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 in sheep’s clothing.

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Maura Pace
Maura Pace
Date d'inscription : 29/04/2020
Messages : 308
Pseudo : alix
Avatar : amanda seyfried
Crédit : alzn blblbl ; thesethingstheycarried ; bahamas
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in sheep’s clothing. LCSGFr1
Âge : trente-deux
Allégeance : pas des plus loyales. officiellement virée de la meute hanover pour ses activités louches, elle a rejoint les morales, provisoirement (dit-elle)
Métier : post office pour la légalité, mais ça traîne de plus en plus le bout du museau du côté de west end station, et des bookmakers.
Adresse : #507 west savannah, déménagement récent dans la plus petite piaule du kennel.
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moonchild
MessageSujet: in sheep’s clothing.   in sheep’s clothing. EmptyVen 1 Mai - 0:11



Maura Pace
< only humans kill for sports >
< Nom complet > Le prestige des Pace n’a été que de courte durée dans leur Kentucky natal où, après beaucoup de malchance, les aïeuls avaient réussi à grimper les échelons de la Brown & Williamson Tobacco Corporation de Louisville. C’était sans compter leur cadette, Tricia, mauvaise graine qui prenait un malin plaisir à dégringoler les niveaux de bienséance au fur et à mesure que les regards accrochaient sa taille de guêpe, ses cheveux de Barbie et ses cils enduits d’une épaisse couche de pétrole, savourant le tapis rouge de l’avenir qui se déroulait à ses pieds et les promesses des routiers qui voulaient la conduire jusqu’à la Lune. Partie sur un coup de tête « voir du pays », Tricia n’a pas tardé à se retrouver enceinte jusqu’aux dents et abandonnée sur le bord de la route, maudissant chaque jour d’avoir croisé le chemin du foutu clébard qui lui a donné le deuxième maillon de la chaîne, Maura, petite boule de cheveux blonds aux yeux quasiment globuleux, trop grands pour sa tête, et qui ne lui a attiré que des emmerdes depuis.  < Âge, date et lieu de naissance > Débarquée en pleine nuit sur l’I-75, elle est née sous un torrent de pluie le 19 mai 1988, non loin d’Atlanta, salopant la cabine de Thad-du-Tennessee en attendant une ambulance qui ne venait pas. Elle court désormais sur ses trente-deux ans. < Race et pouvoirs > S’il n’y avait pas eu cette transformation surprise à l’aube de ses dix-sept ans, Maura se serait largement contentée d’une banale vie humaine. Même sa mère n’aurait pu imaginer qu’elle avait engendré et abrité un loup-garou sous son toit depuis toutes ces années. < Nationalité et Origines > Américaine, clairement, héritant de lointaines racines allemandes, irlandaises et putassières par la mère. < Situation familiale > Au centre du tableau domine Trish, la cinquantaine tout juste entamée, manucurée, peinturlurée, draguant tout ce qui bouge dans l’espoir d’en retirer de piètres bénéfices (un paquet de chewing-gum gratuit, une bière, des cigarettes, voire, avec un décolleté suffisamment profond et assez d’ardeur : un plein d’essence) et tentant d’oublier que le trottoir n’est plus une option en s’accrochant au bras de Christopher, Harry, Michael, Peter ou Juan, dépendant de l’année et de l’alignement des planètes régissant son humeur. Actuellement – détenant le record de cinq années consécutives – le trône de chef de famille revient à Devin, un docker hostile aux crawlers qui préférerait que tous les gosses de Trish quittent cette foutue ville et les laissent cuver en paix, ce que ni Luke, ni Cole, les jumeaux arrivés dix ans après Maura, ne semblent décidés à faire. Pour pallier à ce manque flagrant de stabilité, l’aînée s’est attribuée une famille de substitution pendant les années lycée auprès de quelques profs encourageants, ceux-là même qui l’ont poussée à penser qu’un avenir meilleur était possible (foutaises) et une bande d’amis abrutis qui passaient leur temps à boire, fumer, saccager leur propre squat pour le fun et voler des nains de jardins sous Emma. Après des années à bourlinguer en solitaire, c’est désormais la meute Hanover qui a récolté sa loyauté vacillante. < Statut civil et orientation sexuelle > Chat errant. C’est comme ça que la plupart des types chez qui elle squatte quelques semaines, quelques mois tout au plus, finissent par la qualifier avec plus ou moins de subtilité. « Une caresse, à bouffer, et basta ». < Occupation(s) > Ce n’était pas un rêve, mais disons que faire du social restait dans ses cordes, ça avait même le culot de paraître réalisable d’après ses profs de lycée et de lui éviter une carrière faite de milk-shake renversés et de hamburgers trop cuits. Elle avait même décroché une maigre bourse pour la Georgia State University en taisant sagement ses angoisses de pleine lune et réussi à y croire pendant encore deux ans avant que son GPA coule, que sa bourse soit retirée et que tous les barreaux de l’échelle se dérobent un à un sous ses pieds. Depuis son retour à Savannah, la meute lui a permis