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 – sorry about the blood in your mouth

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Sidney Farrow
Sidney Farrow
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flesh and bones
MessageSujet: – sorry about the blood in your mouth   – sorry about the blood in your mouth EmptyLun 27 Avr - 18:14



sidney farrow
<  in dreams until my death, i will wander on >
< Nom complet > c’est un nom de rien, Farrow. Plusieurs générations de ratés et de suiveurs, qui baisent pour passer le temps, boivent en beuglant contre leur poste de télévision, la gueule saccagée par le vice. Un essaim de connards dégénérés, presque fiers d’ériger l’étendard de leur ignorance et de leur violence crasse. Quand ils ne doivent pas d’argent à d’autres crevards, ils se castagnent entre eux, se descendent sans l’aide de personne. Des merdes rampantes qui ont malheureusement compris comment perpétuer leur race de minables. Sidney en est, l’aîné de la fratrie désavouée – comme s’il en avait quelque chose à branler, du choix de ses vieux (comme s’il avait été désiré). D’ordinaire amputé d’une syllabe, troqué contre un « Sid » hélé à la hâte. < Âge, date et lieu de naissance > trente-sept ans, né le vingt-neuf octobre à Savannah, Géorgie, et voilà que sa carcasse ecchymosée s’y traîne encore contre la force des choses, enchaînée à ce bled pourri qu’il a tenté de fuir une fois avant de rebrousser chemin, la queue entre les jambes et l’horreur imprimée sur la rétine morne, pour y crever un jour, rejoindre le petit lopin de terre où se décomposent les cadavres d’aïeuls oubliés. < Race et pouvoirs > humain de pacotille, tout en vulgarité et sauvagerie, parce qu’ils ont beau dire, ces faux dévots, ils ne valent pas mieux que les animaux tant leurs manières brutales et balourdes dissonent avec cette pseudo-normalité que leur confère une existence outrageusement absurde. < Nationalité et Origines > pur produit de l’Amérique profonde, la gueule décharnée du redneck tirant à tout-va sur les canettes de bière vides au fond du jardin, un rien cliché, peut-être, pour ceux qui se marrent de ces bestiaux soutenant un con à leur image, toute casque rouge vif vissée sur le crâne. Probablement issus de crève-la-dalle et autres tuberculeux européens, descendants d’anciens confédérés et déserteurs. « Y a pas un Farrow pour rattraper l’autre », qu’on marmonne. < Situation familiale > faudrait trouver un mot pour désigner ce qui se trame, derrière les murs de cette bicoque, ou du moins, être en mesure d’expliquer comment ces êtres, qui se vouent une haine vacharde, persistent à s’entasser dans un taudis. Famille désunie au possible quoique plus liée que les cinq doigts de la main, Sid le dit, le clame, il tuerait pour les siens. Il suffit d’un rien – d’une insulte, d’un mauvais regard, d’un coup de klaxon au feu rouge, et il sort la batte de baseball. D’abord, le patriarche – figure plus honnie que révérée, devant qui il ploie docilement l’échine, quand bien même il n’a plus rien à lui prouver, au vieux. Sid, c’est le bon chien, toujours à rappliquer dès que le père aboie un ordre. Mama Farrow, fausse adolescente aux piques acerbes, figée dans une autre époque – lorsqu’Anna Nicole Smith promouvait encore Guess – et le ban de son existence. Viennent les chiards qui l’ont malheureusement suivi : Kitty, Quinn et Nickie. < Statut civil et orientation sexuelle > célibataire, et à son âge, compte-tenu des circonstances qui sont les siennes, faudrait lui accrocher une belle médaille au veston. Pas de bobonne imbaisable dans son lit, pas de tripotée de marmots à éduquer au ceinturon. (Juste une gosse pondue à dix-huit piges, qu’il connaît à peine. Il a filé de l’argent à la mère, les premières années, puis s’est déresponsabilisé.) Il ne s’embarque pas dans les relations sans lendemain, reste l’esclave d’un cœur fantôme – quête vaine d’intimité ou peut-être sont-ce là les soubresauts d’une peur viscérale de reproduire le schéma familial, de céder aux mêmes pulsions de violence du paternel lorsque l’obéissance se dérobe. Chez lui, l’affection se confond avec les hématomes violacés jalonnant les bras de sa mère et les connards à castrer pour laver