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 close your eyes from the darkling skies.

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Riley Hoffman
Riley Hoffman
Date d'inscription : 29/05/2020
Messages : 67
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Avatar : collins
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Multicompte : quinnie, alec
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Âge : the big thirty (vampire since 1998)
Allégeance : danton. for better or for worse.
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Adresse : #017, victorian district. party houseTM. #505, quand elle n'en peut plus du boucan.
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deathless
MessageSujet: close your eyes from the darkling skies.   close your eyes from the darkling skies. EmptyLun 20 Juil - 14:37



Riley Hoffman
< A WOMAN'S HANDS, SO DARK AND PROVOCATIVE. A NURTURING BREATH THAT COULD STROKE YOUR DIVINE CONFIDENCE >
< Nom complet > Olga, Denise, Romy, you faithless bitch. Les identités et les patronymes empruntés à son imagination ou à ses époux de circonstance se sont succédés et confondus au fil des ans. Née sous le nom de Marla Salter, ça fait dix ans qu’elle se fait appeler Riley Hoffman — souvenir de sa dernière union. <  ge, date et lieu de naissance > Quelques décennies plus tôt, le concept d’une vie après la mort n’aurait pas revêtu ce que Riley (Marla) a traversé au lendemain de sa trentaine. Dans ses meilleurs jours et lorsqu’on le lui demande, elle se plaît à dire qu’elle a réellement commencé à vivre lorsqu’elle est morte, ce 13 août de 1998, l’enfermant dans sa trentième année pour une éternité à la saveur douteuse. Sa naissance à San Francisco, le 23 mai 1978, n’apparaît sous aucune épitaphe. Nulle sépulture pour pleurer son existence dérisoire. < Race et pouvoirs > Vampire de sa condition, Riley a possédé une bague de jour pendant près de vingt ans avant que le Conseil la lui retire. Depuis, elle a mis la main sur un nouveau bijou depuis lors et se pavane en plein jour sous le nez désapprobateur du Conseil. < Nationalité et Origines > Américaine. Quant aux origines, elle n’en a aucune foutre idée et n’y attache pas la moindre espèce d’importance. < Situation familiale > Fille unique d’un couple bancal, elle n’a pas connu sa mère longtemps — elle décède d’une rupture d’anévrisme peu de temps avant son huitième anniversaire. Les belles mères se suivent et se ressemblent, quant à son père, il ne fera jamais son deuil, se foutra en l’air au plus noir d’une dépression où sa fille n’aura jamais sa place. Elle met un pied dans le système des familles d’accueil la quinzaine à peine entamée, la première d’une longue série. Sa seule attache, à ce jour, demeure foutrement insaisissable et si Riley dit se satisfaire de sa propre indépendance, sa solitude lui mord le coeur. < Statut civil et orientation sexuelle > Le romantisme a été jeté aux chiottes après le premier rapport rémunéré. Amoureuse du concept plus que de ses amants eux-mêmes, Riley est deux fois divorcée, une fois veuve, chacun de ses mariages basés sur le bénéfice (financier) qu’elle pourrait en tirer. Plus proche de l’obsession morbide que de la tendresse émotionnelle, s’attirer l’intérêt de Riley est loin d’être un cadeau. < Occupation(s) > Pas le souvenir d’avoir entretenu une autre ambition que celle de devenir riche et pourquoi pas célèbre. Elle a coulé dans l’argent facile à l’adolescence ; sugar baby, pute de luxe, escort, avant de se découvrir un talent certain dans la gestion des bloodhouses, son univers avant même sa transformation. D’abord bloodbag assumée, elle y a travaillé puis en a pris la direction dans les années 2000. A tenté d’en implanter une à Savannah, s’est fait retirer sa bague de jour et exclure temporairement de la ville devant le fiasco innommable et son refus catégorique d’y imposer quelque règle que ce soit (ce n’est pas comme ça que ça marche, le Conseil n’a jamais voulu l’entendre). Elle a été forcée de s’y plier, cependant, et c’est cet accord signé de mauvaise grâce qui lui a permis de mettre sur pied le Sucker, il y a six mois, au nez et à la barbe de la Maison Frevel. < Situation financière > Pourquoi  se fatiguer quand votre sire vous fournit la carte bancaire et le pécule mensuel, à l’instar d’un adolescent ingrat quémandant son argent de poche ? Ce n’est pourtant jamais assez pour Riley, dont les investissements et les dépenses faramineuses nécessitent des entrées d’argent qu’elle a toujours trouvé plus simple d’obtenir aux dépens de ses époux et diverses conquêtes. Le mensonge au bord des lèvres, son impudicité légendaire lui ont souvent obtenu ce qu’elle voulait ; ça fait longtemps qu’elle a compris que son corps était une monnaie d’échange plus que valable. Plusieurs comptes en banque à différents noms. < À Savannah depuis > Après des allers-retours s'étalant sur des périodes plus ou moins longues, Riley est à Savannah depuis maintenant deux ans pour ce qui paraît être encore longtemps. < Quartier de résidence > Victorian District, dans cette baraque somptueuse dont le coeur bat plus sûrement que ceux de ses habitants. Partageant sa vie entre l'auberge de jeunesse qu'est devenue la maison des Brand New Saints, et une baraque vide du quartier dont elle suppose à tort que le propriétaire l'a oubliée, elle se juge plutôt en bonne veine. < Caractère > Craving for attention, Riley recherche maladivement le contact et l’approbation d’autrui pour combler le vide béant laissé par sa confiance en elle. Toujours terrifiée à l’idée qu’on l’oublie, qu’on la délaisse, qu’on la trahisse, une anxiété latente et une peur de l’abandon qui l’ont guidée dans ses rapports aux autres au point qu’elle devienne elle-même ce qu’elle craint : une foutue menteuse, une salope déloyale pour qui tous les moyens sont bons pour obtenir l’objet de son désir. Jamais satisfaite, se complaît davantage dans la chasse que dans la victoire, encaisse pourtant difficilement les défaites. Jalouse, envieuse, susceptible et vaniteuse au possible, aigrie, c’est toujours mieux chez les autres, et tant qu’à faire, autant ruiner leur bonheur si elle ne peut pas toucher le sien du doigt. Si eux l’ont, pourquoi pas moi ? Si je ne l’ai pas, pourquoi l’auraient-ils ? Une recherche constante d’affection qu’elle ruine avant même de donner la chance aux autres de la lui accorder tant elle peut se montrer désagréable, voire franchement blessante. Trop de défenses érigées au cours des dernières décennies pour oser fonctionner autrement. Et puis, c’est toujours la faute des autres. Plus facile que d’admettre ses torts. Une mauvaise foi légendaire, élevée au rang d’art. Elle a de l’amour à revendre, pourtant, Riley, c’est juste qu’elle n’a aucune foutue idée de comment exprimer un truc pareil.

