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 [Wren] — in this valley of dying stars

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Wren McNamara
Wren McNamara
Date d'inscription : 23/08/2020
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Avatar : Kit Clarke
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Multicompte : Paige B.
[Wren] — in this valley of dying stars 200823015016666490
Âge : vingt-quatre ans, mais manque régulièrement de se faire péter les dents.
Allégeance : Famille fric-frac de merdeux finis, les McNamara se contentent traditionnellement de marmonner dans le dos des crawlers sans y planter de couteau. Wren n'a jamais aimé les traditions.
Métier : Mécanicien au chantier naval de Tybee Island / en extra, il traine le nez dans toutes les affaires louches si ça peut lui rapporter du blé
Adresse : Thunderbolt
[Wren] — in this valley of dying stars 200908104520888746
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flesh and bones
MessageSujet: [Wren] — in this valley of dying stars   [Wren] — in this valley of dying stars EmptyDim 23 Aoû - 18:44



Wren Romeo McNamara
< Talent is more erotic when it’s wasted >
< Nom complet > Wren comme son grand-père paternel avant lui, crevard d’alcoolique qu’il aurait préféré ne pas voir honoré ; Romeo, c’est une idée complètement conne de sa mère, qui avait vu la pièce éponyme de Shakespeare façon comédie musicale à la TV, la veille de sa naissance ; inutile de préciser que si vous vous hasardez à l’appeler comme ça, vous vous retrouverez certainement avec le nez défoncé. Ah, et McNamara, parlons-en ; avouons que c’est pas beaucoup plus brillant non plus : merdeux, prolos, petits cons en tous genres, c’est un nom couleur de suie, parfum magouilles et voyous finis. < Âge, date et lieu de naissance > Quatre juillet 1996, le jour de la fête d’indépendance. Parait qu’il a gueulé pour la première fois au moment exact où les feux d’artifice ont éclaté. Sa mère a pris ça comme un signe – un signe de quoi au juste ? Un truc divin ? Wren ? On aurait du mal à l’imaginer. < Race et pouvoirs > Strictement humain, et soulagé de l'être. < Nationalité et Origines > Américain, born and raised. Encore que la matriarche a été dégotée dans les ruelles de Little Italy, et que la majorité de la famille maternelle en question n’ait jamais tout à fait réussi à se défaire de son accent méditerranéen – alors même que la plupart n’ont sans doute jamais mis les pieds en Sicile. < Situation familiale > Famille bordélique au possible, il a grandi coincé entre ses quatre frères et sœurs, auxquels il voue une loyauté indéfectible – bien qu’il soit loin de toujours leur montrer. Mais toute dysfonctionnelle qu’elle soit, Wren est profondément attaché à cette famille fric-frac, et à leur identité pourtant peu reluisante. < Statut civil et orientation sexuelle > Hétérosexuel jusqu’à preuve du contraire, farouchement célibataire, il voit l’attachement romantique comme un fardeau dont il ne saisit pas pleinement l’utilité. Il est bien vaguement tombé amoureux une fois il y a des années, mais la gamine en question ne lui a apporté que des emmerdes, alors il a décidé qu’il pourrait tout à fait s’en passer. Quelques relations sans profondeur au compteur, des girls next door à la banalité apaisante, trop peu stimulantes pour risquer de faire chavirer son cœur. La recette est toute trouvée, et Wren n’a pas encore décidé d’en changer – pour le meilleur et pour le pire. Tant pis pour ce connard de Shakespeare. < Occupation(s) > Comme il le dit parfois, il y a le in, et il y a le off. La majeure partie du temps, il répare des bateaux dans un chantier naval de Tybee Island. Paraîtrait qu’il est même plutôt bon à ce qu’il fait. En off, il est simplement un McNamara. Quoi, vous saisissez pas ? Il est un McNamara, comprenez qu’il voit jamais trop d’inconvénient à prendre part aux petites magouilles de ses frères, ou de ses cousins. D’abord parce qu’il sait qu’il est doué pour mentir, entourlouper, arnaquer, et que son égo s’en satisfait tout à fait ; mais surtout parce que c’est pas avec son risible salaire de mécanicien qu’il va réussir à faire à grailler. Monsieur a l’ambition de ne pas finir sous un pont, pardonnez.
< Situation financière >  Pas terrible, faut bien l’avouer. Mais il a toujours vu les deux bouts comme un truc pas facile à joindre, alors depuis le temps, vous pensez bien qu’il s’y est fait. < À Savannah depuis > Il n’en a pas bougé depuis sa naissance, parce qu’il y a ses petites habitudes, sa famille, et puis les potes, compères, copains d’embrouilles en tout genre. Pas un truc qu’on a envie de lâcher, malgré ces foutus crawlers qui fourmillent partout. < Quartier de résidence > Lorsqu’il a quitté le nid familial, Wren ne s’est pas envolé bien loin, restant dans le quartier miteux de Thunderbolt. Il y habite un appartement minuscule et délabré, au loyer bas mais scandaleux malgré tout vu l’état de la piaule en question. Pour faire bonne mesure, il fait toujours attention à le payer avec une bonne semaine de retard, juste pour emmerder le proprio.  < Caractère > Gamin intelligent, à l’esprit plutôt du genre affûté, la plupart des professeurs au cours de sa scolarité auraient pourtant préféré enseigner à un imbécile fini, étant donné l’usage irritant qu’il faisait de sa vivacité / Grande gueule chronique, ou silencieux acharné, disons qu’il préfère l’ouvrir qu’en cas de nécessité, détestant ceux qui causent pour ne rien dire. Mais il a le mot juste et franc lorsque ça lui prend – un flingue entre les dents qui vise et tire / Obsessionnel fini, n’espérez pas lui retirer de la caboche une idée qu’on y aurait implanté, car à moins d’une bonne vieille amnésie, Wren ne pourra certainement pas s’en détacher / Aux jeu des émotions, certainement est-il parfaitement capable de les masquer, mais toujours pas de les gérer, car si les joies sont chez lui profondes et sincères, les colères sont noires, orageuses, et croyez-bien que ce genre de météo est chez lui imprévisible. Gare aux intempéries qu’on aurait pas vu arriver / Mais malgré l’air voyou, la passion pour les mensonges, ou le sourire de brigand, sachez que le cœur est grand, et franc. Juste qu’il a un peu morflé, et qu’il s’est retrouvé écorché vif par l’injustice, et quelques blessures mal suturées / Orgueilleux en dépit de la pourriture dans laquelle il est né, on pourrait assez légitimement se demander d’où il tire cette fierté démesurée. Mais une chose est certaine et il vous l’affirmera sans doute lui même : il n’a jamais appris à avoir honte de ce qu’il est.