l’honneur de ses sœurs. Puis Sid, c’est compliqué. Les mots lui manquent, car dans son milieu, t’aimes les filles ou t’es pédé – pas d’entre-deux. Alors il se tait, il n’assume pas (il a caché un compagnon sérieux pendant huit ans, recommencera s’il le faut). Restent la honte, les occasions manquées, la haine, le besoin (non, la nécessité) d’affirmer son statut de mâle alpha. < Occupation(s) > ex-soldat, « semper fidelis » à l’intérieur du biceps, rentré au bled avec les honneurs accordés à ceux qui ont bravement défendu la patrie, et ce sont les galons rapportés au pays qui lui valent le semi-respect du père. Il est parti au lendemain des attentats du 11 septembre avec des copains, le torse bombé et le cheveu coupé ras, pour revenir bousillé, à creuser des tranchées dans le jardin au beau milieu de la nuit parce qu’il a entendu un moteur pétarder un peu trop fort. Plusieurs allers-retours en taule depuis, l’errance d’un ignorant qui n’est jamais parvenu à s’élever, à s’imaginer avoir une chance ailleurs. Alors il répare les portes défectueuses de l’hôpital, passe la serpillère dans le couloir, les lettres « MAINTENANCE » plaquées sur le dos d’un uniforme aussi grisâtre que la gueule qu’il tire face aux toubibs. Participe sans sourciller aux occupations interlopes du clan – souvent réquisitionné pour « faire peur » et user des poings. < Situation financière > ils ne roulent pas sur l’or, les Farrow. Accumulent les factures et les sales combines, comptent avec minutie chaque dollar leur tombant dans la poche. Il a grandi avec le souci du fric mais s’il avait réussi à épargner quelque chose, ça se saurait – manifestement, il préfère claquer son pécule aux putes qu’investir dans des rêves inexistants. Accro à l’argent facile et un sacré penchant pour les entourloupes en tout genre. < À Savannah depuis > toujours. Berceau devenu carcan – sa prison à ciel ouvert, qu’il arpente la mort dans l’âme. Sa famille y pousse comme de la mauvaise herbe, enracinée dans ce trou pour mieux en infecter tout l’écosystème, et ça remonte à si loin qu’il y a toujours eu un Farrow pour emmerder le monde, quelle que soit l’époque. < Quartier de résidence > ça croupit à West Savannah, un coin dont on aimerait les déloger par ailleurs. Bien qu’investi par les bestiaux, pas moyen de leur arracher leur misérable parcelle de terrain : ils étaient là avant, comprenez-vous, et ils n’auront aucun scrupule à dégainer le fusil de chasse si on pose ne serait-ce qu’un orteil sur leur propriété. (Et quelle propriété, putain. Rien à tirer de cette baraque délabrée, que Sid retape quasiment tous les weekends depuis qu’il tient sur ses guiboles, une bière dans la caisse à outils et des « fucking shithole » plein le gosier.) < Caractère > la violence dans les veines, pas foutu de faire quelque chose de sa vie ; ambitions creuses – se demande qui il va cogner ce soir pour étancher la fureur qui lui bouffe les tripes ; pas con, débrouillard, toujours la solution au problème, mais si encore on lui avait donné sa chance ; problème pathologique avec l’autorité – trop fier, trop borné ; victime collatérale d’une famille de tocards, élevé à la dure par un père rongé par le vice et une mère avachie devant la télé ; la colère comme seule constante – contre ce monde de merde, lui-même, cette vie qu’il n’a jamais maîtrisée, qui n’a jamais été vraiment sienne ; étrangement pragmatique, complètement défaitiste ; manque d’empathie, incapable d’exprimer ses émotions autrement qu’avec un crochet du droit, bafouille des mots de réconfort, pas la personne vers qui se tourner en cas de coup dur ; imprévisible – des intentions difficiles à cerner, personnage un rien étrange (à croire que tous les Farrow sont condamnés à n’être que des anomalies dans un système trop propret), parangon d’ambigüité ; remarques caustiques drapées d’une honnêteté déconcertante, ça fuse vite et il faudrait s’armer de toute la mauvaise foi du monde pour contredire ses saillies véridiques ; parfois grande gueule, parfois taiseux – s’il l’ouvre, c’est qu’il y a une bonne raison ; verse du whiskey dans son café, trimballe une gourde de vodka, dort avec une cannette de bière sur le chevet – pas sûr qu’il sache fonctionner autrement.

