinique où l’on risquerait de la reconnaître. C’était pas qu’elle en avait quelque chose à foutre de ce qu’on dirait d’elle, avait-elle craché, mais elle préférait faire ça ailleurs, c’est tout. Quinn l’avait lâchée devant un bâtiment anonyme, sans âme, devant laquelle des couillons affublés de pancartes scandaient leurs slogans pro-vie, qui lui donnèrent brièvement envie de leur coller son poing dans la gueule lorsque l’un d’eux se montra assez con pour s’en prendre à Nickie. Loin d’avoir besoin de son frère, elle cracha à leurs pieds et disparut dans l’antre de la clinique sans un regard en arrière, toute parée d’une assurance factice, le majeur dressé pour toute réponse. Il la vit ressortir près de trois heures plus tard —fallait-il vraiment autant de temps pour lui enlever ce dont elle était venue se débarrasser ?—, pâle, exsangue, presque, un vide hanté au fond des pupilles, si trouble qu’il craignit un instant de s’y noyer lorsque leurs yeux se croisèrent. D’un bref hochement de tête, elle répondit à une interrogation muette. Ils n’échangèrent que pour se payer la tête des passants par dessus les tacos dégueulasses qu’ils mangèrent sur un banc, ne parlèrent pas d’avantage sur le trajet du retour. Quand il arrêta le moteur devant la piaule qui était la leur (une planche de la façade se cassait encore la gueule), indifférents aux regards noirs des saloperies de lycans qui hantaient leur quartier, la voix rauque de Nickie brisa enfin le silence : « Where did you get the money ? I’ll pay you back.Shut up. » Plutôt crever que d’admettre qu’il avait pompé dans les caisses du magasin. Son père n’était pas là pour constater le trou qu’il laissait dans les comptes du mois mais il n’en demeurait pas moins que Kitty veillait toujours, son chiard vissé à la hanche, et qu’elle serait là pour lui rappeler qu’ils n’avaient pas de quoi pomper mille putains de dollars pour une chose dont il lui ne voulait même pas lui parler. « You won’t tell Sid or Kitty, will you ? » demanda sa soeur, comme en écho à ses pensées.

C’est le bruit qui le réveille. Des grattements, des chocs brefs et répétés et, étrangement, un bruit de moteur. Hormis les phares d’une bagnole qui percent la nuit comme des lames, il n’y voit rien depuis les fenêtres de sa chambre. N’interprète pas tout de suite l’étrange scène qui se déroule à l’arrière de la baraque, une fois planté devant une fenêtre déglinguée du rez-de-chaussée. Sans avoir aucune idée de l’heure, le noir profond qui dévore le paysage morose de la propriété hurle l’incongruité de ce que Sid est en train de faire, une pelle à la main, guère plus qu’une silhouette torse-nu se détachant devant les phares de sa caisse, dont le moteur ronflant recrache à gros bouillon des jets de fumée âcre par le pot d’échappement déglingué. D’ici, il perçoit péniblement les traits de l’aîné, crispé pour le peu qu’il puisse en juger. L’effort fait saillir les os sous sa peau tatouée, blanche comme de la craie dans toute cette obscurité. Il jauge le trou qui s’ouvre aux pieds de Sid, le monticule de terre sèche qui grossit à chaque pelletée. Se garde bien de l’aider, ou d'intervenir de quelque façon que ce soit. Parce qu’il n’a pas la moindre foutue idée de ce qu’il advient de faire : son frère n’est visiblement plus à Savannah, ramené à des contrées inaccessibles par un délire monté de toute pièce. He’s so fucked up. Faut-il, peut-il seulement faire quelque chose à part l’observer en silence depuis la cuisine où s’amoncelle la vaisselle de la veille.
Dans le doute, Quinn ne fera rien, incapable d’empêcher la culpabilité lui trouer le bide.