we appreciate power
< La commère du quartier, elle aurait quoi à raconter à ton sujet ? > Une femme aux petites moeurs, voilà ce qu’elle est, et elle ne trompe personne et certainement pas la commère avec ses minauderies et son visage de poupée. Celle-là est une garce de première catégorie qui sortira les crocs une fois lavés les sourires charmeurs ; à l’origine de plus d’un scandale, le souvenir de son exclusion de Savannah après la création de cette horreur qu’était la Bloodhouse d’alors nourrit encore les ragots. Qu’on l’ait autorisée à recommencer est une infamie, et Dieu ce qu’elle déteste cette satisfaction que Riley arbore depuis.

< Tu penses que Savannah mérite quelle note sur TripAdvisor ? > Bien loin de l’effervescence des grandes métropoles, où les infamies commises dans le creux de la nuit revêtait à ses yeux un attrait inébranlable, Riley lui reconnaît tout de même le mérite d’être chaleureuse et agréable à vivre. Les minauderies façadières cachent pourtant un puritanisme bien sudiste que l’on retrouve dans toutes les strates de cette communauté pieuse et faussement tolérante. Des faux-jetons aux sourires aigres qui ne la trompent pas le moins du monde.

< Niveau intégration des races, t’es plutôt peace and love ou chacun pour soi ? > Son humanité ne lui manque pas tellement, dans le fond. Ça ne l’empêche pas de se rappeler avec une certaine tendresse de sa propre fragilité, de sa propre fascination pour les vampires dès l’instant où elle a entendu parler d’eux. Ancienne bloodbag, elle éprouve pour les humains une sympathie irrésistible qui n’est pas sans rappeler celle que l’on a éprouvée pour elle peu avant sa mort. Et si sa propension à se servir de la compulsion pour obtenir d’eux ce qu’elle désire reste assez discutable, elle fait attention à ne pas les tuer, quand bien même les plus cons d’entre eux s’échineraient à vouloir lui faire la peau. Quant aux autres, well. Les rancoeurs entre loups-garous et vampires ne la touchent que de loin, et les sorcières restent des humains aux tours de passe-passe intéressants tout au plus.

< Selon toi, le conseil c'est plus nations unies ou gestapo ? > Pas ingrate au point de vouloir cracher dans la soupe, Riley reconnaît son utilité, ses ambitions, louables pour ce qu’elle en perçoit. Nul doute que sans le Conseil, Savannah ressemblerait à n’importe quelle ville où l’on prône avec plus ou moins de virulence l’extermination des gens comme elle. Mais la sécurité que leur offre la ville s’accompagne de règles par lesquelles elle ne se sent pas tellement concernée. Comme pour beaucoup de chose depuis sa transformation, Riley se considère au dessus de tout et les esclandres entre elle et le Conseil ont éclaté plusieurs fois depuis son arrivée, en particulier au sujet de cette foutue bloodhouse, démantelée alors qu’elle était à peine mise sur pieds il y a quelques années. Les discussions, pour le moins houleuses, ont abouti à une deuxième tentative autorisée à la condition expresse de bien se tenir. Riley n’a de cesse de leur cracher dessus, agacée par ces broutilles réglementaires —des bâtons dans les roues.