we appreciate power
< La commère du quartier, elle aurait quoi à raconter à ton sujet ? >
Qu’il aurait pu avoir fière allure, s’il se trimballait pas ses grands airs de voyou, de petite ordure. Sans compter qu’il a toujours l’air de tirer la tronche ce mioche – pas sa faute, j’vous jure. Pas plus que le truc qui semble marqué sur son front comme sur les paquets de clopes : "petite merde peu fréquentable", du genre que les parents éloignent de leurs gosses, et puis surtout de leur fille. De toute façon, c’est un McNamara, alors je sais pas à quoi vous vous attendiez d’autre, à son propos ; on sait qu’il traine dans les plans louches, que lui et ses frères pourraient souscrire à une carte de fidélité au poste de police, et c’est en général suffisant pour se faire une opinion à son propos. Mais si vous voulez savoir, Wren n'en a pas grand chose à foutre, de sa réputation. Au pire, ça lui rapporte des regards de travers, et au mieux, quelques filles poussées par l'envie d'emmerder papa maman en fréquentant le trash boy du coin. Il n'ira pas pleurer.

< Tu penses que Savannah mérite quelle note sur TripAdvisor ? >
Ce n’est pas vraiment que Wren aime Savannah, mais plutôt qu’il n’a jamais vécu ailleurs. Et puis il aime bien le fait de connaitre Thunderbolt comme le fond de sa poche, d’en repérer les visages, de s’y sentir prince. Prince d’un royaume merdique et défraichi peut-être, mais il s’en fout. Par contre, tous ces crawlers qui se baladent partout impunément, c’est un truc qui l’emmerde vraiment, qui le titille de plus en plus. Parfois il songe à partir dans un endroit où ils n’auraient pas l’arrogance de se croire tout permis, mais il n’arrive pas à se faire à l’idée de quitter sa fratrie. Tant pis.

< Niveau intégration des races, t’es plutôt peace and love ou chacun pour soi ? >
C’est vrai qu’il a pas vraiment été élevé dans l’amour et l’acceptation des crawlers, Wren, mais jusqu’à la fin de son adolescence, il s’en foutait plus qu’autre chose. Il n’aurait pas été jusqu’à gratter l’amitié chez eux, ni à faire comme Lake et fricoter chez les petites sorcières juste pour faire câbler le daron ; mais il n’avait pas non plus d’hostilité particulière envers eux – chacun pour soi, et les rats seront bien gardés. Évidemment, cette opinion a largement changé depuis la mort de son frère, et l’injustice ressentie à l’égard de celle-ci, le refus des autorités de leur fournir des explications. En bref, l’impunité de laquelle ces foutus crawlers profitaient. Wren est depuis devenu radical à leur encontre, et toute la rage mal cicatrisée, la colère accumulée depuis la mort de Lake, c’est envers eux qu’il les dirige, attendant patiemment le jour où il pourra réellement faire bouger les choses.

< Selon toi, le conseil c'est plus nations unies ou gestapo ? >
Une connerie, rien que de la fumisterie. De la poudre aux yeux rien que pour donner l'accréditation qu'il faut aux actes barbares des crawlers, et faire croire à tout le monde que c'est normal. Des bloodhouses, et puis quoi encore ? C'était comme mettre en place des salons de torture collective, tout en demandant à la population d'applaudir.
Autant dire que ce sera sans lui.

I'm worst at what I do best


01. Il a toujours aimé regarder des films, d’abord les vieilles VHS planquées sous la télé familiale, puis les trucs qui passaient au ciné du coin. Faut dire qu’il avait eu le pif, en copinant avec Neil O’Coghan, le fils du projectionniste qui les laissait se glisser dans sa cabine quand ils étaient mioches, et regarder les films à l’affiche sans payer. Ça a duré quelques années – jusqu’à ce qu’on découvre que le patriarche en question  avait tendance à s’enfiler quelques verres de whisky dans la journée, et qu’il se fasse cordialement virer. Pour la peine, Neil et lui ont redécoré la devanture du ciné à l’aide de quelques bombes de peinture colorée – saupoudrée de quelques insultes bien trouvées.