de décrocher un job au post office où elle officie en tant que CCA pour l’USPS (City Carrier Assistant for the United States Postal Service), comprenez par là qu’elle vient déposer vos factures, vos colis Amazon et votre journal dans votre boite aux lettres avec le cercueil roulant qui lui sert de transport et l’équivalent d’un contrat CDD sur siège éjectable parce que ? this is America, folks. (non, elle ne mord pas le courrier pour vous transmettre malédiction ou trépas) (et oui, les chiens ont largement tendance à lui foutre la paix) < Situation financière > Proche du désespoir. Ses dettes étudiantes ont crevé le plafond lorsqu’elle a contracté un emprunt pour pouvoir terminer son cursus universitaire inutile (dixit sa mère), études qu’elle a finalement été forcée d’abandonner. Elle peine à commencer à les rembourser entre deux jobs dans des diners crasseux, quelques postes dans le social qu’elle a décrochés en trichant sur son CV et les billets qu’elle retrouve çà et là dans les poches des malheureux qui laissent traîner leurs jeans à portée de main. Son frère Luke lui avait filé de quoi tenir quelques mois mais il a fini en taule peu de temps après donc : ressource moyennement fiable.  < À Savannah depuis > Sa naissance, ou presque, sa mère étant venue squatter en ville peu de temps après avoir accouché. Maura s’est envolée pour Atlanta juste après la révélation de l’existence des Enfants de Crowley et n’est revenue que pour quelques Noëls les années suivantes, traînant les pieds devant l’hypocrisie de la tradition, avant de disparaître totalement cinq années de suite puis de revenir frapper à la porte de Trish en décembre dernier, le sourire piteux et la queue entre les jambes. < Quartier de résidence > Elle a passé toute son enfance à West Savannah où sa mère squattait de maison en maison, atterrissant là où la charité la guidait, avant de négocier la location puis l’achat d’un pavillon délabré avec des mauvaises herbes jouant le rôle de jardin pour une bouchée de… pain (inutile de lui demander le type de service qu’elle a rendu aux lycans pour cette acquisition). Depuis son retour en ville, Maura a principalement créché dans sa voiture, squatté chez son ancien prof d’anglais qui s’était tout juste séparé (how convenient), songé à louer une caravane à Thunderbolt jusqu’à la fin de l’année mais vite renoncé devant l’état du bordel, avant de se voir proposer un appartement en colocation au plus proche de la meute Hanover, retour à la case départ à West Savannah. < Caractère > Digne d’un conte du petit chaperon rouge dans lequel la louve est bornée, légèrement hargneuse mais pas farouche pour un sou, débrouillarde d’une façon qu’on pourrait aisément qualifier de pitoyable (du genre à prévoir la roue de secours mais pas le cric) et qui ferait avaler la galette et le petit pot de beurre à mère-grand avant de la bouffer tout cru pendant son sommeil – moins incommodant pour sa conscience. Maura se targue d’être indépendante depuis qu’elle a l’âge d’enfiler des patins à roulette pour faire un pied de nez au couvre-feu instauré par sa mère, préférant ignorer à quel point cette liberté est une farce plutôt que d’admettre qu’elle joue les parasites depuis son adolescence, comme Trish, vivant aux crochets du premier idiot partageant son futon pour ses beaux yeux. Telle mère, telle fille, malgré tout l’acharnement qu’elle met à prendre la direction opposée, elle néglige les mêmes choses – sa famille, ses demi-frères cons comme la Lune, le peu d’amis qu’il lui reste – et préfère donner son temps à des inconnus dont la gratitude gonflera son égo surdimensionné à défaut de remplir son portefeuille (on parle de travail social, pas de tapin, thank you very much). Ses vagabondages au-delà des frontières de l’état et les aventures plus ou moins heureuses qui les ont provoqués auraient dû la rendre méfiante, mais elle a préféré gardé un phlegme qui vire parfois (souvent) à l’insolence, dominé par la condescendance typique de ceux qui sont allés voir plus loin que Savannah – et s’en sont mordus les doigts. Sa volonté de sortir de ce trou à rats s’est visiblement érodée au fil du temps mais elle en rêve encore, parfois, quand son cerveau est un nuage moelleux imperméable aux regrets (don’t do drugs, kids).

we appreciate power
< La commère du quartier, elle aurait quoi à raconter à ton sujet ? > La fille de Trish the Tramp n’a pas grand-chose à envier à sa mère, à part peut-être le fait d’avoir réussi à ne pas se faire engrosser en cours de route, ce qui dans son cercle d’amies est presque devenu un rituel de passage morbide. L’option « lupin surprise », en revanche, a survécu au cycle des ragots et revient régulièrement sur le tapis tandis qu’elle distribue des prospectus et des impayés aux quatre coins de Savannah, sous la flotte, réprimant l’envie de venir cracher au visage des petites vieilles qui refusent qu’elle s’approche de la porte (« Don’t come any closer, I have a very sensitive dog inside ! »).