Imminent annihilation sounds so dope


01. Pourchassée par ses démons et ses innombrables peurs, trop pour les décompter, Riley comble ses manquements comme elle peut et se traîne quantité de casseroles ; addictions, mensonges, erreurs passées et à venir, ils la tiennent en éveil quand bien même n’est-elle plus en mesure de dormir. Elle rumine à longueur de journée, analyse tout et voit rarement le bon côté des choses. Profondément pessimiste, voit le verre à moitié vide et n’envisage pas une seconde de le remplir. Elle s’est parfois surprise à essayer de changer la donne, car si l’éternité a une chose à offrir, c’est bien la possibilité de se racheter et de recommencer à zéro. Une résolution impossible à prendre, car les efforts à fournir et les conséquences d’années à déconner à plein régime l’effraient. 02. Riley a un vision biaisée de l’amour. Ce qu’elle garde de ses parents sont la douleur liée à la perte d’un être cher, le défilé des femmes qui a suivi le décès de sa mère, des liaisons courtes dont les échos passionnés résonnaient jusque dans les murs de sa piaule. Quant à l’attention qu’on lui a portée, à elle, elle s’en est tenue aux échanges de bons procédés dans le meilleur des cas, aux relations dégradantes ou monnayées le reste du temps. La facilité avec lesquelles elle s’accordait les grâces des hommes, si elle l’a dégoûtée les premiers temps, a vite été maîtrisée au point qu’elle ne sache plus communiquer autrement dans l’intimité qu’en se vendant, enfermée dans cette image slutty qu’elle mettra des années à abandonner. L’amour a été rare, la tendresse quasi inexistante, cette dernière ayant été approchée quelques temps au contact d’une femme. Riley n’a jamais été forcée de rien, libre de ses choix. N’empêche que parfois, elle se prend à rêver d’une histoire saine, quelqu’un sur qui se reposer en dehors d’elle-même. 03. Women’s are creatures of desire ; embrace it until you make’em bow at your feet. Sa tutrice se faisait appeler Clare et lui a appris ses seuls talents. Les bases de la séduction, celle qui faisait ployer l’échine des hommes et justifiait qu’ils allongent des milliers pour une nuit avec elle. De l’inflexion de sa voix à la cambrure de ses reins, tout était calculé avec une précision millimétrique. Elle n’était pas de ces pétasses aux dents pourries par le crack, elle ne couchait pas dans des piaules sordides pour quelques dollars froissés, le pli de ses fesses dépassant d’une jupe trop courte. Les rêves qui se vendaient au Moonbeam étaient d’un autre standing ; leurs clichés imprimés sur papier glacé comme les oeuvres d’un musée, les filles étaient sapées comme pour un gala présidentiel. Poussaient le talent jusqu’à faire croire qu’elles étaient autre chose que des prostituées. Ça avait commencé sur les banquettes arrière des bagnoles d’honnêtes pères de famille. Ceux qui attendaient ses copines friquées à la sortie du lycée et qui lui refilaient quelques grammes de beuh en échange d’une caresse bien placée, des fringues de marque en échange d’un baiser. C’était perdu d’avance lorsque sont arrivées les premières vacances tous frais payés dans un hôtel de luxe de Cabo. 04. Riley est morte exsangue, sous les crocs d’un vampire probablement distrait par la coke qui polluait son sang - ou s’est-il perdu à son tour dans les promesses qu’elle lui offrait du bout des lèvres. Elle n’en sait rien et le résultat est le même. Brett a eu le choix de la laisser pour morte, cette nuit là. Il ne l’a pas fait, en dépit de ses réticences à infanter. Riley ne lui a jamais demandé pourquoi, obnubilée par une colère sourde à son égard. Elle n’avait jamais voulu mourir, pas plus qu’elle n’avait demandé à être ressuscitée, et les occasions de le lui faire regretter n’ont pas manqué. Son acceptation et sa suffisance vis à vis de sa condition sont venus plus tard, après des mois d’errance et de remise en question, au point qu’elle ait rejoint cette catégorie de vampires outrageusement fiers, à la limite de la condescendance, qu’il est difficile de supporter tant elle se croit tout permis. 05. C’est à sa mort qu’elle prend conscience de l’absence de tous les bruits et autres bizarreries qui gouvernent le corps humain, comme un bruit de fond que l’on ne remarque que lorsqu’il s’arrête brusquement. Des mois durant après sa transformation, Riley a épluché chaque nuit des manuels médicaux, comptant, listant dans un coin de sa mémoire la quantité d’aberrations inhérentes à sa transformation, tout ce que l’immortalité a d’absurde et d’anormal. Toutes ces choses qu’elle percevait inconsciemment chez les vampires avant d’en devenir un mais qui, chez elle, lui procure un indicible sentiment de malaise. Son sang aurait dû se figer à l’arrêt de la pompe cardiaque (elle se demande à quoi ressemble son coeur, là dedans, inerte et froid) : elle l’a pourtant vu couler, l’imagine courir des veines et irriguer des organes pétrifiés par la mort. Sa peau a perdu de sa chaleur par dessus une musculature d’une souplesse féline. Son système nerveux est devenu aussi sensible que celui d’un nouveau-né, quand bien même rien ne peut la blesser. La même chaleur qu’autrefois l’étreint au toucher d’une paume calleuse et, pour avoir fréquenté les lits de plus d’un vampire, elle sait que le système est demeuré intact par delà la mort. De parfaits non-sens avec lesquels elle a appris à composer. 06. Incroyablement vaniteuse, l’image qu’on lui a renvoyée a fini par se répercuter sur sa propre perception d’elle-même. Habituée à ce qu’on la complimente sur son physique, qu’elle met un soin particulier à mettre en valeur, elle tolère difficilement qu’on la critique. Pas une sortie sans maquillage hors de prix, jamais trop de tunes à dépenser dans des fringues qu’elle ne portera qu’une fois. A frayé avec une styliste, fut un temps, reste rêveuse de ce milieu de paillettes et de classy chic, dont elle copie le style au quotidien. 07. C’est au Mercado de Sonora, le marché des sorcières de Mexico, qu’elle achète sa première bague de jour. Indirectement, tout du moins, Riley étant parvenue à suggérer à un humain de s’en charger pour elle. Comme une deuxième résurrection, elle retrouve avec ravissement la lumière du soleil et les multiples possibilités qui s’ouvrent à elle en retrouvant une existence diurne. 08. Initiée au sang artificiel par quelques rares convaincus de son entourage, elle a un peu de mal à s’y faire et surtout à s’y restreindre. Ce n’est pas seulement le goût - c’est la chasse pour l’obtenir, cet instant de grâce lorsque les dents percent la peau pour en extraire la sève à température parfaite. Elle se sent presque se réchauffer, dans ces instants là. Les seuls intérêts qu’elle y trouve sont ceux qui miment l’ivresse, quand bien même éprouvera-t-elle plus de satisfaction en se nourrissant de celle des humains. 09.Elle connaissait l’existence des bloodhouses avant de se retrouver à la tête de l’une d’elles, quelques années plus tôt, hantant leurs couloirs tamisés de sa condition d’humaine. Des lieux obscurs revêtant l'allure des bordels traditionnels mais où les clients étaient tous, exclusivement, des bloodbags. De ceux dont l’adoration à l’égard des vampires qui tenaient les lieux frôlait le morbide, bien loin de ce qu’elle a été un jour, elle aussi. Le Conseil de Savannah n’a pas franchement approuvé l’initiative lorsqu’elle a tenté d’en implanter une, non loin du Gallows, déjà réputé pour ses fréquentations douteuses. L’entreprise lui coûte sa bague de jour et une exclusion temporaire de Savannah, Riley étant accusé d’avoir usé de la compulsion pour attirer la clientèle non initiée en plus de son refus buté d'instaurer des règles de sécurité auxquelles elle n'était pas tenue dans les autres villes. 2020 : elle revient et retente l’expérience. Tout le monde n’est pas ravi. 10. Il y a peu de choses que Riley se targue vraiment de savoir mais de celle-là, elle est certaine : si les clichés existent, c’est qu’ils fonctionnent. Elle hésite rarement à jouer la carte de la femme fatale, la croqueuse de diamant, la mante religieuse, you name it. Ses vanités apparentes éclusent péniblement le trou béant qui se creuse en elle au fil des ans, au point d’en devenir si profond qu’elle craint parfois de tomber à l’intérieur d’elle-même.