we appreciate power
< La commère du quartier, elle aurait quoi à raconter à ton sujet ? > (Ça dépend, tu parles de sa mère ou de ses sœurs ?) Difficile de le détacher du reste du clan, et ses absences répétées au cours de ces dernières années ont faussé les perceptions des uns et des autres. À une époque, il y avait un semblant de respect à son égard – il avait lâché la famille pour grossir les rangs de l’armée, s’était échappé (presque) sans dire au revoir, sans manifester la moindre intention de revenir. À peine trois poils au menton, le sourire con d’un adolescent pas fini, embobiné par les campagnes de recrutement post-11 septembre. On n’a plus entendu parler de lui pendant un sacré moment, jusqu’à se demander s’il n’était pas mort là-bas. Puis il a reparu, ou tout du moins, quelque chose a reparu. Sid Farrow, c’est l’habitué qu’il ne faut pas emmerder au bar, le conducteur fou d’un pick-up déglingué, un énergumène mal aimable qui pointe son majeur en l’air si le vent ne souffle pas dans la bonne direction quand il pisse. Outre ses véritables faits d’armes, enfermés à double-tour dans une caboche abîmée, on compte coups et blessures (sous influence), outrage à agent (sous influence), conduite dangereuse (sous influence), harcèlement (sous influence). Ça marmonne que c’est une famille de consanguins, racistes, pétris de préjugés, des abrutis finis à la pisse et aux torgnoles, que les trois quarts de faits divers qu’on leur colle au cul sont véridiques (dont celui, et c’est son préféré, à Sid, du couple d’autostoppeurs que son grand-oncle aurait massacré dans les années 1970 parce que la fille lui rappelait Jane Fonda, « that fucking Hanoi Jane bitch »). Avec un peu d’imagination, ça donne un arrière-goût de Massacre à la tronçonneuse.

< Tu penses que Savannah mérite quelle note sur TripAdvisor ? > Il hausse les épaules. Dans le fond, cette ville, c’est pas la fin du monde, il dit. Il y a pire, il y a les métropoles qui vous engloutissent jusqu’à la moelle, il y a la cambrousse, la vraie, où tes poules font office de thérapeutes. Ici, le problème, il explique patiemment, en arrangeant la gouttière, c’est les bestioles qui ont investi la terre d’nos ancêtres. Ils font la loi alors que leur existence va à l’encontre de la nature. C’est son argument, et il ne l’étayera pas plus que cela, car ce sont simplement les idées qu’on lui a fourrées dans le crâne depuis qu’il comprend ce que se racontent les adultes.

< Niveau intégration des races, t’es plutôt peace and love ou chacun pour soi ? > Pire que le chacun pour soi, il soutient l’éradication pure et simple des crawlers. « Fuck ‘em freaks » est le mantra qui tourne en boucle à la maison, nourrit une haine préconçue, un véritable poison s’infiltrant dans les veines de la progéniture in utero. Il veille à ne pas fricoter avec ces monstres et attend patiemment le moment où on autorisera une purge digne de ce nom.

< Selon toi, le conseil c'est plus nations unies ou gestapo ? > Une vaste plaisanterie. Il s’y intéressera probablement davantage lorsque les humains récupéreront le contrôle de la ville – mais les Farrow ont la réputation de courber l’échine face à ceux qui tiennent les rênes, histoire de s’infiltrer dans les petits papiers des uns et des autres, sans s’apercevoir que ces vaines tentatives de rapprochement attisent les moqueries des puissants, amusés par les idiots du village et leur servilité hypocrite. (Comme si ça ne savait pas, que les mômes Farrow apprennent dès l’enfance comment se débarrasser d’un crawler.)