< Tu penses que Savannah mérite quelle note sur TripAdvisor ? > Elle a préféré essuyer des torrents de haine, beaucoup d’insultes et même quelques coups pendant quinze ans plutôt que d’y retourner, ce qui donne une bonne idée de l’affection qu’elle a pour cette ville. Et pourtant, les souvenirs ancrés à chaque coin de rue ne manquent pas, la plupart ayant même gardé la douce euphorie de l’adolescence. Mais tous sont tâchés par cette même nuit de juillet, et arpenter à nouveau la ville à bord de son Grumman LLV de fortune ne fait que retourner le couteau dans la plaie.

< Niveau intégration des races, t’es plutôt peace and love ou chacun pour soi ? > Difficile de grandir à Savannah sans éprouver une fascination malsaine pour les enfants de Crowley, renforcée par la présence des lycans dans le quartier qui venaient par wagons entiers rendre visite à sa mère. Si, plus jeune, Maura voyait peu de différence entre elle et les autres, les années se sont chargées de lui faire comprendre à quel point les humains adoraient mettre un nom sur l’Ennemi, l’enfermer dans une cage et le baptiser monstre. Elle est entièrement prête à jouer les hippies à Savannah. S’ils arrêtent d’être tous si foutrement cons.  

< Selon toi, le conseil c'est plus nations unies ou gestapo ? > Sans le conseil, elle serait probablement traitée un cran en dessous de « l’abomination » et mieux vaut ne pas savoir à quoi ça ressemble. Le conseil est une maigre consolation, un semblant d’espoir, et elle fait partie des rares lycans à approuver la présence de ses semblables au sein de la BCC (en particulier quand ils se contentent de la saluer alors qu’elle ne tient visiblement plus sur ses jambes, c’est à ça que ressemble la solidarité, prenez-en de la graine, humains).