< Pseudo/Prénom > Raph. <  ge > 25 toujours. < Région > à l’ouest. < briefing > Je reboot, je suis toujours la même courgette, je vous aime toujours. < Autre compte > Quinnie et Alec. < Comment as-tu découvert le forum ? > écrire ici. < Avatar > lily collins. < type de personnage > reboot inventé (planquez vos mecs et vos bloodbags). < Crédits > blossom, jazzanova / fka twigs.



Dernière édition par Riley Hoffman le Lun 20 Juil - 18:24, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: close your eyes from the darkling skies.   close your eyes from the darkling skies. EmptyLun 20 Juil - 14:43



i love you still
< you expect that i'll turn, but i'll stay >
23 mai 1968 — Naissance de Marla dans l’éternel brouillard de San Francisco. Une surprise intervenue dans un couple stable et prometteur — elle enseigne à la fac de droit, il est architecte. Vivant sur les hauteurs de la ville, là où les baraques neuves abritent piscine à débordement et Porsche rutilantes dans la cour de devant, ils mènent une existence proprette à laquelle Marla pensera plus tard comme à un rêve. 20 décembre 1976 — Sa mère, Lila, décède d’une rupture d’anévrisme. Morte dans son lit. On s’accorde à dire qu’il y a pire façon de quitter le monde. Son père s’enferme dans son bureau à longueur de journée, délaisse son cabinet d’architecte, qui coulera sous les dettes et les manquements. Le rachat de sa firme par la concurrence ne compense pas les dépenses que Tom écoule dans les jeux, les putes et la tequila. Isolés, les Salter finissent par sombrer dans les on-dits et le mépris teinté de pitié. C’est que Tom enchaîne les conquêtes, et parmi les femmes qu’il ramène à la maison, on doute franchement de leur gratuité. Marla ne peut compter sur son père pour avancer dans son deuil. 1976-1983 — Délaissée, la gamine apprend à se faire à manger toute seule, s’occupe des courses, de ses devoirs, parfois, borde Tom lorsqu’il s’est endormi sur le canapé, ferme la porte de sa chambre lorsqu’elle entend les lattes grincer dans celle d’à côté, casque sur les oreilles. À l’école, ce n’est pas la réussite. Elle trouve plus d’intérêt à attiser les convoitises des garçons plus âgés qu’elle et profiter des richesses de ses copines ; des langues de pute aussi jolies qu’elles sont pestes. Marla les envie, jalouse leur chance et la simplicité de leur existence, tait son quotidien miteux dans les bas quartiers de San Francisco, où son père et elle ont fini par déménager quelques mois plus tôt. 25 mai 1983 — La veille, ils fêtaient son anniversaire — Tom lui avait décapsulé une bière et offert une cigarette avec sa quinzième bougie. Le repas n’avait pas duré longtemps, rempli de silences, elle avait fini par décamper, avait retrouvé la bande d’imbéciles qui lui tient lieu de potes à quelques blocs de là, sans comprendre que ce serait la dernière soirée normale de son adolescence. La vie n’avait rien de pire que ce qu’elle était le reste du temps. Mais ce soir, c’est l’assistante sociale qui la cueille à la sortie du lycée : on a retrouvé son père, mort dans son lit lui aussi, des bouts de cervelle éclatés sur la taie d’oreiller. 26 mai 1983 — Placée en foyer pour enfants dans l’attente d’une famille d’accueil susceptible de l’accueillir. On lui explique la difficulté de placer des ados comme elle — trop de problèmes, pas assez malléables. Elle n’a qu’un sac avec elle, quelques fringues, aucun souvenir à embarquer. Tom a fait brûler toutes les photos de Lila. Sciée de honte, elle coupe les ponts avec ses amis. septembre 1983 — Elle recroise la route le père de Darlene sur le chemin du Walmart. Darlene, c’était la meilleure amie d’alors, celle chez qui elle passait des nuits en rêvant d’avoir sa vie et Dane, son père, avait toujours été sympa avec elle. Il l’avait ramenée de ses matchs de lacrosse à plusieurs reprises, avec ou sans Darlene, lui payait des clopes, l’écoutait parler du lycée avec l’air de celui qui s’y intéresse sincèrement. Il la ramène de nouveau, et Marla n’a jamais su pourquoi, ni comment, exactement, elle s’est retrouvée à effectuer des trajets sans but à bord de sa Lexus flambant neuve, ne put expliquer non plus le plaisir non feint qu’elle éprouvait à chacun de ses regards et de son attention, trop évidente, déplacée, aussi. Les choses s’emballent : il l’embrasse un soir, et, pris de pitié (ou de culpabilité), se met à lui payer des fringues, des clopes encore, il l’aide, et dans le fond, peut-être qu’il tient à elle et que Marla puise dans cet ascendant étrange qu’elle exerce sur lui un faux sentiment d’importance. février 1984 — On lui a trouvé une famille quelque part dans la banlieue de Los Angeles. Arrachée à sa ville natale, ces derniers mois de vide béant lui laissent un arrière goût amer. Le ressentiment et la douleur (la fin d’une époque, elle réalise) lui font faire un tour chez Dane et son ancienne amie, à qui elle lâche la bombe : I’m leaving to LA. Oh, and, I fucked your dad. Et même si ce n’est pas vrai, elle emporte avec elle la satisfaction douce-amère d’apprendre que Dane divorcera peu de temps après. Comme quoi, les saloperies n’arrivent pas qu’à soi, lorsqu’on y met un peu du sien. Question d’équilibrer les malheurs de ce monde, c’est tout. février 1984-1986 — Plusieurs foyers l’accueillent et, chaque fois, elle se plie au même manège malsain. Les regards lubriques des pères de famille qui coulent sur elle sont les menus fretins de son quotidien, car souvent les paumes lourdaudes viennent tâter ses reins dans le dos des épouses, sans qu’elle ne l’ait autorisé. Alors, elle finit par les accepter, avec contrepartie, renonçant à une estime d’elle-même illusoire au profit des biens matériels qui, elle croit, suffiront à combler les manquements de l’humanité, en laquelle elle ne croit plus tellement. 