Imminent annihilation sounds so dope

01. Sid est une cause perdue, on dit. Suffit de lui décrocher un regard pour comprendre que celui-là, il finira mal quoiqu’il arrive. Aucun moment de grâce dans son existence, juste une vie figée, manquée – un boulon a sauté, l’a condamné à ce néant. Il semble hargneux mais s’il avait eu la rage, la vraie, il aurait essayé de s’en sortir. 02. Il lit pas mal, Sid. Lentement, c’est sûr, mais il a toujours un bouquin sous la patte, dans la boîte à gants, sous le sommier, même une carte à la bibliothèque. Pas forcément de grands auteurs, ni de gros pavés, juste de quoi s’échapper un peu, ou passer le temps : d’abord à l’armée, pendant ses pauses clope, puis en cellule, ça lui vide la tête. 03. Aimant à emmerdes, toujours à s’attirer des ennuis et des ennemis. Il a arrêté de les compter. 04. Il a perdu son permis de conduire après avoir fauché une gamine qui rentrait de soirée. Les bras chargés d’alcool, le pied au plancher, il ne l’a pas vue – aucun souvenir ne lui revient. Elle s’appelait Lexie. Seize ans à peine, morte sur le coup paraît-il. Pas la moindre putain d’idée de ce qu’il s’est passé cette nuit-là, juste la barre d’une migraine lui pourfendant le crâne au réveil et la vague sensation d’avoir fait une connerie. Son casier judiciaire ne jouait pas en sa faveur mais le petit commis d’office assigné au dossier a rapidement trouvé de quoi alléger la peine avec un plea deal et un discours bien rôdé l’érigeant en martyr, un énième soldat abandonné une fois les armes déposées, livré à lui-même dans ce monde si cruel, sans perspective d’avenir ni prise en charge quelconque. Une évaluation psychiatrique plus tard, il écope de cinq ans ferme. 05. Réinsertion mon cul. Sous médocs, obligé d’assister aux réunions d’alcooliques anonymes, de rencontrer son agent de probation une fois par semaine, de pisser dans un gobelet. Il n’y met pas beaucoup de volonté, et ça le mine, cette histoire. Sur le fil du rasoir, toujours, à deux doigts de se vautrer pour de bon. 06. De sa fratrie, c’est Kitty qu’il préfère. Ce sera toujours Kitty, à qui il est dévoué jusqu’à l’os, mais si Quinn lui demandait, bien sûr qu’il l’aiderait à enterrer un cadavre, et si Nickie chiale trop fort, évidemment qu’il ira défoncer son mec, mais à la fin de la journée, lorsque les insultes cessent de pleuvoir sous le toit branlant de leur masure, Kitty remporte la manche et ses faveurs. 07. Ça prend les armes, ça s’en va combattre sous la bannière étoilée avec les copains, ça revient parfois, pas longtemps, ça rempile pour quatre tours et ça revient, le regard vide, ça dort (mal) avec un flingue sous l’oreiller et une bouteille de gnôle sur le chevet, et plusieurs fois, ça se réveille en pleine nuit pour aller creuser un trou dans le jardin. Sid ne parle pas de ce qu’il a vu ou fait là-bas, refuse de se soigner alors que la vie dans le désert lui a niqué le cerveau. 08. Branleur, connard, lâche, les qualificatifs ne manquent pas et ne trompent pas non plus. Fond de vérité amer, mais il a peu d’égard pour l’humanité – y a déjà les siens qu’il protège, pour qui sa loyauté empreinte d’aversion ne faiblit pas. Aucune considération pour les autres, par-delà la clôture de leur lopin de terre. Restent ses frères d’armes, même s’il ne les appelle pas aussi souvent qu’il le devrait, la veuve d’un pote disparu, à qui il envoie de maigres enveloppes de tunes une fois par mois, des connaissances méritant un semblant d’empathie. Sid, il croit dur comme fer à la sélection naturelle. 09. Un nerveux, tout en genou qui gigote et ongles rongés au sang. Clope tremblante entre les dents, nécessité vitale de s’occuper les mains, de mordiller un cure-dent, incapable de garder son cul sur une chaise plus d’une minute trente. C’est pas si mal qu’il ne conduise plus, la position de sitting duck lui filait des sueurs froides au feu rouge. Un rien lunatique sur les bords, tendances à dégoupiller pour la moindre des choses – son psy s’éclate avec un amoché pareil, y a de quoi écrire sur le sujet. 10. Gamin turbulent, ado tapageur, vieux bougon enchaîné à ses démons. Un champ de mines en lieu et place de ciboulot : faut pas chercher, Sid n’apprendra jamais de ses erreurs et persistera à creuser, avec une fourchette s’il ne reste plus que ça. Pas grand-chose dans la cervelle hormis l’idée bien arrêtée qu’il peut aggraver son cas quoiqu’il arrive, comme un mauvais défi lancé par un pote en mal de sensations fortes.