02. Top Gun a longtemps été son film préféré, et Maverick son modèle à penser. Mais ça, c’était avant d’apprendre que Tom Cruise était un connard de scientologue. Depuis, c’est un genre de plaisir un peu coupable qu’il s’accorde de temps en temps.

03. Il y a cinq ans, Wren a perdu son frère cadet, Lake, celui dont il était certainement le plus proche. La nouvelle ayant été annoncée à la famille par un agent de la BCC, cette disparition abrupte sonnait déjà louche, mais les soupçons furent solidifiés par le mutisme des forces de l’ordre lorsqu’ils demandèrent des explications, et leur refus de leur en donner. Ce que chacun ignore, c’est que sa mort est le fruit d’un accident causé par Layla, sa petite-amie de l’époque – et sorcière du coven Zapien, qui étouffa l’affaire. Pour faire bonne mesure, ce sont les Farrow, cousins paternels des McNamara qui se chargèrent de venger Lake, en réglant le compte d’un crawler qui trainait par là  ; mais après tout, la mort de son frère n’avait-elle pas elle-même été aussi injuste qu’un bon vieux hasard dégueulasse ? Oeil pour oeil et dent pour dent – ça n’a pas gêné Wren, au contraire de ses imbéciles de parents. Depuis, c’est le Status Quo sur le sujet de la mort de Lake, on n’en parle pas vraiment, sauf pour évoquer à quel point ça aurait été formidable qu’il soit là. Les mots à son propos sont vide de sens, vides d’essence, et Lake n’existe plus que dans leurs silences.

04. Si l’instinct familial de Wren se devait d’être matérialisé désormais, ce serait certainement dans la relation qu’il entretient avec sa sœur cadette, Rosa. Étant la seule fille de la portée, il imagine - par un réflexe certainement un brin patriarcal - qu’elle se doit d’être protégée à tout prix des ribambelles de petits connards notoires du quartier - le genre de bandes dont il aurait tout à fait pu faire partie, vous voyez ? Bien que parfaitement capable de se débrouiller et dotée d’un caractère bien trempé, Rosa ne bronche pas cependant, bien contente de trouver en lui l’attention que manquent de lui distiller leurs parents. Elle s’amuse cependant parfois à chercher les bricoles simplement pour voir son aîné rappliquer et distribuer quelques menaces à la volée.  

05. Il clope trois fois trop. Il dit que c’est la faute de ses darons, du patriarche qui allumait des gauloises juste à côté de son nez, quand ils étaient gamins, mais il sait très bien que ça n’a rien à voir. Ça calme ses nerfs, parait-il. Comme pas mal de gosses de son genre, il a eu sa période où il fumait trop d’herbe, mais il a décrété depuis un moment maintenant qu’il supportait pas trop l’état végétatif dans lequel ça le plongeait, mais il a gardé l’habitude du truc qui se consume entre ses lèvres, alors il compense avec le tabac.

06. Comme chacun des rejetons engendrés par le couple, il a plus ou moins appris à parler l’italien, du moins assez pour être en mesure de communiquer avec la Nonna, sa grand-mère maternelle, qui refuse obstinément de parler autre chose que sa langue natale au sein des murs de sa maison. Cependant, il ne fait usage du dialecte en question nulle part ailleurs, n’évoquant au demeurant que très rarement ses origines maternelles - sans les renier pour autant.

07. Il est violemment allergique à la cacahuète, et cette noix de malheur reste à ce jour le moyen le plus efficace de le tuer.
 
08. Il a un rapport assez paradoxal et conflictuel avec la religion, car bien qu’élevé dans la foi catholique, son caractère est trop farouchement indépendant pour songer qu’une entité supérieure puisse décider pour lui, ou le punir de ses actes. Cependant, l’idée de l’existence de Dieu n’a jamais pu tout à fait le quitter, et il ne peut s’empêcher parfois de maudire ce dernier lorsque les événements de sa vie prennent une tournure indésirable. C’est d’ailleurs une source de conflit avec ses parents, qui auraient plus facilement tendance à se laisser aller à un fatalisme spirituel pour faire de leur misère une volonté divine, ou évoquer l’endroit où « se trouve maintenant son frère » chose qui l’insupporte plus que tout.

09. Wren et les filles, c’est tout un bordel. Enfin surtout pour elles. Il les quitte toujours comme il quitte leurs draps : froissées. Parce que si vous lui posez la question, il prétendra certainement qu’il les prévient toujours à l’avance qu’il aime pas les trucs sérieux et les prises de tête, mais qu’elles réussissent toujours à trouver chez lui les signes d’un intérêt particulier qu’il n’a jamais chercher à donner. En réalité, c’est certainement un poil plus compliqué ; parce qu’il a beau dire, Wren, il lui arrive de flancher un peu dans les bras qu’on lui tend et qui l’enlacent, de faillir rien qu’un peu devant l’expression franche d’un sourire amouraché. Le problème, c’est qu’il finit toujours par mettre fin au truc du jour au lendemain, juste comme ça, sous prétexte que ça a assez duré.