1986-1990 — Période sugar baby. Un quotidien et un compte en banque en dent de scie, oscille entre la misère (qu'elle abhorre et fuira jusqu'à la fin de ses jours) et un confort minimal, dépendant de ses clients. 1990 — Clare la repère dans un bar huppé, au bras d’un de ses fidèles du moment. Et ce qu’elle avait déjà compris depuis longtemps explose en jolies paroles sur la langue de la maquerelle. On est tous la pute de quelqu’un tu  sais, les rapports humains ne sont que des transactions plus ou moins fructueuses, tout se monnaye, reste à  savoir à quel prix tu es prête à te brader. Et parce que Riley ne veut que le meilleur, elle se laisse emporter par les promesses de Clare, et intègre le Moonbeam. 1990-1993 — Clare l’astreint à une hygiène de vie et une rigueur quasi militaire, n’accepte aucun écart de sa part. Joggings matinaux, régime hypocalorique, séances de pilate et de yoga intensives, elle complète son éducation et la pousse à se cultiver car la clientèle du Moonbeam n’est pas des moins aisées et parfois, les clients aiment aussi discuter, et refusent l’idée de baiser une potiche inculte. L’illusion doit être parfaite. Riley court les musées, se nourrit de livres et de classiques du cinéma lors de ses rares moments de temps libre, ingurgite avec une facilité déconcertante toutes ces choses qu’elle délaissait sur les bancs de l’école, en plus des trucs enseignés par Clare elle-même: les codes vestimentaires nécessaires pour se fondre dans les masses aisées, les attitudes à adopter (tiens-toi droite, ne souris pas trop, et écoute), les intonations de voix, les secrets guidant les instincts charnels à leur paroxysme. Un art plus compliqué que ce qu’elle imaginait, et qu’elle finit par maîtriser sur le bout des doigts. 1993 — Roman Conley est un de ses réguliers au Moonbeam. Promoteur immobilier, le type ne compte plus ses montres Piaget et ses costards Armani. Et à l’inverse de beaucoup de clients, Roman ne vient pas seulement baiser, ou parler, mais s’intéresse à sa vie. Elle lui ment, bien sûr. Se présente comme Riley Kincaid, identité qu’elle finit par épouser sur les rares papiers officiels qu’il lui sera donné de signer dès lors. Romantise son adolescence et les drames de son enfance. Il lui demande, un jour, son exclusivité : elle quitte l’ambiance feutrée du bordel et s’installe dans un appartement qu’il possède, à Los Angeles. Roman a une femme, deux gosses, une vie parfaite, et il divise son quotidien entre sa famille et elle. Le deal est simple : ses faveurs exclusives en échange de tout ce qu’elle désire et qu’il est en mesure de lui payer, en échange de quoi elle ne demande ni la bague ni le statut. 1993-1996 — Son train de vie lui convient. Libre de ses mouvements, blanchie par un homme dont elle n’a à tolérer la présence que deux soirs par semaine, Riley mène la belle vie, mais elle s’ennuie. Fraye avec l’underground californien, découvre par hasard l’existence des vampires, et des bloodhouses. Par désoeuvrement, elle s’y risque et se découvre un penchant déplacé pour les morsures. Là, rencontre Brett. 24 mai 1996 — Le deal perdure plusieurs années, jusqu’au divorce de Conley, un gouffre financier, à l’entendre. Sur un terrain instable, elle craint un instant qu’il ne la rejette mais il lui propose plutôt de l’épouser, en dépit de l’accord qu’ils ont passé. Elle accepte par facilité, à défaut d’une meilleure alternative. 1996-1998 — La vie d’épouse l’emmerde et l’entente facile qu’ils avaient avant s’étiole à vue d’oeil. Elle voit dans la présence constante de Roman une privation de ces libertés auxquelles elle avait fini par prendre goût. Le prix devient soudain trop élevé, et les engueulades éclatent, les nuits perdent de légèreté, un quotidien pavé de portes claquées et de angry sex entre deux périodes de silence morose. 24 mai 1998 — La nuit de son trentième anniversaire, Riley décide de la passer seule, dans une bloodhouse qu’elle hante déjà depuis quelques temps lorsque Roman a le dos tourné. Elle y retrouve Brett — ce n’est pas la première fois, mais c’est bien la dernière. Emporté, oublieux, le vampire dérape et Riley décède. Il la transforme. Le lendemain, elle disparaît et jure de ne plus jamais fêter son anniversaire. mars 1999 — Après des mois d’errance dont elle ne garde que des souvenirs confus — des massacres perpétrés par une soif qu’elle peine à tarir, hors de contrôle, un coven de sorcières en colère (des sorcières ?!), des nuits à hanter des bibliothèques universitaires, Riley retourne à LA, son seul chez elle, auprès de son sire. Elle prend conscience, alors, de l’attachement qui le lie à lui, de ce changement qui s’opère dans son giron, différent de la curiosité bon enfant d’antan. La complicité se perd dans les prises de tête à répétition et les colères de l’un et de l’autre. D’autres portes claquent, les reproches fusent, et les crises de larmes n’en finissent pas. 2000 — Épuisée et franchement en colère contre lui, elle prend ses cliques et ses claques et disparaît de nouveau. Pour fêter le passage du millénaire, elle envoie les papiers du divorce à Roman, qu'elle n'a pas revu depuis sa transformation. 