< Pseudo/Prénom > tripolars/mathy < Âge > 25 < Région > jsp avec le confinement? mon salon? geography who? < briefing > gémeaux, d'où la raison de ma réapparition sauvage, plus aucune notion du temps, "????" mood, passion procrastination < Autre compte > non < Comment as-tu découvert le forum ? >  gnia  < Avatar > jonathan tucker < type de personnage > inventé < Crédits > la peau bleue (av), tumblr (gifs)

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MessageSujet: Re: – sorry about the blood in your mouth   – sorry about the blood in your mouth EmptyLun 27 Avr - 18:14



times are gone for honest men
< and sometimes far too long for snakes >
firstborn's curse — Sid, c’est le premier de la fratrie, celui dont l’arrivée a condamné quelque espoir incertain, du côté maternel. Jean n’était pas la plus ambitieuse du coin mais elle aspirait à mieux, si mieux il y avait. À dix-sept ans, la bedaine enflée et le corps déformé, elle regrette absolument tout mais serre les dents : on n’avorte pas, ici. Sid, c’est à se demander si on l’a pas bercé trop près du mur ou si on l’a bercé tout court. Il a essuyé pas mal de coups, pas mal de mandales pas franchement méritées, s’est érigé en rempart entre la main lourde de son père et le reste de la fratrie, se souvient encore marmonner à Quinn, « it’s my fault, go to your room, be quiet », parce que le frangin, il a cinq ans et des poussières, et lui, neuf. À neuf ans, on encaisse mieux. Pendant longtemps chef de cette petite tribu roublarde, aujourd’hui délitée de tout part, il a déconné un nombre incalculable de fois mais que personne ne s’aventure à lui reprocher de ne pas s’être occupé du clan. Il s’est pointé sur le palier des copains infidèles de ses sœurs avec une batte de base-ball, cognait les cons qui s’en prenaient à son frère, prenait le blâme sans sourciller. Callum souhaitait le façonner à son image, construire un leader digne de ce nom quand la Faucheuse réclamera ses vieux os, mais le père et l’aîné ne s’entendent pas – Sid, c’est une déception.

these wounds, they will not heal — corps en lambeaux. La peau violacée d’hématomes, de cicatrices éparses, de sutures qu’il a fait sauter dans un élan d’autodestruction, de croûtes à triturer du bout de l’ongle. Il le connaît par cœur, le cycle des ecchymoses : rouge, bleu, vert, ocre, jaune. Il sait aussi à quoi ressemble la douleur cuisante provoquée par une brûlure de cigarette. La violence est là, tapie dans les tripes, incrustée sous les ongles, menace d’exploser à tout instant, contre une crevure qui lui a piqué son tabouret préféré au bar, le piéton grillant la priorité, la porte du frigo défectueuse. Un rien le fait vaciller, et derrière le volant de sa caisse, à des heures improbables, il fonce comme un con, très vite, très mal, manque de s’encastrer dans un arbre, frôle l’accident uniquement pour sentir son palpitant pomper de l’adrénaline. Faut lui reconnaître ça, à Sid : il a un sale tempérament, mais il reste sa victime préférée.

make america dumb again — caboche gangrénée par des discours haineux. Des crawlers aux étrangers, tout y passe. Ça ne s’y connaît pas en politique mais ici, on se laisse facilement berner par un mec qui « comprend » ce que c’est, la vie de l’américain moyen, qui utilise les « bonnes » formules. Faut dire que les Farrow ont toujours eu du mal avec les fins de mois. Chômage, licenciements à répétition, crises économiques. Chez eux, on préfère trouver un coupable plutôt que réfléchir cinq minutes (peut-être que leur père aurait gardé son job plus longtemps s’il fermait sa grande gueule, peut-être que leur mère aurait dû se sortir un peu les doigts du cul au lieu de se plaindre constamment). Il a grandi dans ce cloaque d’idées reçues et de préjugés à deux balles, mimétisant les propos beuglés d’un bout à l’autre de la maison, sans conscientiser l’ampleur des conneries qui sortaient de sa bouche. Y a aussi la haine qui lui entrave le bide, qu’il nourrit contre les siens (son crevard de père, son incapable de mère), contre lui-même, contre l’humanité, l’idée même qu’un mauvais jeu de la fortune l’ait craché parmi d’autres moins que rien.