Sid avait d’autres chats à fouetter, qu’il tut. Sans son maquillage, Nickie avait l’air étrangement vide. Comme dépouillée de faux-semblants —probablement n’était-il pas si loin de la vérité. Il remarqua pour la première fois les cernes qui lui mangeaient les joues. « I guess I won't. Now get outta my car. I’ve got shit to do. » Elle coula un sourire aussi moqueur qu’il le devinait sincère en claquant la portière. « Thanks, asshole. »



Dernière édition par Quinn Farrow le Mer 29 Avr - 14:08, édité 5 fois
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Layla Zapien
Layla Zapien
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Pouvoir : elle soigne, layla, comme toutes les membres du coven zapien. elle soigne et puis elle sait dégoter des secrets, même si ça lui revient souvent dans la gueule. faire des bijoux de lune et les vendre aux lycans c'est bien moins risqué que de fouiller dans la tête des gens.
Allégeance : descendante et héritière du coven zapien, difficile d'échapper aux responsabilités. malgré ses doutes et ses rancoeurs, elle défendra toujours les siennes.
Métier : elle bosse au compound, soigneuse comme toutes ses soeurs au sein du coven mais elle s'échappe le soir pour aller jouer les barmaids au silver tooth. les lycans la tolèrent parce qu'ils lui achètent des bijoux de lune, secret de polichinelle qui ne fait plus tiquer personne.
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queen of bitchcraft
MessageSujet: Re: come near me.   come near me. EmptyDim 5 Avr - 13:15

bonjour, vous êtes très très beau moustache
bon clairement vous êtes un mess mais hé, on peut pas tout avoir mdr
bienvenue bb, ça me fait tellement plaisir que tu sois là, t'as pas idée, ça faisait beaucoup trop longtemps et on a de l'unfinished business toi et moi ga y'avait une histoire de blonde, une bibliothèque, une petite soeur cinglée si j'me souviens bien, bref, c'est loin fp
n'hésite pas si tu as besoin de quoi que ce soit, surtout hearty
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MessageSujet: Re: come near me.   come near me. EmptyDim 5 Avr - 15:52



ptn ils laissent vraiment rentrer n'importe qui ici
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Caleb O'Hare
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agrougrou
MessageSujet: Re: come near me.   come near me. EmptyDim 5 Avr - 15:58

Si peu à lire, mais j'aime déjà fall et ta plume, j'adore worship
Les frères Farrow seront à suivre de près, j'le sens --
Bienvenue parmi nous petit chat melt
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MessageSujet: Re: come near me.   come near me. EmptyDim 5 Avr - 16:01

je sens un peu de médisance @sidney farrow.
parce que ce perso à l'air de dépoté
pattinson et la plume on oublierait presque qu'il est grv problématique ton gars
hâte de voir ce que va donner la famille farrow in action
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MessageSujet: Re: come near me.   come near me. EmptyDim 12 Avr - 4:05

je n'étais même pas passée dire que toi + rob. sadness drama (more like heartROB)
bienvenue parmi nous et bon courage pour la suite de cette fiche. fou
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MessageSujet: Re: come near me.   come near me. EmptyDim 12 Avr - 22:35

Bienvenue :D

Citation :
White trash à l’américaine, le sud raciste et intolérant lesté aux chevilles.

J'adore cette plume et hâte de voir ce white-trash à l’œuvre bril

Ce faceclaim lui va si bien et on le voit pas assez à mon goût. pompom
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MessageSujet: Re: come near me.   come near me. EmptyDim 12 Avr - 23:35

pattinson fall fall

et ce perso qui se dessine, j'en veux plus worship

bienvenue hearty
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Layla Zapien
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queen of bitchcraft
MessageSujet: Re: come near me.   come near me. EmptyLun 13 Avr - 11:50



ton délai touche à sa fin
< don't leave just yet, darling >
Jeune pousse, nous venons avec une mauvaise nouvelle please En effet, le délai initial d'une semaine pour terminer ta fiche a touché à sa fin TT Mais pas de panique ! Le temps passe vite et personne n'est à l'abri d'un empêchement quelconque, on comprends si tu n'as pas pu finir ta présentation dans les temps vivi Tu as la possibilité de demander un délai supplémentaire ici, ou par mp à un membre du staff. Pas besoin de raison, ni d'excuses à fournir, la seule chose qui change, c'est la réservation d'avatar, qui elle, ne peut malheureusement pas être renouvelée. A noter qu'un délai compte sept jours, et qu'il n'est possible d'en cumuler que deux. Nous espérons avoir de tes nouvelles au plus vite, tu as encore cinq jours, pour nous faire signe avant que ton compte ne soit supprimé brille

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