10. Depuis leur adolescence, les frères McNamara ont toujours eu le rituel stupide de dédier leurs vendredis soirs à des défis complètement irresponsables, et si possible dangereux. Imaginatifs au possible lorsqu’il s’agit d’élaborer des manières de risquer leur peau – ou au minimum de finir en garde à vue – les quatre rejetons ont longtemps tenu un cahier listant leurs exploits, dénombrant les fois où chacun avait fini au commissariat. Damiano étant celui qui comptabilisait le plus de gardes à vue, Wren était quant à lui celui qui était passé le plus souvent à l’hôpital. Cependant, après la mort de Lake, ses deux frères ainés ont brutalement mis fin au rituel, en prétextant que c’était un truc de gamins, un truc qui servait plus à rien. Mais certains vendredis encore, Wren se prend au jeu ; comme en mémoire de son cadet, il prend soin de chercher de chercher la merde auprès des mauvaises personnes dans le bar du coin, des ivrognes agressifs, des petites brutes à vif. S’il finit le nez en sang, tant mieux. Car c’est à Lake, qu’il dédie chacun de ses bleus.

< Pseudo/Prénom > rad < Âge > 23 bougies au compteur < Région > le nord du nord < briefing > ambassadrice de la faiblesse, et baronne de la procrastination, je suis malgré tout heureuse de ma condition. < Autre compte > Paige Halliwell Brawne. < Comment as-tu découvert le forum ? > toujours le tumblr national < Avatar > Kit Clarke. < type de personnage > Pré-lien de Layla Zapien hearty < Crédits > laserquest (av + gif1), tumblr (autres gifs)



Dernière édition par Wren McNamara le Dim 23 Aoû - 22:47, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: [Wren] — in this valley of dying stars   [Wren] — in this valley of dying stars EmptyDim 23 Aoû - 18:50



I let my rage have the stars
Faces, I suppose, are a type of torture / to look like one but never be one


2005 — Y'a pas grand chose de sacré, chez les McNamara. Ni les gazouillements des nouveaux-nés, ni le soleil qui se couche sur Tybee Island ou les étoiles dans le ciel, les nibards de Mariah Carey, les connards qui gagnent à la loterie, les feux d'artifice du quatre juillet, Bill Gates, Zuckerberg, rien de tout ça ne l'est. Que des hasards. Mais ce qui est sacré, c'est le repas dominical, la matriarche qui enfile sa plus belle robe – la seule qu'on lui a offerte y'a quelques années et dans laquelle elle rentre toujours – et le roast-beef en promotion, posé au milieu de la table. Personne n'a le droit d'y échapper, sinon pensez bien qu'ils auraient droit à une rouste comme le patriarche est capable d'en coller, quand il est particulièrement bien disposé. Voir Elias chialer pendant les deux heures du repas quand il avait essayé y'a quelques années de s'y dérober, la joue rouge et enflée, pensez bien que ça les avait calmés.
Dans le plat fumant, la barbaque est cramoisie, suintante. Sa mère a l'air fière d'avoir passé trois heures à préparer un repas dont personne n'en a rien à foutre, mais ils font toujours l'effort de lui faire croire que oui, ils sont ravis. Même lorsque c'est trop cuit. De toute façon, la bouffe dominicale est le seul moyen que ses parents ont trouvé pour réunir tous leurs rejetons au même endroit, au même moment, sans que l'un d'entre eux n'ait l'idée de disparaitre on-ne-sait-où pour trouver une énième façon d'emmerder son monde. Pour une ou deux heures, l'infernale existence des McNamara, cette machine mal huilée et dysfonctionnelle, s'arrêtait.

Regardez-les, juste une seconde : ils portent sur leurs traits marqués tous les signes de leur identité profonde. Merdeux prolétaires, gamins bruyants et sectaires, ça se voit qu'ils ont été élevés dans l'idée qu'ils n'avaient pas à l'être. Éduqués, je veux dire. Parce que y'a que les bourgeois qui peuvent se payer le luxe de donner de l'attention à leurs gamins, de les refourguer à des professeurs particuliers, les caser dans des écoles privées. De toute manière, l'époque plébiscite la brutalité, et c'est au moins un truc que leur abruti de père a compris ; étant donné le milieu duquel ils venaient, ses rejetons ne survivraient qu'à la condition qu'ils le pigent aussi.
De tous les mioches autour de la table, Wren est sans doute le plus silencieux. Il l'a toujours été. Mais c'est pas forcément pour ça qu'il s'est payé la place de petit chouchou familial, parce qu'il a beau s'abstenir de gueuler dans la baraque comme ses frères ont l'habitude de le faire, il est celui qui se fait le plus souvent convoquer par le directeur de son école. Et ça, croyez-bien que ça emmerde ses parents, d'être obligés de quitter le travail pour aller récupérer un mioche qui n'a même pas la politesse de répondre quand on l'engueule. Je crois que c'est ce qui insupporte le plus les figures d'autorités autour de lui ; ce regard qu'il avait toujours eu l'habitude de poser sur eux lorsqu'ils s'évertuaient à le sermonner. Placide et noir, l'indifférence érigée comme une gloire. On aurait voulu le gifler, juste pour lui faire payer de ne pas sangloter, ou au moins de mentir en disant qu'il était désolé. Non, Wren se contentait d'attendre que ça passe, il prenait son mal en patience. Le regard droit, désincarné, ils prenaient tous ça pour de l'insolence. Peut-être que ça en était, mais au début, rien qu'au début, il vous aurait expliqué qu'il se taisait parce qu'il n'avait rien à dire. Parce qu'il n'aimait pas mentir – autant dire que depuis le temps, la dernière affirmation avait changé. Quelques années plus tard, il avait appris à paraitre désinvolte, et avait adopté la nonchalance comme manie ou manière, l'avait érigée en bannière. Barrière ?
Mais ne nous avançons pas sur le sujet.