2000-2001 — Rencontre d'Ezra Specter. Un vampire comme aucun de sa connaissance (non pas qu'elle en connaisse énormément, pour l'heure), si vieux à ses yeux que son existence à elle lui paraît d'une futilité désolante. Quid de la pitié ou de la sympathie à son égard le poussent à prendre la place de mentor que Brett a laissé vacante (sans jamais l'avoir occupée vraiment), elle ne lui demandera jamais, se contentera d'une reconnaissance tue à son égard lorsqu'elle parviendra, à son contact, à embrasser pleinement sa nouvelle existence et à voir le bon côté de la chose. L'immortalité, soudain, ne lui paraît plus si terrible. Riley apprend à se contrôler et à se faire discrète. 2003 — S’installe à New-York. L’effervescence de la métropole lui donne un deuxième souffle. Fidèle à elle-même, Riley se présente sous une énième identité : Romy Hinkle, une auto-entrepreneuse au passé trouble dont l’allure et la bonne tenue, aidés de la compulsion, lui ouvrent les portes des hautes sphères de la société new-yorkaise. Elle dépense une fortune dans un duplex de l’Upper East Side, parmi autres propriétés de première nécessité. Intègre un cercle de vampires dont la vie se résume aux soirées inconsidérées à bord de yacht ou dans des bloodhouses luxueuses, tout en faisant fructifier de l’argent dormant grâce à leurs bons investissements. Elle apprend, à leur contact. Frôle du doigt un bonheur indicible, si ce n’est l’ennui latent, l’impression de s’enliser dans un jour sans fin où les heures se succèdent sans différer d’un iota. 2005 — Romy se marie de nouveau, cette année là. Prend le nom de Fairmont, vampire de soixante ans son aîné, premier de sa race avec qui elle partage un simulacre de vie. Les débuts sont corrects, mais si elle l’a épousé, ce n’est certainement pas par amour. John possède un empire financier auquel elle ne comprend pas grand chose, si ce n’est qu’elle a besoin de son influence, de son argent, de sa position pour monter sur pied sa première bloodhouse, le Suspirium. John est plus que conscient de ses intentions, et s’il accepte d’être utilisé de la sorte, c’est parce qu’il le peut, que le temps se fait long. Ce compagnonnage forcé le distrait quelques temps et il lui enseigne, au plus dur de la nuit, quelques rudiments de la finance et les déserts législatifs dont les vampires usent et abusent pour asseoir leur pouvoir au fil des siècles, ni vu ni connu. 2006 — Creatures leak. On lui enjoint d’être prudente. mars 2008 — Deux bloodbags décèdent dans le huis clos de sa bloodhouse. Ezra a pété une durite pour une raison qui lui échappe encore. Les conséquences sont là : impossible de rester à New-York, tous les pots de vin du monde ne suffiront pas à payer des couilles aux flics pour qu’ils couvrent ce double meurtre aux circonstances plus que troubles. Suffit de regarder les blessures qui marquent la chair pour constater que ces décès là n’ont rien de naturels. Les morts alertent d’ailleurs un groupe de chasseurs et forcée de quitter les lieux, elle contacte Brett avant de le rejoindre à Savannah. avril 2008 — Fâchée de la perte de son entreprise durement gagnée, elle retente la chose dans ce prétendu havre de bienveillance que se targue d’être Savannah. août 2008 — La maison Frevel fait des pieds et des mains pour anéantir ses ambitions — et y parvient plutôt bien. Mensonges et délations, leur ancienneté et la tolérance qu’on leur accorde en ville a raison de sa bloodhouse, sans compter les quelques dérapages appuyant leurs prémonitions morbides. Les quelques mois d’existence de la bloodhouse ne se font pas sans houle et entachent sa réputation : chassée de la ville à titre temporaire, on lui retire sa bague de jour dans la foulée. 2009 — Courte période d’errance, elle vit sur ses économies, qui s'amenuisent à une vitesse alarmante. Atterrit de nouveau à New-York. Mariage avec Alexander Hoffman. ID : Riley Beckwith, épouse Hoffman. Homme d’affaire de son état, il lui rappelle vaguement son premier sugar daddy. Elle l’a à l’usure, s’invente une vie et un passé, use et abuse de nouveau de la compulsion jusqu’à ce qu’il ploie le genou à terre, un caillou hors de prix entre les mains. juin 2018 — Décès d’Alexander. Il lui laisse un pécule conséquent et ses parts de l’entreprise. décembre 2018 — Retour à Savannah la queue entre les jambes. Fatiguée de cette existence effrénée et passablement vide, n’aspire qu’à retrouver Brett. La déception est amère ; entre temps, son sire s’est recomposé une famille, loin d’elle, où elle prend sa place sans la demander. mars 2019 — Les soirées à répétition, les invités de passage, ce brassage incessant de visages inconnus, l’inconsidération de Brett, la vie en communauté — autant de raisons de s’installer dans cette baraque, une maison victorienne laissée à l’abandon, qui sent la poussière et l’oublie. Riley déblaie l’endroit et s’y installe à temps partiel, non sans retourner graviter autour du numéro 17 quand l’envie lui prend. janvier 2020 — Après des mois de négociations avec le Conseil, obtient son approbation pour la création d’une bloodhouse, finit par se plier à leurs exigences de sécurité sanitaire (une vaste connerie, Riley refuse d’entendre parler de mst) et installe le bordel à quelques blocs du Gallows.