shell-shocked veteran — le pire, c’était l’odeur. Le remugle nauséabond de la chair en décomposition. Au soleil, les cadavres avaient gonflé et quand O’Brien tira la première balle, le corps explosa sous leurs yeux, dans un « pop » étrange, qu’il n’avait jamais entendu auparavant. Le soldat baissa son arme, déconcerté. Quelques regards chargés de dégoût s’accrochèrent furtivement, et l’un des types se détourna même de la scène, la main collée aux lèvres. Des horreurs, ils en voyaient (causaient) tous les jours, mais lorsque le sergent leur avait demandé de tirer sur les cadavres qui s’étaient amoncelés près de la base, après l’explosion d’une bombe, ils avaient été pris au dépourvu – c’est parce que des fois, le chef avait dit, ils font semblant, et attaquent. Alors ils avaient rebroussé chemin, leur M16 entre les bras, un peu hébétés. Pointer son canon au loin, rester en position, ils savaient faire ; tuer des morts, c’était étrange. Sid n’était pas plus croyant qu’un autre – il avait été élevé là-dedans mais il avait ses raisons de croire que Dieu n’en foutait pas une, là-haut, ou s’en carrait bien, de ce qu’il se passait en bas. Il ne se baladait pas avec une croix autour du cou, et quand les plus dévots des camarades se rassemblaient pour la prière, il s’éloignait. S’il y avait une instance divine quelconque, il ne serait pas ici, dans le Triangle de la Mort, à fixer des corps en putréfaction. Il avait remonté son shemagh jusqu’au nez, mais la puanteur avait réussi à s’infiltrer dans ses narines. Chacun à leur tour, ils tirèrent une balle. Même la cigarette du retour n’atténua pas ces relents abjects.

ignorant mess — c’est confortable, de prétendre ne posséder qu’une poignée de neurones atrophiés. Au nombre de deux ou trois selon les jours, il grossit un stéréotype d’imbécile à l’esprit si étroit que c’en est à se demander comment, à l’âge d’internet, on peut vivre avec de telles œillères. Sid n’a jamais été bon à l’école, il n’aimait pas travailler, il n’aimait pas les autres gamins qui se foutaient de sa gueule, il n’aimait pas les enseignants qui fourraient leur nez dans ses affaires, et l’éducation, chez lui, ça ne rimait à rien. Son père jugeait que le plus important, pour un homme, c’était de savoir démonter et remonter un moteur de bagnole, de suer sang et eau en plein cagnard quand il fallait réparer la clôture, pas de viser une université à la con. T’as tout ici, il lui aboyait, pourquoi t’irais ailleurs ? Sid s’en carre, de pas être le plus cultivé du coin. Il est plutôt malin, il se débrouille, est plus habile de ses mains qu’autre chose, sait pas trop comment parler aux autres.

big chaotic closeted bi energy — Wayne s’est foutu en l’air. Chez lui, dans ce ranch paumé de l’Arkansas qu’il abhorrait plus qu’autre chose. Il lui avait dit, une fois – mais il aimait les chevaux, et fallait prêter main forte à son vieux qui perdait un peu la boule depuis la mort de sa mère. Au téléphone, il demanda comment. Shot himself in the head last night, on lui répondit. La dernière fois qu’ils avaient parlé remontait à quelques semaines déjà, peut-être un mois ou deux, il n’était plus vraiment sûr, mais il se souvenait d’une dispute virulente, d’insultes égrenées à l’abri d’oreilles indiscrètes, et la réaction qui n’arrive jamais, se fracasse contre les remparts de sa mauvaise foi. Une nausée lui secoua l’estomac, et ses épaules s’affaissèrent, car quand tout foutait le camp, il baissait juste la tête, accusait le coup en courbant l’échine. Ses doigts courraient le long de sa nuque endolorie. La conversation se coupa aussi abruptement qu’elle avait commencé. Pas le réflexe de demander s’il y aurait un enterrement, si le père tenait encore sur ses deux jambes, s’ils allaient vendre le ranch. Un goût d’abîme en bouche, et une poignée de souvenirs se rappelant à lui (le rire con de Wayne, comme un aboiement de clébard mal éduqué, ses paumes calleuses, la bière dégueulasse qu’il achetait à la station essence, les notes lointaines d’un album de Pearl Jam) – l’envie de crever un peu.