Souvent, leur oncle Rust les rejoignait pour le café. Rust, c'était le genre de fils de pute qui l'ouvrait toujours pour ne rien dire, étalant pendant des heures des opinions vaseuses et lénifiantes auxquelles personne n'en avait rien à carrer. Surtout que si le bonhomme en question avait eu une quelconque conscience politique ou rien qu'un gramme de libre-pensée, ça se saurait, et il se contenterait pas de ressasser en boucle les conneries qu'il entendait au JT. Encore qu'il était pas le pire. Y'avait des gars avec lesquels trainait son père qui frappaient sur leur femme et qui en riaient le jour d'après comme de la meilleur blague de l'année ; faut dire qu'elles sont sacrément connes aussi, et après elles voudraient plus d'égalité ? Ces gars là, ils étaient à gerber. Parce que voilà, ça arrive à tout le monde d'être violent, de se laisser aller à un petit coup d'sang. La vraie connerie, c'est quand ça devenait sélectif. Juste les femmes. Juste les gosses. Là, les gars devenaient de vraies ordures, pas juste des petits connards du dimanche. Des pourritures qui jouent aux durs pour oublier qu'ils ont un bide à bière et une tronche ravagée par l'alcool, un boulot de merde et des gosses qui n'en ont rien à taper d'eux, qu'ils ont raté leur vie en prétendant n'en avoir rien à carrer, mais que les quarante ans qu'il leur restaient seraient sûrement les plus humiliants, les plus douloureux à encaisser. Qu'ils n'étaient rien, sans leurs putain de poings.
L'époque plébiscite la brutalité, eux aussi l'avaient pigé.

« Wren, viens voir par là ! »

La voix bourrue l'appelle depuis le canapé, et il lève le nez de sa console de jeux. Ça l'ennuie un peu d'interrompre sa partie, mais il sait aussi que vaut mieux pas contredire l'oncle Rust, surtout quand il a sa gueule des mauvais jour. Regina et lui doivent encore s'être pris le bec toute la soirée, et il pourrait parier que l'autre a fini la nuit à se souler au bar du coin, histoire de chercher la solidarité des copains – ces abrutis au regard vide capables de hocher la tête quand il traite sa femme d'emmerdeuse, sans chercher à le contredire un seul instant.
Alors, Wren se lève. À neuf ans, il est plus chétif que ses frères avant lui, détail que ceux-ci ne se privent pas de lui rappeler. Il a des airs de chien de gouttière, ou plutôt chiot, genre d'animal pas trop propre, pas trop bien élevé, pas trop menaçant non plus. C'est encore la période de sa vie où il préfère observer les gens que s'emmerder à les cogner, il n'a pas encore récolté tous ses problèmes de colère, ou d'impulsivité. Face à lui, l'oncle Rust boit une longue gorgée de bière, il le détaille d'un oeil prétendument expert. Puis, il s'esclaffe.

« Jackie avait raison, il est carrément moins beau que ses frères ! Dis Landon, vous avez dû trop abuser sur la tequila ce soir-là, j'vois que ça ! »

Le pire ? Son père. Lui aussi il rit, parce qu'après tout c'est rien qu'une plaisanterie.
Mais Wren ne dit rien. Il n'a rien à dire. Lentement, son regard sombre se déplace sur la silhouette de sa mère qui le regarde et qui sait – une mère sait toujours. Il n'arrive pas à déterminer si elle a l'air désolée, mais ce n'est pas ce qu'il cherche à savoir en réalité. Wren, il lui demande silencieusement s'il doit intervenir, s'il doit se défendre, ou si c'est inutile. Mais elle évite son regard, et ses mains trouvent précipitamment un truc à ranger, juste pour ne pas avoir la responsabilité de sa propre action – ou non-action.
La vérité, c'était que Valentina avait la peur viscérale que ses fils fassent l'erreur de montrer leurs émotions.

2014 — Les doigts de la main. C'est ce qu'ils sont, il parait ; encore que Rosa est trop petite pour trainer avec eux et les accompagner. Et puis, c'est une fille. On a beau dire ce qu'on veut, c'est pas pareil. Alors ils restent à quatre, Elias, Damiano, Wren, Lake. Dalton Brothers, comme on les appelle parfois, parce qu'ils sont de ces têtes brûlées avec lesquelles les policiers finissent par être familiers. Rien de grave pour l'instant, rien que des délits mineurs, délits de minots, à demis-mots. Juste pour rire – et pour le reste, repassez dans quelques années.