Imminent annihilation sounds so dope

01. Certes, ses jambes maigrelettes lui faisaient dépasser toutes les filles de sa classe en athlétisme et elle prenait systématiquement une ration supplémentaire à la cantine, mais on attribuait ces excentricités à la vigueur de l’adolescence. Rien n’aurait pu laisser deviner que le reste de sa vie serait régi par un stupide objet céleste ; de cette soirée de juillet 2005, c’est probablement elle qui est restée la plus traumatisée. Trois jours après l’accident, Maura est rentrée hagarde, affaiblie et la gueule noircie de terre, se souvenant à peine de ses actions des dernières heures, incapable de s’expliquer, saluant son lit comme une bouée de sauvetage. Le Conseil lui a donné un avertissement assorti d’une tape sur les doigts –  soulagement dans la salle lorsque la BCC a affirmé qu’il n’y avait pas eu de blessés, juste un petit con qui avait fait le mariole avec son pistolet – et l’a incité à trouver une meute au plus vite afin d’apprendre à contrôler sa condition. Sous l’accent mâchouillard du type, le mot ressemblait plutôt à malédiction. 02. Elle a acheté un bijou de lune au marché noir le mois suivant, après avoir piqué des billets dans la planque pas-si-secrète de sa mère (une boîte bêtement rangée au fond du tiroir de sa table de nuit) et passé un an de pleines lunes seule au beau milieu de la campagne avoisinante, fuyant à la fois la maison de West Savannah et la réserve naturelle où elle aurait dû normalement se trouver. Les amis de sa mère lui avaient offert leur aide : elle a refusé net, mortifiée à l’idée de gambader dans la nature à poil avec de parfaits inconnus et de rejoindre un clan auquel il lui était impossible de s’identifier, encore moins de se soumettre. Le bijou a fait l’affaire jusqu’à la fin de son cursus universitaire, où après plusieurs dérapages exposant une animalité méconnaissable, elle a fini par le briser elle-même (victoire pour l’auto-sabotage), la forçant à conduire jusqu’à la forêt pour les cycles suivants et à… enfer et damnation : s’apprivoiser.  03. Avant : des jours à rallonge, à regarder par la fenêtre des salles de classe tout en écoutant d’une oreille distraite les profs lui répétant qu’elle avait le potentiel, alors pourquoi pas l’envie ? – des nuits entières passées dans la rue à faire n’importe quoi avec les autres gamins de la rue, à éviter sa mère et les cent-cinquante potentiels beaux-pères qui traînaient toujours dans les parages, la braguette à peine remontée qu’ils poussaient déjà la porte dans l’autre sens – des après-midi coincés avec les jumeaux sur la balançoire des Ferguson à attendre que la voie soit libre pendant que Lewis revendait sa came directement dans son jardin, au vu et au su de tout le quartier (il aurait accepté de lui en filer gratos si elle avait bien voulu s’agenouiller : elle s’est contentée de lui rire au nez en lui montrant son majeur). 04. Après : toujours des jours à rallonge, mais des nuits plombées par la rancœur et par cette couche de saleté impossible à décoller – des après-midi passés dans un diner à l’autre bout de la ville pour réussir à s’acheter un tacot d’occasion, de quoi remplacer les interminables trajets en bus – des soirées à garder ses frères en tentant de les encourager sur la bonne voie, poussée par une détermination féroce à vouloir sortir de Savannah et l’illusion prétentieuse de s’en penser capable, soutenue par un prof d’anglais dont la pitié n’avait pas de limite et qui a préféré la gifler au lieu de la dénoncer lorsqu’il a reniflé la bouteille d’eau qu’elle trimballait de partout, qui ne contenait pas une goutte de flotte. 05. Sa mère a essayé beaucoup trop tôt de la convertir à sa propre version de la féminité, un échec cuisant puisque Maura aurait préféré crever plutôt que d’enfiler une jupe et de risquer de ressembler à Trish. Incapables d’avoir une discussion de plus de dix mots sans que l’une lève les yeux au ciel et l’autre se mette à jurer, elles ont toujours été en perpétuelle confrontation, ne s’autorisant qu’une seule trêve par an (Noël) et un semblant d’harmonie autour de leur seul point commun : une bouteille de vodka givrée juste avant d’aller se coucher. Toute l’éducation de Maura a été gracieusement offerte par Nickie Farrow, ce qui, vu le phénomène… est probablement pire. 06. Elle aurait préféré que ses demi-frères grandissent avec un peu de plomb dans la cervelle mais malheureusement, en les laissant avec Trish, une armée de loups vissés au bar du coin et la famille qu’on connaît au bout de la rue, c’était perdu d’avance. Si Cole a globalement réussi à s’en sortir avec un job stable au port de Savannah (mais deux gamins déjà dans les pattes et une femme tyrannique qui le laisse à peine aller acheter des chewing-gums), Luke, lui, s’est autorisé à partir entièrement en vrille avec la bénédiction de Quinn, cochant toutes les cases menant à la dégringolade jusqu’à atterrir en cabane avant ses vingt ans. Jouer les grandes-sœurs nounours amusait presque Maura il y a quinze ans, désormais elle préfère leur acheter des packs de bières qui rempliront le rôle d’aînée mieux qu’elle. 07. Ses études à Atlanta avortées pour cause de délation – un pauvre type qui n’avait aucune autre ambition dans la vie que de ruiner celle des crawlers traînant sur les bancs de la fac – elle a enchaîné les années de vagabondages entre les boulots de serveuses, les postes de nuit qui lui servaient d’excuse pour les nuits de pleine lune et divers jobs sociaux qu’elle parvenait à obtenir en falsifiant son cv et en inventant une licence jamais obtenue. La chance et le culot lui ont permis d’envahir un tas de canapés, de lits et de matelas posés à même le sol, jusqu’à ce que tout le monde fuie dès qu’elle se décide à expliquer pourquoi la lune la rendait si nerveuse. Atlanta, Charleston, Charlotte, Nashville, autant de villes que d’échecs qui ont creusé son compte en banque et ses ressources déjà maigres en patience, empathie, et optimisme.  08. La meute est son nouveau refuge. Quelques baraques entassées les unes à côté des autres le long d’une rue sans fin, des porches encombrés par des fauteuils de seconde-main, quelqu’un qui se propose pour tondre la pelouse quand les pissenlits sont si hauts que même les vipères refusent d’y faire leur nid : c’est presque paisible, et presque agréable à vivre. Elle se sait fliquée de par son entrée récente au sein de la meute, sait qu’elle a intérêt à faire profil bas si elle veut profiter de la protection de l’alpha, de sa famille et de tous les bras-cassés comme elle ramassés à la petite cuillère et convertis aux bases du civisme, pourtant ça ne l’empêche pas de papillonner au stand de tir et d’aller traîner son museau du côté des combats interdits, sous le prétexte fictif de vouloir approfondir sa culture locale. (Pour l’instant, dernière arrivée, elle se cantonne à un rôle de mauvaise nounou et de conseillère d’orientation à deux balles pour les jeunots.) 09. Une vieille Buick vert sapin des années 2000 la suit miraculeusement depuis ses dix-huit ans. En piteux état, la carcasse est régulièrement arrêtée pour un phare ou deux inefficace(s), un rétroviseur arraché ou une plaque d’immatriculation qui pendouille, et Maura peut se vanter de s’en tirer à chaque fois avec un sourire mielleux. Forte tendance à se garer n’importe où, à jeter les contraventions qui s’accumulent sur le pare-brise, à décalquer la peinture de la carrosserie sur les boîtes aux lettres et à prendre facilement les gens en stop en souvenir de ses périples, gamine, le pouce levé sur le bord de la route et un sourire innocent collé aux lèvres (un miracle qu’il ne lui soit jamais rien arrivé). Elle a passé haut la main le test de conduite de la Poste, donc le gouvernement considère qu’elle fait partie de cette espèce rare que sont les « bons conducteurs » – ne vous fiez pas à la porte cabossée côté passager, elle date de 2008. 10. Bouffe comme quatre avec la grâce d’un chameau – dort comme un sac, affalée n’importe où, sa préférence allant largement à la banquette arrière de sa voiture qui est devenue au fil des ans sa deuxième maison – sème des longs cheveux blonds dans son sillage comme un chien perdrait ses poils – possède toute une collection de brochures qui débordent de la boîte à gants (Pickups and Cheerups ; Will you die in sin ? ; Satan also uses education ; The beginner’s guide to human sacrifice) ainsi qu’un adorable semi-automatique.

