(1f) — I myself have lots of repressed skies but I do not kill stars.

sorcière | 32 - 35 ans | head witch | statut civil libre

Adriana était jeune lorsqu'elle est arrivée un peu malgré elle à la tête de la congrégation Zapien mais elle a tenu bon, malgré les réserves de certaines. Petite soeur de la head witch précédente, elle s'est retrouvée à prendre sa place lorsque celle-ci est décédée d'un cancer fulgurant, provoqué par une trop grande solicitation de ses pouvoirs et contre lequel aucune soigneuse du coven n'a rien pu faire. Cela fait maintenant dix ans qu'elle gère le compound et les sorcières qui y vivent, organisée et diplomate, elle est considérée comme une bonne meneuse, même si beaucoup de gens la sous-estiment à cause de son apparente douceur. Son pouvoir principal l'a très vite forcé à adopter une position de leadeuse plutôt que d'actrice : soigneuse comme toutes les Zapien, elle est cependant la seule depuis longtemps à être aussi talentueuse mais voilà, son pouvoir se manifeste par transfert. Chaque blessure qu'elle soigne, elle doit la subir. Chaque douleur qu'elle apaise lui incombe aussitôt. Très frustrée par ce qui s'avère être une sacrée limitation de sa magie et de l'usage qu'elle peut en avoir, elle se venge en manageant le coven avec une précision presque maniaque, en plus de s'occuper de la boutique d'apothicaire rattachée au compound.


Layla Zapien Le coven n'est pas la seule dont Adriana a hérité quand sa grande soeur est morte. Il y avait aussi Layla qui, du haut de ses onze ans, perdue dans son deuil et déjà tellement en colère contre le monde entier, allait lui donner du fil à retordre. Si Adriana sait être relativement douce avec les sorcières du coven, son attitude avec Layla est différente. Elles ont traversé beaucoup trop de choses pour se cacher derrière des faux-semblants. Rien n'a été facile, rien n'a été inné. Pendant des années, leur relation n'a été qu'une guerre ouverte, un conflit continue. Aujourd'hui, ça s'arrange un peu, même si Adriana peine à comprendre Layla, parfois. Deux faces d'une même pièce, elles ont des caractères opposés, des réactions contraires. Là où Adriana accepte le fardeau des responsabilités, Layla semble trainer des pieds. Pourtant, elles se soutiennent. Figure parentale, lien filial, c'est une famille, même si elle est singulière, même si elle est morcelée. Il est encore difficile pour elles de ne pas aller au front, surtout quand Adriana traite Layla comme l'enfant qu'elle n'est plus, mais elles sont loyales l'une à l'autre, quoi qu'il arrive.

Suggestions d'avatars : ana de armas, gina rodriguez, emeraude toubia, diane guerrero...

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