Dernière édition par Riley Hoffman le Lun 20 Juil - 22:00, édité 16 fois
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Brett Danton
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Âge : membre du twenty seven club pour l'éternité, tu serais en train filer vers tes soixante balais si la mort ne t'avait pas figé dans une jeunesse immuable.
Pouvoir : la compulsion ouvre quand même pas mal de portes, tu ne vas le nier. t'as une bague de jour mais tu ne la portes pas, alors tu peux bien abuser de ton pouvoir de suggestion, pas vrai ?
Allégeance : tu n'es fidèle qu'à toi-même mais uniquement les jours où tu arrives à te supporter. ça demande déjà pas mal d'effort.
Métier : rockstar fauchée au sommet de sa gloire dans les 80's, désœuvré professionnel, heureusement qu'il y a ton groupe, BRAND NEW SAINTS, pour te tenir occupé et t'éviter de devenir fou.
Adresse : #017, victorian district, l'énorme baraque où il y a toujours des fêtes folles.
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deathless
MessageSujet: Re: close your eyes from the darkling skies.   close your eyes from the darkling skies. EmptyLun 20 Juil - 14:43

daddy dans les starting block pour être le premier sur ce reboot fire
j'reviens
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flesh and bones
MessageSujet: Re: close your eyes from the darkling skies.   close your eyes from the darkling skies. EmptyLun 20 Juil - 14:48