< Pseudo/Prénom > muttoone/alix < Âge > meh < Région > vert ? jaune ? rouge. < briefing > je suis une mite en pull-over pyjama  < Autre compte > négatif. < Comment as-tu découvert le forum ? > telle leonardo dicaprio, raph a implanté l'idée et l'inception a fini le boulot  hearty  < Avatar > amanda seyfried < type de personnage > inventé < Crédits > doom days (avatars) ; misterodamore (gifs) ; soldiers eyes (img là à droite) sergey modin (img plus bas) c'est la première fois de ma vie que j'ai tous les crédits réunis, orf, petite larme de fierté

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Dernière édition par Maura Pace le Mer 6 Mai - 19:40, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: in sheep’s clothing.   in sheep’s clothing. EmptyVen 1 Mai - 0:12



I had a werewolf morning,
< Awoke with a rum hangover, imagined blood on the walls
and prayed to god it was mine. >


juillet 2005 – savannah
« Christ, you look like a hobo. » Les ongles acérés de Trish se referment autour de sa fille dans un semblant d’étreinte alors que Maura reste immobile, les bras ballants, à moitié évanouie dans ses propres hallucinations. Ses cheveux sont couverts de brindilles et de boue séchée, son corps maladroitement enveloppé dans un drap jaune pisseux arraché à un étendoir quelconque. Elle reconnaît le reniflement dégoûté au-dessus son épaule et cille à peine lorsque Trish recule, époussetant son tee-shirt avec une moue écœurée puis tâtant du bout des doigts la peau fine sous ses yeux afin de s’assurer que son mascara n’a pas coulé. « The cops have been here for 3 days, do you know how shitty that’s for business? They want to see you by the way, I’ll tell them you’re here on my way out. » Evitant soigneusement le regard vitreux de Maura, elle attrape d’une main le pompon hideux qui lui sert de trousseau de clés puis pointe l’autre index sur sa tenue de camouflage. « And take a shower, you smell like a fucking wet dog. » Un bref éclair de haine traverse la pièce tandis que Maura fait un pas de côté, libérant la moustiquaire à contrecœur pour que Barbie puisse s’en aller minauder. Elle n’a ni la force, ni l’envie de lui rappeler à quel point le terme dog est d’une bassesse abjecte. « Where are you going? » L’espace d’un instant, elle imagine la conversation logique qui devrait se dérouler, un univers parallèle dans lequel sa mère l’aurait attendue avec la cafetière remplie à ras bord, les yeux gonflés d’inquiétude, des mots rassurants prêts à dérouler un tapis d’explications et d’excuses tremblotantes. La question du père avait déjà été abordée maintes fois, sans succès, se heurtant à un claquement de langue impatient. Honey, there’s no use trying to remember them all. Peut-être qu’elle parvenait à en voir l’utilité, désormais ? « Marty’s gone. I gotta work.Where? » Une main sur la hanche, Trish la toise, vaguement préoccupée par les traces de terre qu’elle risque de laisser contre le mur si elle continue de s’y appuyer comme ça. « You’re from the police?! In a bar, that’s where.What about the twins? – Old enough to babysit themselves.Don’t be dumb they’re 7… » Dieu merci leur père, lui, est toujours dans les parages et n’a que des caractéristiques bêtement humaines. « Yeah? Well you’ll give me parenting advice when you get knocked up by the little shit living across the street, we’ll talk then.‘Fuck’s sake, mom. » Maura lève les yeux au ciel, trop crevée pour argumenter. « He tried to shoot you, by the way. » Le regard placide de Trish rencontre deux prunelles abasourdies. Ce n’est pas un scoop déclaré d’un air triomphant, ni même un morceau de ragot particulièrement choquant : l’information est simplement balancée pour le contexte. « He tried to what?That’s what I heard anyway. Fucking degenerates. I told you to stay away from that family. » La porte rebondit sur ses gonds lorsque Trish sort sur le porche, une clope coincée au bec, et se dandine jusqu’à la voiture banalisée qui fait le piquet deux maisons plus loin.