Ils sont là, sur l'un des pontons privés de Tybee Island, alignés côte à côte avec les pieds dans le vide, au dessus de l'eau. L'idée venait de Damiano. Ces putain d'riches mettent pas un pied ici à cette époque, tu parles ! Ils doivent être partis faire du ski à Detroit, ces enculés.
Belle brochette de petits princes, de futurs rois. Gueules d'anges profanes, tous bruns comme les blés, McNamara, enchantés. On pourrait croire qu'ils se sont tous ramassé ce petit sourire orgueilleux de façon héréditaire, mais ce serait un crime que d'accorder autant de crédit à leur père. Ils se sont créé leur propre élégance prolétaire, ont distillé la merde de leur existence dans un charme délétère, et croyez-bien qu'ils en sont fiers. Regardez Lake : au lycée, ce con a même réussi à devenir populaire. De toute manière, ils n'ont jamais appris à avoir honte de ce qu'ils sont. C'est inutile, une perte de temps futile, autant s'employer à transformer la crasse en cristal, à faire de l'or avec du métal.
Et tant pis pour l'espoir maternel de les voir mener une vie légale.

2015 — Ce n'était pas lui qui avait ouvert la porte, mais sa mère. Au début, elle avait sans doute cru qu'un de ses mioches avait encore fait un truc de travers, limite si elle avait pas failli attraper ses clés de bagnole par réflexe, prête à aller en chercher un au commissariat. L'habitude. Mais on ne lui avait jamais demandé de s'asseoir pour lui annoncer que Elias avait piqué trois cent dollars à la station-service du coin, ou que Wren avait éclaté les pneus du Hammer d'un type qui l'avait regardé de travers. Et puis y'avait une drôle de lueur dans le regard des deux policiers – d'ailleurs, leur uniforme était pas le même que ceux du coin, ils portaient un insigne différent.
De toute façon, ils lui avaient dit assez vite. Sans prendre de gants spécialement, parce qu'ils étaient payés à l'heure, et que chaque mot de trop était une minute qui retarderait l'heure à laquelle ils rentreraient manger. Et puis, c'était pas leur job. Point barre.

Votre fils est mort, madame.

Mort ?
Ça veut rien dire, mort, ça veut rien dire quand on donne pas plus d'informations, bordel, tu crois que ça suffit espèce de con ? Elle lui avait dit quelque chose dans ce goût là. Et c'est à ce moment qu'il a entendu que quelque chose clochait dans le salon, Wren, qu'il est descendu pour voir ce qui se passait. Il n'avait pas tout à fait prévu de voir tout s'écrouler.
Le policier l'a regardé avec un air vaguement emmerdé, pas très enchanté à l'idée de répéter le même laïus à tous les membres de la fratrie. Alors, c'est son père qui s'en est chargé.

Lake est mort, Wren.

Il a voulu lui demander de répéter. Peut-être qu'il l'a fait. Il ne se rappelle plus.
En fait, il ne se rappelle plus de grand chose.
Peut-être y avait-il eu une de ces conversations de convenances avec l'officier, que celui-ci avait affirmé être désolé, présenté ses condoléances. Peut-être. Ça n'avait pas d'importance. Car la seule chose qui s'était mise à compter, c'était l'absence, l'absence soudaine à laquelle on n'avait jamais songé, de laquelle on n'avait jamais pensé à avoir peur, de laquelle on avait oublié de se méfier, l'absence qui n'aurait jamais dû se produire parce que c'est trop tôt, bien trop tôt, et puis à laquelle on ne croit pas d'abord, allez quoi, arrêtez de déconner maintenant ; l'absence qui crève, qui troue, qui piétine, l'absence absurde et absolue, béante, géante, assourdissante, l'absence qui prend la place de tout, qui devient omniprésente et qui étouffe, qui étouffe, qui étouffe...

Il n'y avait que ça.

Lake, il ne le reverrait pas.

Les officiers n'avaient pu donner aucun détail par rapport au corps ou à ce qui s'était passé, et brutalement, Wren avait compris pourquoi les gens étaient si friands de détails visuels et sordides, dans ces moments-là. Pas par la volonté masochiste de s'infliger une deuxième fois ce qui lui était arrivé, mais par celle de voir. De croire. Car la mort, lorsqu'on n'y assistait pas directement, était par essence quelque chose de trop terrible pour être tout à fait envisagé ; le cerveau refusait de faire son travail d'imagination, et se devait d'être aidé pour créer, enfin, l'image qui nous convaincrait.
Peut-être est-ce pour cette raison qu'il n'a pas réussi à en pleurer. La mort de Lake. Il n'a pas réussi à l'envisager, à le croire pleinement dans un premier temps ; et lorsque finalement il a réalisé, c'était trop tard. Le moment de la peine était passé, périmé, et il ne restait que le pire.
La colère.
Et si jusqu'à présent, Wren avait cru qu'on cicatrisait des pertes et des peines, il avait compris à la mort de Lake que ce genre de douleur était comme une gangrène.

Si vous vouliez y survivre, il fallait amputer, et accepter de vivre le reste de votre vie comme un estropié.