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agrougrou
MessageSujet: Re: close your eyes from the darkling skies.   close your eyes from the darkling skies. EmptyLun 20 Juil - 14:53

j'ai lu Marla et...

Je Blue trouve que ça colle plutôt bien siffle

Ce nouveau pseudo, cette nouvelle bouille, je drama
Et puis patronne, fondatrice même ! du Sucker rolala, que de choix parfaits fall
C'est un plaisir de redécouvrir ce perso, avec les modifications que tu lui apportes hearty

Bienvenue une nouvelle fois chez toi petit chat miam love
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unbreak the broken, unsay these spoken words
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pull me out of the train wreck
unburn the ashes, unchain the reactions, i'm not ready to die, not yet
pull me out the train wreck

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MessageSujet: Re: close your eyes from the darkling skies.   close your eyes from the darkling skies. EmptyLun 20 Juil - 17:05

Pouaaah ce reboot du tonnerre, Sol va me manquer mais tout de même, ces modifs m'en mettent déjà plein les mirettes gn
Je sens que je vais l'adorer, Riley ; je vais lui foutre Jade dans les pattes tiens, en tant que proprio du Sucker elle va pas y échapper hihi
Rebienvenue à la maison hearty
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deathless
MessageSujet: Re: close your eyes from the darkling skies.   close your eyes from the darkling skies. EmptyLun 20 Juil - 21:37

reboot express mes petits chats merci pour le re-accueil mdr
et Caleb, BEST REF EVER gnia et Jade tu couperas pas à un nouveau lien avec elle ofc oo

hearty
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Pouvoir : la compulsion ouvre quand même pas mal de portes, tu ne vas le nier. t'as une bague de jour mais tu ne la portes pas, alors tu peux bien abuser de ton pouvoir de suggestion, pas vrai ?
Allégeance : tu n'es fidèle qu'à toi-même mais uniquement les jours où tu arrives à te supporter. ça demande déjà pas mal d'effort.
Métier : rockstar fauchée au sommet de sa gloire dans les 80's, désœuvré professionnel, heureusement qu'il y a ton groupe, BRAND NEW SAINTS, pour te tenir occupé et t'éviter de devenir fou.
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deathless
MessageSujet: Re: close your eyes from the darkling skies.   close your eyes from the darkling skies. EmptyLun 20 Juil - 22:47



Welcome
< validation is yours now >
Ce 2.0 du feu de dieu, bordel qu'est-ce que je l'aime. Toujours aussi génial de (re)découvrir tes personnages et damn, Brett ne mérite pas une infant comme elle mais tant pis, elle est coincée avec un sire nul qui ne sert pas à grand chose sob Trop hâte d'encore et toujours me défoncer les feels avec toi, darling keur

Le voilà, le moment tant attendu de ta validation ! Le forum t'ouvre grand ses portes, et tu vas pouvoir y déposer officiellement tes valises. Voici quelques liens utiles, qui vont t'aider à t'y retrouver dans les rues de Savannah. Tu peux poster ta < fiche de liens >, afin de te lier aux autres habitants de la ville. Tu peux également offrir tes < préliens > aux futures arrivants, et ainsi compléter ton carnet d'adresse. Tu peux également contrôler que ton nom figure sur les différents < répertoires >, nous ne sommes jamais à l'abris d'un oubli. Et surtout n'oublie pas la < partie flood >, où tu pourras venir te détendre et jouer à quelques jeux pas piqués des hannetons, avec les autres membres. En cas de question supplémentaire, n'hésite surtout pas à venir nous trouver et en attendant de te croiser au détour de la chat box : bon jeu parmi nous keur

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