2013 – atlanta
Elle marque un temps d’arrêt à l’entrée de l’appartement et retient bêtement les sacs de course qui lui entament les phalanges, les yeux plongés dans le double canon du fusil de chasse qui l’accueille. La même carabine qu’il prend pour chasser le gibier avec son père le dimanche. Petite fortune qu’elle a songé à revendre en douce une bonne dizaine de fois afin d’encaisser le gain et se barrer, n’importe où, loin de cette ville rendue hors de contrôle par l’existence révélée des crawlers – et celle, par extension, des chasseurs de crawlers. Grand bien lui fasse pour sa bonté d’âme : elle n’a désormais que de l’amertume pour déglutir. « I knew it. Get your stuff and get out. » Malgré le cœur qui bat furieusement contre sa poitrine, elle se sent envahie d’une lassitude terrible. Ce n’est ni la première, ni la dernière fois. D’ailleurs, si elle avait une boule de cristal, Maura verrait que ce schéma typique n’en est qu’à ses balbutiements et que le calme inquiétant qui l’enveloppe à l’annonce de son éviction surprise se transformera bientôt en colère, puis en déprime, puis en acceptation avant de recommencer à l’infini. Il n’aura jamais les couilles de tirer de toute façon, son fusil tremble entre ses mains terrifiées. « You knew what ?A freaking werewolf. Under my roof. Jesus, Maura, don’t you think I’d like to have that kind of information before I let you move in? » Elle pose les sacs à ses pieds tandis que le fusil suit le mouvement, se relève les paumes en l’air, prête à capituler. « I can explain, I guess…?No. Take your shit and get out.You can put the gun down, I’m not some rabbit you shoot every Sunday for fun.I shoot deer! » La voix d’Allan flanche et Maura retient un sourire dépité, déroulant déjà la liste de ce qu’elle doit récupérer avant de partir – le sac informe débordant de vêtements sous le lit, la trousse dans la salle de bain, l’ordinateur dormant sous le chat, des paires de chaussures derrière le rideau d’entrée, un ou deux livres (dont celui qu’Allan est actuellement en train de lire, tant pis pour lui), un chargeur pas officiellement à elle mais dont il ne remarquera jamais l’absence, et s’il a la stupidité de la laisser cinq secondes toute seule dans la chambre (il le fera, occupé à calmer le chat qui va sortir les griffes en voyant la carabine), la maigre réserve de cash qu’il garde au fond de l’armoire, sous ses pulls. Et la bouteille de vodka au congélateur. Non seulement à elle, mais de première nécessité. Au démarrage de sa voiture, alors que les provisions du coffre débordent sur la banquette arrière, Aloe Blacc réclame un dollar, dollar, dollar is all I need, hey hey.