2016 — La colère est une chose curieuse. Wren l'a souvent comparée à une autre forme d'afflux sanguin, quelque chose de l'ordre d'une mutation inexplicable de la nature même de ce fluide vital qui le doterait d'un caractère venimeux, et irriguerait chacun de ses organes d'un poison insidieux. Parfois, pour désigner quelqu'un pris de rage, il disait de lui qu'il avait le sang bleu. Parce qu'il avait la conviction depuis longtemps qu'un être n'était pas le même sous l'emprise de cette étrange émotion, qu'il devenait très radicalement autre, écrasé par le joug d'aveuglements successifs. Et l'image d'une hémoglobine dénuée de nuances carmines lui avait semblé adéquate, afin de témoigner de ce brutal changement de visage.

Il est en colère, toujours. Ça fait des mois. Il ne le montre pas.

Il est en colère contre le silence qui s'est installé à la maison, contre le tabou qui entoure son nom. Lake. Il y a eu l'enterrement bidon, et puis après, on a arrêté de parler de lui. Embargo total, façon chape de plomb. Faut dire qu'ils avaient jamais été des professionnels de la communication, mais à ce niveau-là ça mériterait presque un prix, une médaille, n'importe quoi.
C'est ça, c'est n'importe quoi.

Il est en colère contre ses parents qui ont fait mine d'être outrés, quand ils ont appris que les cousins Farrow s'étaient occupés de venger leur fils. Sous prétexte qu'ils avaient pas buté le bon crawler, qu'est ce que ça changeait ? L'important, c'était le geste, le message ; histoire de dire qu'ils étaient là, et qu'ils ripostaient, qu'ils continueraient à riposter si ça se reproduisait. Non, ce qui les emmerde en réalité, c'est de pas avoir eu le cran de le faire eux même – chopper la bonne vieille carabine de grand-père, et aller faire éclater leur colère. Sous prétexte qu'ils sont en deuil, il faut qu'ils justifient le fait d'être restés bras ballants à rien faire. À accepter.
Wren n'accepte pas.
Il n'acceptera jamais.

Il est en colère contre la ville entière, qui accueille les crawlers comme si de rien était, alors que tout le monde sait très bien qu'ils sont pas comme eux, que c'est leur faute si des gars comme Lake se retrouvaient six pieds sous terre. Si des gars comme lui perdaient leur frère. Tout le monde le sait, mais personne ne le dit, parce qu'il faut accepter, être tolérant, ah, le voilà le dogme chéri du vingt-et-unième siècle ! Aime ton putain de prochain, d'accord : mais pas eux.

Il est en colère contre Dieu.
Parce qu'on lui avait fait avaler toute son enfance qu'il fallait Lui faire confiance, qu'il les protégeait. Que tout ce qui se passait ici-bas était le fruit de sa volonté. Mais Dieu peut aller se faire foutre aujourd'hui, parce qu'il n'a rien fait pour empêcher Lake de mourir. Et on voudrait lui faire bouffer qu'il était toujours là, plus haut, à les regarder ? Admettons-le une fois pour toutes : Dieu n'en a rien à cirer. Et lorsque Wren regarde vers le haut, il ne voit qu'un ciel absurdement gris.
Du gris, et un silence infini.





Dernière édition par Wren McNamara le Dim 23 Aoû - 22:56, édité 3 fois
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Layla Zapien
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queen of bitchcraft
MessageSujet: Re: [Wren] — in this valley of dying stars   [Wren] — in this valley of dying stars EmptyDim 23 Aoû - 18:50

fucking prems, je reviens
je suis la h y p e
bordelou
viens essayer de me tuer pour venger ton bro ga



edit : je ne vais pas citer l'intégralité de la fiche mais ptn ptn ptn

Citation :
Car c’est à Lake, qu’il dédie chacun de ses bleus.

je chiale — si fort. layla est tellement désolée, okay ? elle l'aimait, elle a pas fait exprès, elle savait pas sob

je suis pas worthy mais merci, merci de tenter ce pl, tellement hâte de me bousiller gueusement les feels avec tout, il y a tant de potentiel que je ne sais plus où donner de la tête, du coup j'vais juste chouiner devant ce que tu écris, vis ma vie de fragile moustache et puis damn, ce fc lui va si bien jpp ga


Dernière édition par Layla Zapien le Dim 23 Aoû - 19:53, édité 1 fois
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Azucena Keagan
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moonchild
MessageSujet: Re: [Wren] — in this valley of dying stars   [Wren] — in this valley of dying stars EmptyDim 23 Aoû - 18:53

Rebienvenue a la maison hi pompom
Et avec ce pl qui envoie du lourd en plus ? Je suis si faible devant ! fangirl
s il a besoin de quelqu'un pour taper sur Layla suis laaaaa ! gnia moi

Très jolie fiche et hâte de te voir le jouer en rp hearty
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flesh and bones
MessageSujet: Re: [Wren] — in this valley of dying stars   [Wren] — in this valley of dying stars EmptyDim 23 Aoû - 18:57

LE COUSIN DOEIJOSJZOJ
well hello avec ce pl de l'amour qui n'attendait que toi pour être pris ??? oo
hypée à 100% par le début en plus oh la la gnia rebienvenue dans ta casita hearty
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Jude Parker-Wright
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witching hour
MessageSujet: Re: [Wren] — in this valley of dying stars   [Wren] — in this valley of dying stars EmptyDim 23 Aoû - 19:21

On en parle de 1) la canonitude du faceclaim ? 2) de ce début de fiche ? (j'ose à peine dire début de fiche parce que c'est le début de fiche le plus rempli de l'histoire des débuts de fiche) 3) de la qualité de choix du pl ?