insert lousy father trope — une histoire de capote trouée à l’arrière de son pick-up. Elle s’est ramenée avec le test de grossesse, harnachée de panique, et lui, tout ce qu’il trouve à proposer, c’est de la conduire à la clinique. Pas de bol, ils débarquent un jour de manifestation : un petit groupe parade aux portes de l’établissement en scandant leurs slogans pro-life, des pancartes « let babies live » brandies en l’air. Emma se dégonfle, et lorsqu’il l’oblige à sortir de la voiture, elle enfile la venelle. Il a essayé de porter ses couilles pendant la grossesse mais ils ne sont pas matures pour deux sous, refusent de succomber aux pressions familiales (faut se marier, faut « faire ça bien »), se disputent dans un appartement minuscule. Il n’a aucun lien avec sa gosse. N’a jamais été présent d’une manière ou d’une autre et n’a pas cherché à s’imposer – au contraire, il s’est convaincu que son absence était le meilleur cadeau à offrir à sa progéniture.

from camouflage to criminal — dix ans qu’il est sorti de l’armée, dix ans que ça déconne à plein régime. Un feu rouge grillé, une altercation dans un supermarché, une bagarre au bar. Sa trogne est bien connue au commissariat, et son cul s’est habitué aux bancs des cellules de dégrisement. À défaut de se contenter d’une garde à vue de temps en temps, il a enchaîné les amendes, les travaux d’intérêt général et les sessions de gestion de la colère. Il a d’abord atterri en taule pour conduite en état d’ivresse et y a seulement purgé la moitié de sa sentence initiale. Il a passé six ans de sa vie derrière les barreaux, et c’est à se demander s’il ne cherchait pas à y retourner dès qu’il en sortait. Récemment recraché du système carcéral pour délit de fuite et homicide involontaire.



Dernière édition par Sidney Farrow le Mar 28 Avr - 20:46, édité 3 fois
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Brett Danton
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Âge : membre du twenty seven club pour l'éternité, tu serais en train filer vers tes soixante balais si la mort ne t'avait pas figé dans une jeunesse immuable.
Pouvoir : la compulsion ouvre quand même pas mal de portes, tu ne vas le nier. t'as une bague de jour mais tu ne la portes pas, alors tu peux bien abuser de ton pouvoir de suggestion, pas vrai ?
Allégeance : tu n'es fidèle qu'à toi-même mais uniquement les jours où tu arrives à te supporter. ça demande déjà pas mal d'effort.
Métier : rockstar fauchée au sommet de sa gloire dans les 80's, désœuvré professionnel, heureusement qu'il y a ton groupe, BRAND NEW SAINTS, pour te tenir occupé et t'éviter de devenir fou.
Adresse : #017, victorian district, l'énorme baraque où il y a toujours des fêtes folles.
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deathless
MessageSujet: Re: – sorry about the blood in your mouth   – sorry about the blood in your mouth EmptyLun 27 Avr - 18:46

guess who's back, back again, my favorite mess is back keur
(c'est Sid, le mess, toi t'es a cutie et jtm dac  keur )

rebienvenue à la maison bb  hearty  vasy fais nous rêver avec cette enflure, je l'adore déjà, il nous faudra des liens okay ? OKAY ? han dis moi qu'on va s'aimer sinon je boude forever boude
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Qiu Baxter
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Âge : vingt-cinq ans, figé dans ses dix-huit ans
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~
haven't had a dream in a long time
see, the life I've had
can make a good man bad
so for once in my life
let me get what I want
Lord knows it would be the first time

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deathless
MessageSujet: Re: – sorry about the blood in your mouth   – sorry about the blood in your mouth EmptyLun 27 Avr - 21:00

(Re)bienvenue, j'ai tout lu, ce monsieur est charmant, adieu. rip
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Rafaela Esperanza
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Baby I got me and that s all I need
Âge : 35 ans (01/08/1984)
Pouvoir : télékinésie ◇ manipulation psychique ◇ pyrokinésie ◇ amplification
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Adresse : South Garden, #008, un appartement à une dizaine de minutes du Commissariat
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Fratrie Esperanza - 1f & 1m & 1f/m libres

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Zachary ◇ Fouineur, chien/chat. What a wicked game to play to make me feel this way

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Pansy ◇ Comme une petite sœur, protégée

Quinn ◇ Alcoolique Farrow n°1
Sidney ◇ Alcoolique Farrow n°2

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Here we go, here we go, it's my turn to make history. Here we go, here we go, when I'm gone they'll remember me, yeah.

A dreamer with the fever to be great was all I ever want, was all I ever wanted. A finder with the fever for the fame was all I ever want, was all I ever wanted.

Got me singin' like... Bang, bang ! This fire's the weapon. Bang, bang ! Won't stop till we're legend.