2018 – nashville
Alors qu’elle se faufile par la porte d’entrée, Maura se fait cueillir par les rires gras du groupe affalé dans les canapés en cuir, leurs bottes de cowboy pimpantes nonchalamment posées sur la table basse et leurs cheveux gras disparaissant dans un nuage de fumée à faire crever un asthmatique. Gray, Thad, Phil, le pianiste avec un nom à coucher dehors et Andie sont en pleine session de composition, bien que leurs instruments soient tous entassés dans un coin et qu’il est évident qu’ils ont enchaînés plus de bières que de chansons – si toutefois on peut considérer comme de la musique la merde country qu’ils s’obstinent à jouer dans les bars les plus minables de la ville en ne récoltant que des pièces. Ça fait trois ou quatre mois qu’elle traîne avec eux, depuis qu’Andie l’a repêchée à la fermeture du Juke et que Gray s’est dévoué pour partager son lit, et force est de constater que l’ambiance F.r.i.e.n.d.s sauce barbecue ne lui déplait pas entièrement. Sauf quand Phil sort son harmonica. Et que la poudre qu’ils se mettent dans le nez, achetée avec l’argent louche que Thad paraît toujours avoir dans les poches, vient faire déraper la colonie de vacances. Ce soir n’échappera pas à la règle : elle sent la confrontation arriver avant même de voir Gray se lever, s’approcher en titubant, les yeux injectés de sang et la tignasse hirsute à force d’y passer les doigts, et l’attraper par le coude sans cérémonie pour la pousser dans la cuisine. Les rires des autres s’évanouissent quand la porte coulissante se referme. Sa voix rocailleuse de chanteur-fumeur ressemble à un aboiement. « Where were you last night? » Il devrait aussi lui demander who were you last night, auquel cas la réponse serait simple : full moon, beast mode. Elle ne doute pas que Gray finira par sublimer ses larmes de crocodile et sa jalousie maladive en (mauvaise) chanson, après l’avoir invariablement jetée dehors. « At work, I told you. I took a night shift at the halfway house and then… (elle n’a pas préparé d’excuse pour la suite. Pourquoi est-ce qu’elle rentre à 23h si la pleine lune était hier ?) I took a nap. » Ce qui est vrai, pour une fois. Elle a traîné sa carcasse endolorie jusqu’à sa voiture vers midi et s’est endormie avant d’avoir pu compter trois moutons, puis s’est réveillée au son d’un texto laconique de son frère Cole qui revenait d’une visite à Coastal State Prison, où son jumeau purgeait une courte peine (Sorry, forgot to reply to your birthday message. Luke seems fine. Says hi.) Une douche incognito au centre d’hébergement avant de rentrer et elle était prête à tout oublier pour entamer un nouveau mois. Mais la vérité ne plait pas au cowboy. Ses joues sont broyées sous la paluche de Gray qui colle son nez au sien. Sa tête cogne contre un placard de la cuisine et le sang commence à bouillonner malgré la fatigue, malgré les muscles éreintés qui ne réclament que douze heures supplémentaires de sommeil. « Really? I called your work at seven because you said you’d be here for rehearsal. Guess what they told me? » Elle repousse sa main d’un geste brusque, se masse la mâchoire en ruminant ses mensonges tandis qu’il se met à gesticuler dans tous les sens. « You were never on that night shift! You precisely asked not to work yesterday! So tell me, where were you last night?! » Sans lui laisser le temps de répondre, il agrippe ses épaules et se met à la renifler comme un chien, humant l’odeur chimique du gel douche qu’ils laissaient à disposition pour les résidents, et pour eux-mêmes. « You took a fucking shower? » Elle se force à rester immobile tandis qu’il tire sur une mèche de cheveux, que l’exaspération monte d’un cran et que son agressivité devient contagieuse. Elle n’aurait pas dû rester aussi longtemps. Passés les deux premiers mois, ses mensonges s’emmêlent, se contredisent même parfois, et les types comme Gray – qui se croient durs à cuire mais ne sont que des drama-queen en caleçons – remarquent trop vite les trous béants laissés par ses excuses bidons. « I did, and you should try it someday. Is that a crime?Stop the bullshit. Do I know him ? » Devant sa lenteur à répondre, Gray se met à hurler. « Do I know him?! I know him right?! Who is it?You’re completely wasted.Who is it?NO ONE, get off me! » Quand le dos de sa main atteint sa joue, le coup part tout seul. Comme un réflexe. « Everything’s okay in there? » Attiré par les braillements, Thad a ouvert la porte de la cuisine et les fixe d’un air vaguement ennuyé, peut-être plus parce que leurs cris ont ruiné la soirée que parce qu’il s’inquiète réellement. La joue de Maura est marquée et Gray se tient le nez. « We’re fucking fine. » Gray s’éloigne d’un pas rageur et Thad le suit des yeux jusqu’à ce qu’il claque la porte d’entrée derrière lui, avant de se tourner vers Maura, qui fulmine sur place. « Come on. Join us, grab a beer. And take these (il sort deux comprimés orange d’un sachet de la poche de son jean), I hear they work well for your post-full-moon-shit. » Il se retourne après un clin d’oeil complice, lui donnant à la fois envie de pleurer de joie et de désespoir.




Dernière édition par Maura Pace le Mer 6 Mai - 19:27, édité 4 fois
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Quinn Farrow
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flesh and bones
MessageSujet: Re: in sheep’s clothing.   in sheep’s clothing. EmptyVen 1 Mai - 1:27

définitivement plus l'heure de faire de blague sur les chats et/ou les chiens ( Arrow ) donc yikes e n f i n te voilà  ga
je le dirai jamais assez mais quel kiff absolu tes persos TT même si obviously quel mess celle-là aaaah trop contente
ily hearty
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Rafaela Esperanza
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Here we go, here we go, it's my turn to make history. Here we go, here we go, when I'm gone they'll remember me, yeah.