Putain mais t'as tout géré, carton plein, ding dong !

rebienvenue à la maison heart


edit : précision j'dis pas que j'ai envie de faire un DC (tout l'monde sait que je. suis le seul membre raisonnable de ce bled) mais je sens que j'vais avoir envie de craquer pour un des pl des frères ga
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Maura Pace
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moonchild
MessageSujet: Re: [Wren] — in this valley of dying stars   [Wren] — in this valley of dying stars EmptyDim 23 Aoû - 19:41

fall fall fall

ce perso, cette plume, cette fiche toute entière, j'adopte tout gn
je vais lire la fin avec grand plaisir, et puis hâte de voir tout le drama en rp face rebienvenue, quel dédoublage en toute beauté love

@Jude Parker-Wright please do worship
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flesh and bones
MessageSujet: Re: [Wren] — in this valley of dying stars   [Wren] — in this valley of dying stars EmptyDim 23 Aoû - 20:21

LE COUZ
SI FRAIS
je vais pas tarder à bombarder ton inbox eukay hin
et ce pl ce fc ce début, je?? si hâte de voir layla/wren et si hâte d'embarquer wren dans les cousinades gnia
rebienvenue à la casa chaton red
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Rafaela Esperanza
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Baby I got me and that s all I need
Âge : 35 ans (01/08/1984)
Pouvoir : télékinésie ◇ manipulation psychique ◇ pyrokinésie ◇ amplification
Allégeance : La BCC
Métier : Cheffe de la BCC
Adresse : South Garden, #008, un appartement à une dizaine de minutes du Commissariat
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Fratrie Esperanza - 1f & 1m & 1f/m libres

[Wren] — in this valley of dying stars 1586468576-zachaela-sg-3
Zachary ◇ Fouineur, chien/chat. What a wicked game to play to make me feel this way

[Wren] — in this valley of dying stars 1590603441-rafansy-sg-1
Pansy ◇ Comme une petite sœur, protégée

Quinn ◇ Alcoolique Farrow n°1
Sidney ◇ Alcoolique Farrow n°2

[Wren] — in this valley of dying stars 1586281045-a-g-5

Here we go, here we go, it's my turn to make history. Here we go, here we go, when I'm gone they'll remember me, yeah.

A dreamer with the fever to be great was all I ever want, was all I ever wanted. A finder with the fever for the fame was all I ever want, was all I ever wanted.

Got me singin' like... Bang, bang ! This fire's the weapon. Bang, bang ! Won't stop till we're legend.

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witching hour
MessageSujet: Re: [Wren] — in this valley of dying stars   [Wren] — in this valley of dying stars EmptyDim 23 Aoû - 20:38

Elle se multipliiiie red
Re-bienvenue parmi nous avec ce beau garçon, et bon courage pour ta fiche hearteyes

Edit : Oh... my... Le PL de Laylaaaaa omg
Shame on me, j'ai pas pris le temps de lire le début de ta fiche mais OMG. Elle est si bien. Et ce perso qui se dessine. Et ce PL. Je meurs. TT Tellement de feels, mon petit cœur n'en peut plus TT
Et puis je vais me ramener avec Poppy sur ta fiche de liens ou dans tes MPs parce que j'ai une idée de liens qui peut être sympa hihi Si tu veux bien de moi brille


Dernière édition par Rafaela Esperanza le Lun 24 Aoû - 2:04, édité 1 fois
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Allégeance : Famille fric-frac de merdeux finis, les McNamara se contentent traditionnellement de marmonner dans le dos des crawlers sans y planter de couteau. Wren n'a jamais aimé les traditions.
Métier : Mécanicien au chantier naval de Tybee Island / en extra, il traine le nez dans toutes les affaires louches si ça peut lui rapporter du blé
Adresse : Thunderbolt
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flesh and bones
MessageSujet: Re: [Wren] — in this valley of dying stars   [Wren] — in this valley of dying stars EmptyDim 23 Aoû - 21:14

@Layla Zapien : j'ai les feels en compote aussi laisse tomber, le pire c'est que j'ai envie de filer un plaid à Layla et de lui faire des papouilles en lui disant que c'est pas sa faute, mais l'autre gueux est pas de cet avis cryy Trop hâte de me bousiller le coeur, ça va envoyer du poney tout ça, merci à toi d'avoir créé ce pl qui a eu raison de ma faiblesse naturelle moustache

@Azucena Keagan : héhé, toujours chaud pour des alliés, même si j'en connais un qui est pas fan-fan des lycans non plus siffle

@Quinn Farrow, @Sidney Farrow : jsuis trop hypée de rejoindre la mif olala, ça va aller rouster du crawler dans le plus grand des calmes, je vis pour ça ya hearty

@Jude Parker-Wright : merci merci cute Et t'inquiètes, je compte bien pondre les pl de toute cette joyeuse marmaille déséquilibrée, si par hasard l'un d'entre eux te faisait craquer je ne serais que joie ticoeur

@Maura Pace : merciii bril toujours plus de drama, c'est ce qu'on aime --

@Rafaela Esperanza : merci beaucoup hearty cute
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MessageSujet: Re: [Wren] — in this valley of dying stars   [Wren] — in this valley of dying stars Empty

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