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witching hour
MessageSujet: Re: – sorry about the blood in your mouth   – sorry about the blood in your mouth EmptyMar 28 Avr - 16:03

Bienvenue avec cet humain qui promet d'être foutrement intéressant m
Le début me plaît, j'ai hâte d'en apprendre plus hearteyes
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Quinn Farrow
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flesh and bones
MessageSujet: Re: – sorry about the blood in your mouth   – sorry about the blood in your mouth EmptyMar 28 Avr - 17:03

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Invité
MessageSujet: Re: – sorry about the blood in your mouth   – sorry about the blood in your mouth EmptyMar 28 Avr - 17:34

Mais, mais tu fais bien de revenir, pour que je puisse te découvrir hearteyes
J'aime beaucoup ce que je lis, un vrai petit régal à mes mirettes bril

Be brave pour ta story et re bienvenue ofc.
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Sidney Farrow
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sooner or later god'll cut you down

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flesh and bones
MessageSujet: Re: – sorry about the blood in your mouth   – sorry about the blood in your mouth EmptyMer 29 Avr - 0:27

@brett danton ON VA S'AIMER SUR UNE ETOILE ou sur un oreiller perv
tjrs de la place pour toi bae on a du unfinished business sur les pattes hin
ily, si bon d'être de retour à la casa hearty

@qiu baxter mais il est charmant, il a pris une douche le mois dernier en plus brille
merci hearty

@rafaela esperanza oh ce pl je brille brille merci hearty

@quinn farrow


@youlia vesselov (sid approuve le métier moustache) merci gorg hearteyes
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Jude Parker-Wright
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witching hour
MessageSujet: Re: – sorry about the blood in your mouth   – sorry about the blood in your mouth EmptyMer 29 Avr - 8:30

J'ai failli passer après que tu sois validée !
1) t'es belle comme ça.
2) toujours un plaisir de te lire.
3) mon petit coeur pleure pour sid.
4) bienvenue heart
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Layla Zapien
Layla Zapien
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Âge : vingt-deux ans - lil scorpio psycho.
Pouvoir : elle soigne, layla, comme toutes les membres du coven zapien. elle soigne et puis elle sait dégoter des secrets, même si ça lui revient souvent dans la gueule. faire des bijoux de lune et les vendre aux lycans c'est bien moins risqué que de fouiller dans la tête des gens.
Allégeance : descendante et héritière du coven zapien, difficile d'échapper aux responsabilités. malgré ses doutes et ses rancoeurs, elle défendra toujours les siennes.
Métier : elle bosse au compound, soigneuse comme toutes ses soeurs au sein du coven mais elle s'échappe le soir pour aller jouer les barmaids au silver tooth. les lycans la tolèrent parce qu'ils lui achètent des bijoux de lune, secret de polichinelle qui ne fait plus tiquer personne.
Adresse : landmark district, elle occupe un appartement du zapien compound.
– sorry about the blood in your mouth F4690a4508aa8fb29e06db120416aaa4054c7789
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queen of bitchcraft
MessageSujet: Re: – sorry about the blood in your mouth   – sorry about the blood in your mouth EmptyMer 29 Avr - 8:49



Welcome
< validation is yours now >
watch me tomber amoureuse de cet idiot fp ta plume ? tes idées ? ce personnage ? je. stan. si. fort TT c'est un mess mais sublimé, comme tu sais si bien les faire et j'suis grave contente qu'il rejoigne les messy ranks de Savannah red c'est toujours un plaisir incroyable de te lire, pfou, du coup sans plus attendre, je te valide, viens ruiner mes feels fall

Le voilà, le moment tant attendu de ta validation ! Le forum t'ouvre grand ses portes, et tu vas pouvoir y déposer officiellement tes valises. Voici quelques liens utiles, qui vont t'aider à t'y retrouver dans les rues de Savannah. Tu peux poster ta < fiche de liens >, afin de te lier aux autres habitants de la ville. Tu peux également offrir tes < préliens > aux futures arrivants, et ainsi compléter ton carnet d'adresse. Tu peux également contrôler que ton nom figure sur les différents < répertoires >, nous ne sommes jamais à l'abris d'un oubli. Et surtout n'oublie pas la < partie flood >, où tu pourras venir te détendre et jouer à quelques jeux pas piqués des hannetons, avec les autres membres. En cas de question supplémentaire, n'hésite surtout pas à venir nous trouver et en attendant de te croiser au détour de la chat box : bon jeu parmi nous keur

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