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witching hour
MessageSujet: Re: in sheep’s clothing.   in sheep’s clothing. EmptyVen 1 Mai - 2:15

Bienvenue red
Ce début de personnage est déjà tellement parfait hearteyes
Elle a pas l'air d'avoir eu une vie facile, Maura, j'ai hâte d'en savoir plus brille
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Layla Zapien
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Pouvoir : elle soigne, layla, comme toutes les membres du coven zapien. elle soigne et puis elle sait dégoter des secrets, même si ça lui revient souvent dans la gueule. faire des bijoux de lune et les vendre aux lycans c'est bien moins risqué que de fouiller dans la tête des gens.
Allégeance : descendante et héritière du coven zapien, difficile d'échapper aux responsabilités. malgré ses doutes et ses rancoeurs, elle défendra toujours les siennes.
Métier : elle bosse au compound, soigneuse comme toutes ses soeurs au sein du coven mais elle s'échappe le soir pour aller jouer les barmaids au silver tooth. les lycans la tolèrent parce qu'ils lui achètent des bijoux de lune, secret de polichinelle qui ne fait plus tiquer personne.
Adresse : landmark district, elle occupe un appartement du zapien compound.
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queen of bitchcraft
MessageSujet: Re: in sheep’s clothing.   in sheep’s clothing. EmptyVen 1 Mai - 10:54

omg fall
une petite lycane, ENFIN DE LA REPRESENTATION FEMININE CHEZ CES GUEUX et pfouuu ce que je lis me plait grave, c'est tout c'qu'on aime keur
bienvenue à la maison, tu sais où j'suis si t'as besoin d'un truc alors n'hésite surtout pas bucher
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Adresse : skidaway island, à la recherche active (ou presque) d'un appartement loin de ses parents
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in the house of gold & bones
MessageSujet: Re: in sheep’s clothing.   in sheep’s clothing. EmptyVen 1 Mai - 21:23

Ouiiii une lycane, we like it perv et puis avec la douce Amanda hearty

J'aime les réf de la partie hors-rp, mais ça :
Citation :
je suis une mite en pull-over
rien que pour ça, j't'aime déjà fall

Bonne rédaction pour la suite de ta fiche et surtout bienvenue parmi nous petit chat melt
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~
haven't had a dream in a long time
see, the life I've had
can make a good man bad
so for once in my life
let me get what I want
Lord knows it would be the first time

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deathless
MessageSujet: Re: in sheep’s clothing.   in sheep’s clothing. EmptyVen 1 Mai - 21:24

ENFIN une madame lycane. ga ga
Et ce début de fiche, oh my. ticoeur
Bienvenue par ici. keur keur
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Sidney Farrow
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you can run on for a long time
sooner or later god'll cut you down

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flesh and bones
MessageSujet: Re: in sheep’s clothing.   in sheep’s clothing. EmptyVen 1 Mai - 21:29

vousici hin
un autre perso qui va me faire feeler ga
tout est déjà terriblement parfait me likey me want la suite
bienvenue chaton hearteyes
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Maura Pace
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Métier : post office pour la légalité, mais ça traîne de plus en plus le bout du museau du côté de west end station, et des bookmakers.
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moonchild
MessageSujet: Re: in sheep’s clothing.   in sheep’s clothing. EmptyLun 4 Mai - 4:03

c'est clairement pas l'heure non plus mais
@Quinn Farrow (pas de mots, que des chats, buahaha  leche  )

@Rafaela Esperanza hii merci, hé oui les louves ont la vie dure please

@Layla Zapien hihi contente que ce bordel te plaise, j'hésiterai pas à venir frapper à la porte si j'ai encore des questions bêtes (et j'en aurai certainement), encore merci cute

@Bluebell Wilkes douce, douce... ou pas moustache merci à toi, héhé love

@Qiu Baxter j'ai eu pitié, elles sont mal aimées, je me dévoue pour la cause lupine-féminine Arrow
merci hearty  

@Sidney Farrow mais brwegfsfgfd hearteyes je finis ça et je cours vers toi pour mettre du sid dans la vie de maura, anti-crawler mes fesses, il va pas avoir le choix dance
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Raquel Baeza
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Âge : quarante-six ans.
Allégeance : loup solitaire arraché à sa meute, il refuse de se lier aux autres, devenu trop méfiant. il prend sous son aile des gamins des rues qu'il soulage de la solitude, ils n'ont rien d'une meute et encore moins d'une famille. il s'est pourtant attaché aux deux loupiots, sous la torture il serait incapable de se résoudre à l'avouer.
Métier : ancien combattant, voleur, arnaqueur, père de famille, fée du logis. multiples titres pour le grand wes. ses champions lui font toucher le pactole à chaque combat. homme d'affaire des rues crades de west savannah.
Adresse : west savannah.
qiu
paz
adriana
meredith
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moonchild
MessageSujet: Re: in sheep’s clothing.   in sheep’s clothing. EmptyLun 4 Mai - 14:46

ah oui je dis oui, une demoiselle chez les brutes, ça manquait. elle devrait faire des combats au lieu de regarder elle a l'air d'avoir de la ressource. dance2
bienvenue heart
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MessageSujet: Re: in sheep’s clothing.   in sheep’s clothing. Empty

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